Trésor du jardin de la préfecture à Rennes/Texte entier

Trésor du jardin de la préfecture à Rennes, époque gallo-romaine, sarcophages, urnes cinéraires, amphores, bijoux, médailles, notices et descriptions
Verdier, fils ainé (p. 1-215).

TRÉSOR

DU JARDIN DE LA PRÉFECTURE

A RENNES.

DU MÊME AUTEUR

Notice biographique sur RALLIER DU BATY, Maire de Rennes de 1695 à 1734.

Recherches d’histoire locale. — Deux fêtes à Rennes en 1744 et 1769.

Notice biographique sur Francis BLIN, peintre paysagiste.

Notice sur la Patère d’or découverte à Rennes en 1774. (Avec gravures communiquées par le Magasin Pittoresque.)

Notice sur la vie et les travaux de H. Auguste ANDRÉ, Conseiller honoraire à la Cour d’Appel de Bennes, ancien Président de la Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine, Directeur honoraire du Musée d’Archéologie de la ville de Bennes. (Avec un portrait dessiné par Gustave Rouault, héliogravure de Dujardin.)

Excursion à Saint-Briac (Ille-et-Vilaine). — L’alignement mégalithique de la Croix-des-Marins. (Avec sept vues dessinées et gravées par Th. Busnel, et une carte chromo-lithographiée de la côte de Saint-Briac.)

Jean THUREL. — Épisode du séjour à Rennes du régiment de Touraine en 1788.

Recherches d’histoire locale. — Notes et documents concernant la Grosse Horloge de Rennes. (Avec un dessin lithographie.)

De Rennes au cap Fréhel. — Voyage pittoresque et artistique. (Avec 30 illustrations de Th. Busnel, Tancrède Abraham, H. Gambard, Dolivet, Paul Sébillot, Th. Mahéo.) (Bretagne Artistique.)

EN PRÉPARATION

Chansons populaires recueillies dans le département d’Ille-et-Vilaine (paroles et musique). Illustration de Th. Busnel.

L’Hôtel-de-Ville de Rennes. — La Communauté, ses officiers, ses serviteurs. — Mœurs et usages du xviiie siècle. (Avec illustrations.)

Rennes avant et après l’incendie de 1720. — Étude de topographie locale. (Avec plans.)

TRÉSOR

DU JARDIN DE LA PRÉFECTURE

A RENNES


ÉPOQUE GALLO-ROMAINE


SARCOPHAGES, URNES CINÉRAIRES, AMPHORES,

BIJOUX, MÉDAILLES.



NOTICE ET DESCRIPTIONS

par

Lucien DECOMBE

Directeur du Musée Archéologique de la ville de Rennes

Avec 3 planches gravées, 4 planches chromo-lithographiées

et un plan de la ville de Rennes sur lequel sont indiquées l’enceinte gallo-romaine et les principales

découverte archéologiques faites tant en dedans qu’en dehors de cette enceinte.




RENNES

VERDIER FILS AINÉ, LIBRAIRE-ÉDITEUR

5, rue Motte-Fablet, 5


M DCCC LXXXII

NOTICE

SUR

LES TROUVAILLES

FAITES

DANS LE JARDIN DE LA PRÉFECTURE

A RENNES

En septembre et octobre 1881.



INTRODUCTION


De nombreuses découvertes d’objets romains et gallo-romains ont été faites à Rennes à diverses époques.

La plus importante, sans contredit, est celle du trésor qui contenait la célèbre patère d’or qui fait aujourd’hui l’un des plus beaux et des plus précieux ornements du Cabinet des Médailles et Antiques de la Bibliothèque Nationale, à Paris. Cette découverte eut lieu en 1774, près la place de la Vieille-Monnaie, vis-à-vis l’hôtel actuellement occupé par l’École d’Artillerie. Elle se composait de quatre-vingt-quatorze monnaies d’or d’empereurs, depuis Néron jusqu’à Aurélien, de trois pendants de colliers composés de monnaies d’or de Postume encadrées dans des ornements en filigrane, d’une chaîne d’or, d’une fibule du même métal, enfin, de la magnifique patère dont nous avons publié une description détaillée[1].

En seconde ligne, on peut citer les trouvailles qui eurent lieu de 1841 à 1846 dans le lit de la Vilaine, lors de la construction des quais, et qui comprenaient plus de trente mille monnaies de la République, des familles consulaires, du Haut et du Bas-Empire, représentant une immense période de neuf à dix siècles, et permettant de suivre pour ainsi dire, dans tous leurs détails, les diverses phases du progrès ou de la décadence de l’art monétaire chez le peuple romain.

Les trouvailles de la Vilaine ont fait l’objet d’un remarquable travail de M. le docteur Toulmouche, publié en 1847 aux frais de la ville[2].

En troisième lieu, on doit ranger la découverte faite en 1881, dans le jardin de la Préfecture, d’urnes cinéraires, de sarcophages, de bijoux et de monnaies, ces dernières au nombre de plus de seize mille, renfermées dans deux amphores de grande dimension.

Avant de donner l’énumération et la description des objets provenant de cette trouvaille, nous croyons utile et intéressant de rappeler ceux qui ont été, à diverses époques, recueillis sur différents points de la ville de Rennes. Mais auparavant, qu’on nous permette de reconstituer, sur le plan actuel de notre ville, le périmètre de l’enceinte gallo-romaine.

I

L’ENCEINTE GALLO-ROMAINE DE CONDATE — DÉCOUVERTES FAITES A L’INTÉRIEUR DE CETTE ENCEINTE.

Au iiie siècle, une ceinture de remparts, élevée par les légions conquérantes au confluent de l’Ille et de la Vilaine, enserrait étroitement ta cité. Ces murailles, détruites à plusieurs reprises, furent réédifiées au ixe, puis au xiie siècle, sur ces mêmes assises de granit, de briques rouges, de moellons cubiques et de ciment dont on a maintes fois retrouvé des traces lors des travaux d’embellissement et de transformation que nous avons vu s’exécuter depuis moins de cinquante ans. Ce ne fut qu’au xve siècle que l’étroite enceinte élargit enfin les primitives limites que lui avaient tracées les murailles gallo-romaines de la Ville Rouge.

