Utilisateur:Denis Gagne52/Brouillon1

Verse situation actuelle

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Observez le décalage entre le poème et le titre
lorsque la fenêtre s’élargit. C’est le résultat obtenu
sur un appareil mobile de type tablette.




Ah ! Que J’aime entendre ta voix !



Le soir, au bord moussu d’une verte fontaine,
Dans l’ombre du couchant, retenant notre haleine,
Nous nous sommes aimés au plus profond des bois.
Ah ! que j’aime entendre ta voix !

Avec de jolis mots frémissants de tendresse
Qui s’attardent, ainsi qu’une vague caresse,
Tu redis ton amour, Maîtresse de mon choix.
Ah ! que j’aime entendre ta voix !





Verse solution proposée

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Ajustement à la classe verse pour que la position relative des éléments
composant la page soit conservée lorsque la taille de la fenêtre est modifiée :

.verse {
   margin-left: max(0em, calc(50% - 13.5em));
}




Ah ! Que J’aime entendre ta voix !



Le soir, au bord moussu d’une verte fontaine,
Dans l’ombre du couchant, retenant notre haleine,
Nous nous sommes aimés au plus profond des bois.
Ah ! que j’aime entendre ta voix !

Avec de jolis mots frémissants de tendresse
Qui s’attardent, ainsi qu’une vague caresse,
Tu redis ton amour, Maîtresse de mon choix.
Ah ! que j’aime entendre ta voix !





Modèle Poem

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Ah ! Que J’aime entendre ta voix !



Le soir, au bord moussu d’une verte fontaine,
Dans l’ombre du couchant, retenant notre haleine,
Nous nous sommes aimés au plus profond des bois.
Ah ! que j’aime entendre ta voix !

Avec de jolis mots frémissants de tendresse
Qui s’attardent, ainsi qu’une vague caresse,
Tu redis ton amour, Maîtresse de mon choix.
Ah ! que j’aime entendre ta voix !