Ce périmètre restreint, qui ne comprenait guère plus de huit à neuf hectares, était limité au Nord par notre place actuelle des Lices, — à l’Est par les rues de Rohan, de l’Horloge et Châteaurenault, — au Sud par la Vilaine, — à l’Ouest par les cours des maisons bordant le côté Est de la rue Nantaise. D’ailleurs, le plan de la ville actuelle, sur lequel nous avons tracé l’antique enceinte (Planche I), permettra de suivre pas à pas la ligne des remparts gallo-romains, que nous avons indiquée par un trait rouge. Des étoiles de même couleur marqueront les points sur lesquels ont été faites les découvertes que nous énumèrerons tout-à-l’heure.


Partant de l’extrémité Nord de la rue Rallier, à l’endroit où s’élevait autrefois la porte Saint-Michel, le mur gallo-romain suivait à peu près la ligne actuelle formée par les maisons qui bordent le côté Sud de la place des Lices[3], et par le pavillon Est du marché couvert. Il passait à travers le pavillon Ouest du même marché, traversait la rue de Juillet et touchait la porte Mordelaise. De là il se dirigeait, entre les derrières de l’École d’Artillerie et la rue Nantaise, vers la place de la Croix-de-la-Mission, qu’il coupait diagonalement, entrait dans le jardin de l’hôte) de Coniac, suivait la Vilaine en ligne droite jusqu’au bas de la rue du Carthage. Il décrivait alors une légère courbe, remontait le côté Ouest de la rue de Rohan, suivait la rue de l’Horloge, passait sous le Présidial (aile Nord de l’Hôtel-de-Ville) et longeait les derrières des maisons bordant le côté Est de la rue Châteaurenault, jusqu’à l’angle de cette rue et de la rue Lafayette, à l’endroit où s’élevait avant l’incendie de 1720 la tour Saint-James. De là, il remontait en ligne droite, à travers le triangle formé par tes rues de Toulouse, Leperdit et Rallier, jusqu’à l’extrémité Nord de cette dernière rue, où nous avons pris son point de départ.


Comme on le voit sur notre plan, c’est surtout aux abords de notre église cathédrale qu’ont été faites les trouvailles d’objets gallo-romains enfouis dans le périmètre de l’enceinte murée.

Nous avons dit ailleurs[4] que, selon toute probabilité, cette église a dû s’élever sur l’emplacement d’un temple païen, et nous avons cité la curieuse chronique de Robert du Mont, d’après laquelle l’évêque de Rennes Philippe trouva, en 1180, sur l’emplacement même de son ancienne cathédrale qui tombait en ruines, un trésor qui lui permit de faire face à toutes les dépenses nécessitées par la construction d’un nouveau temple.

Quelle était la nature de la trouvaille de l’évêque Philippe ? La chronique de Robert ne le dit pas, et l’histoire est muette à ce sujet. On peut supposer que ce fut un trésor enfoui par les Romains, quand on pense à la découverte de la patère d’or faite à cent pas de là, tout près de l’endroit où furent trouvés, — en 1862, un énorme dolium, espèce de grand cuvier ou jarre ronde, en poterie d’argile figuline rougeâtre, décoré d’un filet et de bandes de couleur[5]; — en 1863, une petite boîte en bronze enfouie dans les fondations du mur d’enceinte de la cité gallo-romaine[6].

Tout près de là, dans la rue de Juillet, on trouva un pied de coupe, ou trépied en bronze[7], et, dans une substruction de la muraille gallo-romaine, un fragment de mosaïque en marbre blanc qui avait été employé parmi les matériaux de construction[8]. On découvrit aussi au même lieu des fûts de colonnes, des pierres de granit avec mortaises, et une multitude de grandes briques droites ou à crochets[9].

En 1880, quand on démolit les vieilles maisons dites « la Cité, » entre l’hôtel de Pinieuc et l’École d’Arlillerie, on trouva en nivelant le sol une grande quantité de fragments de briques à rebords.

Au mois de mars 1882, la tranchée ouverte pour la construction des égouts nous a donné une très-grande quantité de briques plates (lateres) enfouies pêle-mêle, à deux mètres de profondeur, sur tout le parcours de la rue Saint-Sauveur.

Presqu’en même temps, au bas de la rue de la Monnaie, entre la Croix-de-la-Mission et le jardin de l’hôtel de Coniac, la pioche des terrassiers se heurtait contre la muraille d’enceinte du moyen-âge édifiée sur le mur gallo-romain lui-même. Les outils se brisaient sans pouvoir entamer cette masse compacte de granit, de schiste, de briques et de ciment, et il fallut l’attaquer au moyen de la mine. Nous avons recueilli dans cet endroit d’énormes blocs de granit taillés, quelques-uns moulurés, des briques plates, et des bases, chapiteaux et fûts de colonnes en granit. — La même tranchée a donné des anses et des goulots d’amphores ; de nombreux fragments de poteries grises ou noires ; quelques morceaux de poterie samienne, dont un avec des ornements en relief et un autre (un fond de vase) portant la signature Arrito

Sous le sol de la place Saint-Pierre, vis-à-vis la cathédrale, la tranchée des égouts a donné une assez grande quantité de fragments de verre irisé (pieds et goulots de vases) ; un petit buste de femme en terre cuite (représentant probablement une divinité ?) ; des anses, des goulots et autres fragments d’amphores et de poteries diverses ; enfin, la meule supérieure d’un petit moulin à bras en pierre.

Des fragments de poterie samienne ont été rencontrés, à diverses profondeurs, sur presque tout le parcours de la rue de la Monnaie.

En creusant le sol près de la porte Mordelaise, qui a conservé si longtemps encastrée sur une de ses faces la fameuse inscription gravée par l’Ordo Rhedonensis en l’honneur de l’empereur Gordien III[10], on mit au jour un très-beau fragment de terre cuite portant, modelée avec art, une élégante guirlande de roses[11].

En faisant des fouilles pour asseoir les fondations d’une maison, rue du Griffon, on trouva à deux mètres de profondeur une grande quantité de tuiles à rebords[12].

Entre la vieille chapelle Saint-Yves et le Carthage, on déterra un grand carreau de brique de 41 centimètres en carré[13].

En 1854, en creusant les fondations d’une maison rue de Rohan, on retrouva dans les couches inférieures du sol la muraille romaine et sept amphores en terre jaunâtre près desquelles gisaient quelques monnaies en bronze. Deux de ces amphores, parfaitement intactes, figurent au Musée de Rennes[14]. Quelques mois auparavant on avait déjà trouvé, sous le sol de la rue de Rohan, une monnaie de bronze de Gordien III, un fragment de fibule et un ombilic de bouclier.

En 1868, en démolissant pour le prolongement de la rue Rallier une partie du mur et de la courtine de la porte Saint-Michel, on trouva, parmi les matériaux employés au moyen-âge dans la construction de cet ouvrage, plusieurs briques romaines de grande dimension, dont l’une porte le nom du briquetier, Valentinni[15]. Nous en possédons une autre provenant du même lieu ; sa forme est ronde ; elle mesure 1 mètre 4 centimètres de circonférence, et son épaisseur est de 6 centimètres. C’est aussi à la porte Saint-Michel que furent trouvées, à la même époque, les deux inscriptions lapidaire conservées an Musée de Rennes[16], et qui ont fait l’objet d’une remarquable étude philologique de M. le commandant Mowat[17].

Un cippe carré en granit, qu’on présume avoir été un autel, a été trouvé dans la démolition d’une partie des murs d’enceinte du moyen-âge[18].

Tout récemment, au mois de février 1882, les travaux exécutés, pour la construction des égouts de la ville ont mis au jour, me des Dames et rue du Four-du-Chapitre, une conduite d’eau gallo-romaine dans un état parfait de conservation, et offrant absolument les même caractères que celles de la rue d’Échange et de la rue Saint-François, que nous mentionnerons tout-à-l’heure[19].

II

DÉCOUVERTES FAITES EN DEHORS DE l’ENCEINTE.

Si nous sortons de l’enceinte de la cité gallo-romaine, les découvertes continuent, non moins nombreuses, non moins intéressantes. On en peut juger par l’énumération qui suit :

En amont du pont de Berlin, dans l’ancien lit de la Vilaine, on trouva de 1841 à 1846, indépendamment de l’énorme quantité de monnaies dont nous avons parlé plus haut, des bagues, des fibules, des stylets, des épingles et des hameçons en bronze ; — des flacons en verre irisé ; — des débris de vases et de poteries rouges ; — des briques à rebords de différentes formes, etc.[20] D’autres trouvailles d’objets gallo-romains eurent lieu dans plusieurs endroits de la rivière, notamment près du pont de Nemours et vis-à-vis la rue du Carthage.

Au mois de janvier 1882, en creusant le sol de la rue de Brilhac, on trouva dans le voisinage de plusieurs cercueils en fichiste ardoisier, qui semblaient dater des premiers siècles de l’époque chrétienne, une grande quantité de tessons de poterie commune, brisés depuis fort longtemps, à en juger par l’aspect de leurs cassures, et qui nous ont semblé provenir d’urnes cinéraires gallo-romaines analogues à celles du jardin de la Préfecture.

Rue Saint-François, sur l’emplacement qu’occupait l’ancienne imprimerie Valar, incendiée il y a quelques années, on découvrit de gros tuyaux en terre cuite, liés entre eux par du ciment, et provenant d’une conduite d’eau romaine.

Rue Basse, en 1853 et 1854, on trouva en creusant les fondations d’un mur de clôture, et à un mètre de profondeur, un massif de maçonnerie composé presque entièrement de briques plates et sans rebords (lateres), liées par un ciment très-rouge. Plusieurs de ces briques, d’une parfaite conservation et dans toute l’intégrité de leurs dimensions, sont conservées au Musée archéologique[21]. Les travaux entrepris à cette époque permirent de suivre la direction de cette substruction romaine qui, allant de l’Est à l’Ouest, partait de la rivière d’Ille, traversait un jardin, coupait la rue Basse et pénétrait dans les terrains dépendant de la maison no  20 de cette rue, pour se diriger vers la rue Saint-Malo[22].

Au mois de mai 1882, les travaux des égouts ont mis à nu, à l’entrée de la rue Basse, au bord des maisons portant les nos 2, 4 et 6, une conduite d’eau en terre cuite descendant vers l’église Saint-Étienne et remontant, sous les terrains de la communauté de Saint-Thomas de Villeneuve, dans ta direction de l’Hôpital-Militaire et de la rue d’Échange.

En creusant les fondations du nouvel Hôtel-Dieu, on découvrit une jolie terrine en terre rouge, à bord évidé[23], une statuette en terre cuite de Vénus Anadyomène[24], et une autre statuette de déesse-mère, également en terre cuite, assise dans un fauteuil et portant deux enfants dans ses bras[25]. — En 1877, un jardinier de l’Hôtel-Dieu trouva, en bêchant dans le jardin de l’établissement, un magnifique aureus à fleur de coin de l’empereur Marc-Aurèle, dont voici la description : M. Antoninvs Avg. Tête nue à droite. — R. Salvti Avgvstor. tr. p. xvi. Hygie debout, sacrifiant à la couleuvre d’Esculape. À l’exergue : Cos. III.

En 1860, les travaux exécutés par le service de la voirie municipale pour l’ouverture de la rue de l’Hôtel-Dieu mirent à découvert, sur le côté Sud de cette rue, une substruction gallo-romaine assez importante.

Trois trouvailles d’objets gallo-romains furent faites en 1846, en 1872 et en 1874 dans les terrains bordant le côté Nord de la rue d’Échange. La première de ces découvertes eut lieu dans l’ancien jardin des Jacobins. Elle comprenait : 1o un grand nombre de fragments de poteries en terre fine, rouge, avec une couverte brillante de la même couleur ; quelques fragments plus rares de poteries noires, portant tous, soit des ornements eu relief représentant des personnages, des masques scéniques, des rinceaux, des feuillages, des fleurs, des animaux symboliques, soit la marque ou le nom de l’ouvrier[26] — 2o de nombreux fragments d’amphores en terre rouge, grossière, qui, à en juger par l’épaisseur de leurs parois, devaient appartenir à des vases de grande dimension[27] ; — 3o des monnaies en bronze d’Auguste, de la colonie de Nîmes, de Tibère, Néron, Vespasien, Trajan, Hadrien, Antonin-le-Pieux, Julia Maesa, Gordien III, Gallien, Postume, Tetricus, etc.[28]

La seconde trouvaille de la rue d’Échange eut lieu eu 1872, dans les terrains de l’administration militaire occupés par les dépendances de la Manutention et des magasins du Campement. Elle se composait des objets suivants : une clef, un ciseau, un morceau de chaine, des clous en fer[29] ; des fragments de verrerie[30] ; des fragments de poterie rouge à couverte brillante, provenant de vases, bols, coupes, avec des ornements en relief et des noms de potiers[31] ; des débris d’amphores et de vases de ménage, des tuyaux de conduite d’eau enduits à l’intérieur d’un vernis plombifère ; un poids en terre à brique, en forme de pyramide tronquée, et percé d’un trou à sa partie supérieure ; un fragment de lambris en schiste ardoisier, incrusté en marqueterie de petites plaques minces découpées en losanges ; des carreaux en schiste ardoisier[32] ; enfin, deux urnes cinéraires en terre noirâtre, commune, recouvertes chacune d’un carreau, et contenant des cendres et des fragments d’os calcinés par la crémation[33].

En 1874 enfin, toujours dans la rue d’Échange, on trouva, en creusant un puits, le rebord d’un vase gallo-romain en poterie rouge, un grand clou de fer, des défenses de sanglier, des molaires de cheval et un acus crinalis, ou poinçon en os[34].

L’intéressant ouvrage de M. Toulmouche nous donne de précieux détails sur les objets gallo-romains trouvés, il y a quarante ans et plus, dans les terrains de la Cochardière, au haut de la ruelle Saint-Martin. Ce furent d’abord des statuettes en terre cuite de Vénus Anadyomène et de cette déesse-mère assise dont nous avons parlé plus haut ; des blocs de granit en forme de petits autels ; des monnaies ; des tuiles plates et à rebords en très-grande quantité ; un tombeau gallo-romain en briques de grande dimension ; des têtes humaines ; une tête de taureau ; une bague d’argent représentant deux mains enlacées ; de nombreux fragments de poteries rouges portant des ornements et le nom du potier ; enfin, un second cercueil gallo-romain en pierre calcaire coquillière creusée en auge, renfermant de la chaux dans laquelle on reconnaissait les empreintes d’ossements humains, et dont le dessus était fermé par des tuiles à crochets[35].

Vers la même époque, en creusant les fondations de plusieurs maisons dans les jardins de la Cochardière, on trouva une telle quantité de grandes briques, les unes plates, les autres à crochets, que l’entrepreneur en recueillit plus de quinze cents qu’il employa dans ses constructions ; parmi ces briques gisaient de nombreux fragments de poterie rouge, fine et il couverte brillante, et plus de quarante bases ou portions de grandes amphores. On découvrit au même lieu l’aire entière du sol d’une chambre pouvant avoir de 15 à 18 mètres carrés, et composée d’un ciment formé de chaux et de briques pilées[36].

En 1846, les ouvriers qui creusaient les fondations des maisons nos 62 et 64 de la rue d’Antrain, découvrirent de nombreux objets gallo-romains en bronze, en fer, en terre, etc. Nous citerons notamment les fragments d’une fibule, deux grosses épingles, un morceau de chaînette tressée[37], deux fers de lances, des anneaux, des ferrements divers[38], des fragments de vases, de bols, de coupes, portant des ornements en relief et des noms de potiers[39], une rondelle en os exécutée au tour et percée au milieu[40], une petite urne cinéraire en terre noirâtre et un morceau d’une autre urne semblable.

En 1871, dans la même rue d’Antrain, on trouva, en faisant des plantations dans un jardin situé vis-à-vis les Capucins, un fragment de poterie, pâte et lustre rouges, portant une bordure d’oves, des guirlandes et des sujets en relief d’une belle facture[41].

Dans l’enclos des Capucins on a trouve à diverses époques de nombreuses briques romaines.

III

LES VOIES ROMAINES DE CONDATE.

Nous avons montré plus haut combien était restreint le périmètre de la cité romaine. Il n’en faut pas conclure que toutes les habitations étaient étroitement enserrées dans l’enceinte des murailles ; loin de là.

M. de Caumont, dans son Cours d’Antiquités monumentales (ère gallo-romaine), nous dit que la plupart des enceintes militaires n’étaient pas d’une grande étendue, et que, le plus souvent, elles n’entouraient qu’une partie des villes et n’étaient, pour ainsi dire, que les châteaux ou citadelles des cités. Cet auteur ajoute que les villas et les maisons, formant des espèces de faubourgs, venaient se grouper autour de l’oppidum ou dans un voisinage assez rapproché pour que leurs habitants pussent, au moment du danger, se réfugier promptement dans l’enceinte protectrice de la forteresse.

On comprend dès lors pourquoi tant de vestiges gallo-romains ont été trouvés dans la partie Nord de notre ville, sur les coteaux aérés qui avoisinaient la citadelle, et qui avaient dû être choisis de préférence par les Romains, à cause de leur situation tout à la fois pittoresque et salubre, pour y établir leurs villas et leurs jardins.

D’un autre côté, on peut remarquer, en jetant un coup d’œil sur notre plan, que les trouvailles d’objets gallo-romains signalées jusqu’à ce jour en dehors de l’enceinte de l’oppidum, ont été faites généralement sur le bord ou dans le voisinage des voies romaines qui, d’après les inductions de plusieurs savants, devaient aboutir à la cilé de Condate.

Nous avons indiqué (Pl. I) par une ligne rouge les neuf voies que M. le docteur Toulmouche a tracées sur son plan de Rennes à l’époque gallo-romaine[42] et dont plusieurs tronçons ont été quelquefois mis au jour. Notre plan fait donc ressortir clairement l’emplacement des trouvailles ci-après :

Trouvaille du pont de Berlin, — sur la voie romaine de Juliomagus (Angers) ;

Trouvailles de la porte Mordelaise, de la rue de Juillet et du bas des Lices, — près du point d’intersection des voies de Dariorigum (Vannes), Vorganium (Carhaix) et Fanum Martis (Corseul) ;

Conduite d’eau de l’entrée de la roe Basse, — près de la voie de Fanum Martis ;

Trouvailles de la rue d’Échange, — près de la voie d’Allauna (Valognes) ;

Trouvailles de la rue d’Antrain, des Capucins, de l’Hôtel-Dieu et de la Cochardière, — près et sur la voie d’Ingena (Avranches) ;

Conduite d’eau de la rue Saint-François et trésor du jardin de la Préfecture, — sur le bord de la voie de Noviomagus (Lisieux).


IV

L’ABBAYE DE SAINT-MELAINE ET LE JARDIN DE LA PRÉFECTURE.


Avant de donner la description des objets trouvés dans le jardin de la Préfecture, il est nécessaire, croyons-nous, de faire connaître aussi exactement que possible quelle était encore, au xviiie siècle, la disposition des terrains environnant l’abbaye de Saint-Melaine.

Un plan à vol d’oiseau de l’ancienne abbaye, conservé dans les manuscrits de la Bibliothèque Nationale[43] et reproduit dans le Monasticon Gallicanum, et, à la rigueur, le plan de Rennes de Le Forestier, gravé par Ollivault, nous renseigneraient suffisamment peut-être, si nous n’avions sous les yeux la description ci-après, que nous empruntons au bel et savant ouvrage de M. Guillotin de Corson :

« Devant l’église Saint-Melaine, dit cet auteur, s’étendait une place fermée, « atrium basilicæ » qui n’avait guère que la largeur de l’église elle-même. La porte de cette place, grande porte du monastère, « janua major, » s’ouvrait sur la rue de la Quintaine, aujourd’hui rue de Fougères, en face de la basilique et à l’entrée de la rue Saint-Melaine. Toute la partie méridionale de l’église et de cette place était occupée par un vaste verger, « hortus pomarius » au milieu duquel se trouvait l’église paroissiale de Saint-Jean avec son cimetière. La porte de cette église s’ouvrait à peu près où se trouve maintenant la grille du Thabor, et l’église s’avançait, parallèlement à la basilique Saint-Melaine, dans ce que nous appelons aujourd’hui le carré Du Guesclin. Au Nord de la place Saint-Melaine s’élevait l’hôtel abbatial, présentement palais archiépiscopal, avec sa cour au-devant, ses greniers et remises à l’Ouest, « horreum et rhedaria, » et son jardin au derrière. Au Nord de l’église était le monastère, composé de deux parties distinctes : 1o la cour du cloître, avec ses dortoirs au Nord et à l’Est, et son hôtellerie avec son infirmerie à l’Ouest ; 2o au Nord du cloître, une seconde cour intérieure renfermant à l’Orient le réfectoire surmonté de la bibliothèque, au Septentrion les greniers et à l’Ouest les écuries, « equilia ; » à côté de ces cours s’étendait le jardin du monastère, qui existe encore, et au-delà se trouvait la vaste promenade du Thabor, qui portait déjà ce nom. Une allée d’arbres reliait cette promenade au jardin de l’hôtel abbatial, en passant au Nord des bâtiments claustraux, ce qui permettait à l’abbé de jouir du Thabor sans avoir besoin de traverser le monastère. Enfin, la partie du Thabor qu’on nomme maintenant la Tonnelle était occupée par des carrières, « lapidicina, » où l’on prétendit au xviiie siècle avoir trouvé un filon d’or[44]. »

La partie du jardin de la Préfecture où a été faite l’importante découverte qui va nous occuper, faisait donc vraisemblablement partie du vaste verger, de l’hortus pomarius des moines, qui confinait à l’église paroissiale et au cimetière de Saint-Jean. Ce cimetière fut bouleversé à plusieurs reprises, notamment lorsqu’on démolit l’église Saint-Jean, et, il y a quelques années, quand on nivela la place Saint-Melaine, d’où on enleva plusieurs tombereaux d’ossements ; mais le sol du veiner des moines, converti en jardin au xviiie siècle, n’eut jamais, paraît-il, à subir de profonds remuements de terre, puisqu’il a pu conserver intact, pendant seize siècles, le dépôt que lui avaient confié les Romains.

V
LA DÉCOUVERTE DE 1881.

A la fin de l’été de 1881, on commença le déblaiement de la partie Nord-Est du jardin de la Préfecture, comprise entre la place Saint-Melaine au Nord, et le Thabor à l’Est, travail nécessité par ta construction du dépôt des Archives départementales. On trouva d’abord, épars dans la terre végétale, quelques fragments de briques auxquels on n’attacha aucune importance. Ce ne fut que dans les derniers jours du mois de septembre que l’on rencontra des morceaux plus considérables et mieux conservés de briques à rebords, auxquels se trouvaient mêlés des tessons de poterie commune en grès noirâtre ou bleuâtre, offrant une grande analogie avec la terre employée de nos jours à la confection des pots à beurre et d’autres vases de cuisine usités surtout dans nos campagnes.

A quelques-uns de ces tessons adhérait une espèce de conglomérat formé de sable quartzeux dans lequel on remarquait quelques débris d’ossements calcinés. Bientôt les fragments de vases apparurent en plus grand nombre, et moins brisés que les premiers. On était alors à la profondeur de 60 à 80 centimètres, et, on n’en pouvait douter, on se trouvait en présence d’un ustrinum, ou dépôt funéraire de l’époque gallo-romaine.

Dans la prévision que cette trouvaille pourrait bien n’être que le prélude de découvertes plus importantes, nous nous empressâmes de provoquer, de la part de l’Administration municipale, une démarche officielle auprès de M. le Préfet d’Ille-et-Vilaine, afin d’obtenir que les objets trouvés dans le terrain départemental fussent attribués au Musée archéologique de la ville de Rennes. Comme nous l’espérions, cette démarche eut un plein succès, et M. le Préfet s’empressa de mettre à notre disposition les objets déjà recueillis, que nous fîmes sans retard transporter au Musée. De plus, ce magistrat voulut bien nous promettre que tout ce qui pourrait être mis au jour lors du nivellement et du remaniement prochains du jardin de la Préfecture, recevrait la même destination.

Dans l’espace d’une semaine, les découvertes se succédèrent de jour en jour, et pour ainsi dire sans interruption. Ce furent d’abord les fragments assez volumineux, mais en très-mauvais état, de plusieurs sarcophages en pierre calcaire coquillière ; une grande quantité d’ossements humains, parmi lesquels quelques ossements de divers animaux ; une vingtaine d’urnes cinéraires de diverses dimensions, quelques-unes intactes, la plupart brisées ; deux grandes amphores en terre contenant, avec des bijoux en bronze et en argent, plus de 16,000 pièces de monnaie.

Nous allons donner ci-après la description de tous les objets qui ont pu être recueillis et transportés au Musée de

la ville.
VI
SARCOPHAGES ET OSSEMENTS.

Vers le milieu du terrain déblayé, et à une profondeur de 0m 80 centimètres, au milieu d’ossements humains épars dans la terre végétale, on trouva, presque côte à côte, les débris de quatre cercueils en pierre calcaire, sans consistance, et s’effritant facilement sous la moindre pression. Les couvercles de ces sarcophages s’étaient depuis longtemps effondrés, et la terre qui les recouvrait primitivement les remplissait à l’intérieur.

Nous fîmes transporter au Musée un de ces débris, plus considérable que les autres, et M. le docteur Pitois, professeur à l’École de Médecine de Rennes, voulut bien, à notre demande, examiner les ossements qu’il contenait, et consigner dans le rapport ci-après le résultat de ses observations. Nous lui en adressons ici tous nos remerciements.

Voici le rapport de M. le docteur Pitois :

« Vous avez bien voulu me confier la mission d’examiner les débris de cadavres trouvés dans les fouilles exécutées pour les travaux de la Préfecture à la fin du mois de septembre dernier, en m’invitant à consigner dans un rapport succinct le résultat de mes observations. Quelle que soit mon incompétence en fait d’anthropologie, je vais tâcher d’exposer aussi clairement que possible l’état dans lequel j’ai trouvé ces débris, malheureusement fort endommagés par un séjour de quinze ou seize siècles peut-être dans le sol.

« Mon attention a d’abord été fixée par un débris de sarcophage en calcaire coquillier, se désagrégeant avec une grande facilité. Ce sarcophage, dont nous n’avons que la partie inférieure, affecte la forme d’une ange, mesurant à l’intérieur 1m 06 de long, sur une largeur de 0m 30 à sa partie supérieure. Il va en se rétrécissant de haut en bas, et ne mesure plus que 0m 15 à sa partie inférieure.

« Il est à moitié rempli d’une argile noirâtre, donnant la sensation d’une poudre savonneuse quand on la froisse entre les doigts : cette poudre est assez fortement agglutinée.

« En la désagrégeant avec précaution, nous mettons successivement à nu : les os du bassin y compris le sacrum, deux fémurs, deux tibias, deux péronés et les os de deux pieds ; tous ces os sont à leur place respective, faciles à reconnaître et à distinguer, malgré un état de fragmentation plus ou moins considérable.

« Nous avons pu facilement reconstituer les os longs du membre inférieur et en prendre la mesure exacte : les fémurs présentent, de la tête de l’os à la face articulaire du condyle interne, 40 centimètres ; les tibias, 32 centimètres.

« Il est évident, d’après ce qui précède, que le sarcophage ne contenait qu’un seul cadavre. Mais quel était l’âge ? quel était le sexe ? quelle était la taille ? quelle était la race ?

« Un maxillaire inférieur et une moitié supérieure de crâne trouvés dans le même sarcophage, et permettant par leur structure osseuse et leur aspect de les attribuer aux mêmes débris, nous sont d’un grand secours pour répondre à ces différentes questions. D’abord, la partie postérieure du crâne est arrondie, présente une disposition presque verticale de l’occiput au trou vertébral, des aspérités prononcées pour les insertions musculaires. Le maxillaire inférieur est encore garni de seize dents, dont aucune ne présente la moindre altération, et qui sont implantées verticalement sur le corps de la mâchoire : nous sommes donc en présence d’un adulte, probablement dans toute la force de l’âge.

« Le peu d’évasement du bassin et la forme du trou ovale permettent de se prononcer pour le sexe masculin.

« La forme de l’occiput, mais surtout du maxillaire inférieur et la disposition des dents, ne laissent, selon nous, aucun doute sur la race, qui présente tous les attributs du type gallo-romain.

« Quant à la taille, elle se déduit, sauf anomalies dont nous ne trouvons aucune trace, de la longueur du fémur et du tibia ; on peut l’évaluer à 1m 63 ou 1m 70.

« Le sarcophage ne contient pas d’autres débris.

« Il n’en est pas de même du sol qui l’avoisine ; là, en effet, on a trouvé pèle-mêle et épars les restes de plusieurs cadavres : un crâne de femme ou de jeune homme offrant le type gallo-romain ; deux crânes d’adultes dolycocéphales des mieux caractérisés. A quelle race faut-il rattacher ces crânes ? Je laisse à de plus experts que moi le soin de se prononcer.

« Quant aux autres os, ils sont tellement endommagés et confondus qu’il serait impossible de reconstituer un squelette. Disons toutefois en finissant que l’on a trouvé au milieu de ces débris humains une tête de carnassier, probablement de chien, et un fémur de poulet.

« Quelles conclusions tirer de ce qui précède ? D’abord qu’il y avait sur le terrain où ont été trouvés ces débris un lieu de sépulture, opinion que justifie d’ailleurs la rencontre d’urnes funéraires dans le même lieu ; ensuite, que ces sépultures remontent, comme date, au moins aux dernières années de la domination romaine dans notre pays. »


Nous devons faire remarquer ici que les sarcophages mis au jour dans le jardin de la Préfecture étaient disposés la tête à l’Ouest et les pieds à l’Est, orientation caractéristique des sépultures chrétiennes. Nous reviendrons tout-à-l’heure sur ce détail important. Des cercueils semblables furent découverts dans les terrains de Saint-Melaine et du Thabor à diverses époques. Ainsi, on trouve dans un Mémoire manuscrit de la Bibliothèque nationale, attribué à dom Morice[45] cette mention : « En 1728, on déterra un très-grand nombre d’ossements dans les jardins de l’abbaye de Saint-Melaine. Leur grandeur surpassoit de beaucoup celle des hommes de nos jours, au jugement des chirurgiens de la ville qui y descendirent. On trouva à côté de ces corps des pots de terre pleins de charbons. »

Plus tard, lorsqu’après la Révolution on démolit tes ruines de l’église Saint-Jean, ou trouva « une grande quantité de cercueils en calcaire coquillier, creusés en forme d’auges[46]. »

Il est à supposer que l’imagination des chirurgiens de 1728 exagéra singulièrement la dimension des ossements trouvés dans les jardins des Bénédictins. Ces débris humains étaient tout probablement contemporains de ceux du jardin de la Préfecture, puisque, comme ces derniers, on les découvrit dans le voisinage immédiat « de pots de terre pleins de charbons, » qui n’étaient autres que des urnes cinéraires analogues à celles que nous allons décrire.

Il est évident, pour tous ceux qui se sont occupés sérieusement de l’histoire et de la topographie locales, que jadis, sur la colline actuelle du Thabor, il y eut un cimetière gallo-romain, remplacé par un cimetière chrétien aux premiers siècles de l’évangélisation de Rennes.

À ce propos, il ne faut pas perdre de vue que, d’après la tradition, saint Melaine et saint Amand, morts au vie siècle, ne furent point enterrés dans une église, mais bien dans le cimetière commun de la cité rennaise ; qu’on éleva l’église Saint-Melaine sur leurs tombeaux, et, par conséquent, dans ce cimetière primitif dont une partie seulement devint plus tard le cimetière paroissial de Saint-Jean.

Le premier cimetière chrétien de Rennes s’est donc établi sur l’emplacement même du cimetière païen, comme à Caranda (Aisne)[47], comme à Jublains (Mayenne)[48], comme à Terre-Nègre, près Bordeaux[49], comme à Dieulouard (Meurthe)[49], comme en cent autres localités.


On sait que l’usage d’inhumer les corps est antérieur à celui de les brûler ; que, lorsque la crémation prévalut chez les Romains, cet usage ne fut pas obligatoire, et que les deux modes de sépulture se pratiquèrent simultanément ; que l’usage de brûler les cadavres des morts semble avoir été généralement plus répandu pendant les deux premiers siècles de notre ère ; que cependant, à cette époque, on a continué d’enterrer des corps entiers sans les brûler ; enfin que tes nombreuses découvertes de cimetières gallo-romains relatées dans tous les ouvrages d’archéologie prouvent la contemporanéité des deux modes de sépulture, l’inhumation et l’incinération.

On peut nous objecter que les sarcophages gallo-romains sont généralement percés dans leur partie inférieure et renferment ordinairement des monnaies, des armes, des vases de petite dimension contenant des offrandes ; — qu’aucune de ces particularités ne se remarque dans nos cercueils ; — que pendant les premiers siècles du christianisme on a continué de déposer auprès des morts des bijoux et d’autres objets que nous ne retrouvons pas ici. — A cela nous répondrons qu’il importe de remarquer que nos sarcophages n’ont pu être retirés entiers et qu’une partie de leur contenu, disséminée dans les terres remuées par la pelle et la pioche, a disparu parmi les déblais qu’on enlevait au fur et à mesure de leur extraction.

Enfin, un trait caractéristique entre tous, et que nous avons déjà indiqué, est l’orientation de nos cercueils, les pieds à l’Est, la tête à l’Ouest, c’est-à-dire la figure du mort regardant l’Orient. C’est encore ici le cas de citer Jublains et Caranda, Terre-Nègre et Dieulouard, où cette règle a été rigoureusement observée. Dans l’immense nécropole de Caranda notamment, où l’on a depuis quelques années fouillé 2,600 sépultures, dont 300 de Gaulois, 100 de Gallo-Romains et 2,200 de Francs-Mérovingiens, le système d’orientation ne s’est pas une seule fois démenti, et ces tombes, toutes datées par les objets qu’elles contenaient, étaient invariablement disposées : la tête à l’Ouest, les pieds à l’Est pour les Gaulois et les Mérovingiens ; la tête au Sud, les pieds au Nord pour les Gallo-Romains[50].

A Terre-Nègre, l’incinération et l’enterrement étaient en usage dans le même temps, mais le premier mode était plus généralement suivi. Les médailles trouvées dans le cimetière de Terre-Nègre indiquent que l’usage de brûler les corps ne s’est pas conservé chez les Bituriges beaucoup au-delà du iie siècle de l’ère chrétienne, et que le changement qui s’opéra dans la manière d’inhumer coïncide avec l’établissement du christianisme[51].

A Dieulouard, au milieu d’urnes nombreuses contenant des débris d’ossements brûlés, on observa plusieurs squelettes ayant aussi la figure tournée vers l’Orient, à la manière chrétienne. Le cimetière de Dieulouard, par les monnaies qui y furent découvertes, est daté de la seconde moitié du IIIe siècle[52].

De ce qui précède, il résulte, selon nous, que les débris d’ossements trouvés, soit couchés dans les sarcophages, soit disséminés autour des urnes cinéraires du jardin de la Préfecture, appartiennent à des Gallo-Romains convertis au christianisme, et inhumés dès lors selon le rite de la religion nouvelle, vers la fin du IIIe siècle de notre ère.

Notons en terminant ce chapitre que les travaux exécutés dernièrement dans la rue de Brilhac, pour la construction d’un égout, ont mis à découvert quatre cercueils en schiste ardoisier, en très-mauvais état, orientés comme ceux de la Préfecture, les pieds à l’Est, la tête à l’Ouest. Nous n’y avons trouvé rien autre chose que quelques fragments d’ossements qui s’écrasaient sous la simple pression des doigts. Dans les terres voisines on a relevé, comme nous l’avons dit plus haut, quelques fragments de poterie semblant provenir d’urnes cinéraires.


VII
URNES CINÉRAIRES.


Les Romains désignaient sous le nom d’olla un vase en terre cuite d’une fabrication assez grossière, à flancs bombés, et muni d’un couvercle ou operculum. Ce vase servait ordinairement à faire cuire des viandes et des légumes. On l’utilisait quelquefois pour conserver des raisins et autres fruits, et on l’appelait alors uva ollaris. Il servait aussi à enfermer les os et les cendres des morts, et on lui donnait dans ce cas le nom d’olla ossuaria ou olla cineraria. C’était surtout pour les personnes des classes inférieures que I’od employait ces sortes d’ollœ[53].

Les urnes en terre cuite découvertes dans un très-grand nombre de cimetières sont de la plus grande simplicité, le plus souvent en terre grise ; elles ne se recommandent guère que par leurs formes, en général pures et gracieuses. A défaut d’urnes, des parents pauvres recueillaient les cendres dans des vases qui étaient destinés à des usages domestiques, et jusque dans de simples assiettes[54].

Lorsque les ollœ n’étaient pas munies d’un operculum assorti à leur pâte (et les urnes en terre grossière étaient de ce nombre), leur orifice était fermé, tantôt avec une plaque en cuivre, tantôt avec une assiette retournée, et fréquemment (c’est le cas des urnes du jardin de la Préfecture) avec une brique ou une ardoise[55].

Les urnes cinéraires recueillies dans la trouvaille de 1881, et actuellement déposées au Musée de Rennes, sont au nombre de dix-huit.

Quelques-unes sont intactes ; la plupart sont plus ou moins brisées ; il y en a même dont on n’a pu recueillir que le fond, plus épais et plus résistant que les parois. Toutes contenaient au moment de leur invention du sable, des charbons et des fragments d’ossements calcinés. Deux d’entre elles étaient recouvertes par des fragments de briques à crochets ; une troisième avait pour couvercle une plaque de schiste ardoisier.

Voici leur description :

1o − OLLA en poterie commune, de couleur rougeâtre ; ce vase est étroit à sa base ; la partie supérieure manque, et le reste est fragmenté. — Hauteur, 0m 173 ; circonférence de la panse, 0m 480.

2o — AUTRE en poterie commune, également de couleur rougeâtre, à base étroite et reposant sur un pied. Une cassure à l’orifice. — Hauteur, 0m 195 ; circonférence de la panse, 0m 410 ; diamètre intérieur de l’orifice, Om 065. (Pl. II, fig. 3.)

3o — AUTRE en terre noirâtre commune ; brisée. — Hauteur, 0m 220 ; circonférence de la panse, 0m 510 ; diamètre de l’orifice, 0m 130.

4o — AUTRE, fragmentée. — Hauteur, 0m 200 ; circonférence de la panse, 0m 510 ; diamètre de l’orifice, 0m 130.

5o — AUTRE, entière. — Hauteur, 0m 170 ; circonférence de la panse, 0m 400 ; diamètre de l’orifice, 0m 100.

6o — AUTRE, entière, en terre d’un gris bleuâtre. — Hauteur, 0m 185 ; circonférence de la panse, 0" 430; diamètre de l’orifice, 0m 105.

7o — AUTRE, brisée. Sur la panse, les lettres XI tracées à la pointe après la cuisson. — Hauteur, 0m 160 ; circonférence de la panse, environ 0m 350 ; diamètre de l’orifice, environ 0m 080. (Pl. II, fig. 2.)

8o — AUTRE, fragmentée. — Hauteur, 0m 160 ; circonférence de la panse, 0m 400 ; diamètre de l’orifice, 0m 100.

9o − AUTRE, en terre grisâtre, entière. — Hauteur, 0m 165 ; circonférence de la panse, 0m 390 ; diamètre de l’orifice, 0m 085. (Pl. II, fig. 2.)

10o — AUTRE, brisée. — Hauteur, 0m 150 ; circonférence de la panse, 0m 340 ; diamètre de l’orifice, 0m 085.

11o — AUTRE, à large panse, fragmentée à l’orifice. Sur la panse les lettres CAM tracées à la pointe après la cuisson. Ce vase contenait, sur un lit de charbons et de fragments d’os calcinés, la petite urne désignée ci-après, et qui renfermait elle-même des ossements brûlés. — Hauteur, 0m 190 ; circonférence de la panse, 0m 560 ; diamètre de l’orifice, 0m 085. (Pl. II, fig. 3.)

12o — AUTRE, entière. Elle était couchée dans l’intérieur du vase précédent. — Hauteur, 0m 110 ; circonférence de la panse, 0m 245 ; diamètre de l’orifice, 0m 060. (Pl. III, fig. 5.)

13o − AUTRE, fragmentée. — Hauteur, 0m 125 ; circonférence de la panse, 0m 250 ; diamètre de l’orifice, 0m 060. (Pl. III, fig. 4.)

14o — AUTRE, en terre assez fine, à couverte noire ; entière. — Hauteur, 0m 140 ; circonférence de la panse, 0m 310 ; diamètre de l’orifice, 0m 070. (Pl. II, fig. 1.)

15o — AUTRE, en poterie grossière ; terre grise, semblant avoir subi l’action du feu ; entière. — Hauteur, 0m 110 ; circonférence de la panse, 0m 240 ; diamètre de l’orifice, 0m 055. (Pl. III, fig. 2.)

16o — AUTRE, en poterie grossière ; terre bleuâtre. — Hauteur, 0m 100 ; circonférence de la panse, 0m 230 ; diamètre de l’orifice, 0m 060. (Pl. III, fig. 1.)

À ces urnes nous devons ajouter les trois fragments ci-après, provenant de vases semblables aux précédents, mais qui avaient été complètement mis en pièces par les ouvriers. Nous n’avons pu en réunir assez de morceaux pour les reconstituer :

17o — FRAGMENTS d’une olla en terre grise, épaisse et grossièrement travaillée.

18o — FRAGMENTS d’une autre en terre bleuâtre.

19o — PIED d’une olla en terre à couverte noire. Des petits ossements calcinés y sont encore adhérents.

« Les urnes en verre, dit M. de Caumont, beaucoup plus rares que les urnes en terre, ont dû être employées pour des personnes riches ; elles affectent quelquefois la forme des urnes en terre, mais plus ordinairement celle d’un grand flacon à cou rond, muni d’une ou de deux anses, dont le corps est tantôt rond, tantôt carré[56]. »

Il n’y avait que très-peu d’objets en verre dans le jardin de la Préfecture, du moins nous n’avons pu recueillir que ceux désignés ci-après, et nous croyons qu’il n’en a pas été trouvé d’autres :

20o — VASE en verre blanc, très-mince (son épaisseur moyenne ne dépasse pas 1 millimètre et demi). Sa forme est conique et rappelle un peu celle de nos verres à Champagne ; sa pâte a une teinte verdâtre peu appréciable et montre une légère irisation ; sa base contenait des fragments d’ossements calcinés, et le reste du vase était rempli de sable, puis de terre, dans la partie supérieure. Il fut brisé d’un coup de pioche au moment de son extraction. Nous avons pu cependant en recueillir le pied et quelques fragments de la partie supérieure, ce qui nous a permis de le reconstituer par le dessin. — Hauteur, 0m 220 ; diamètre intérieur de l’orifice, 0m 078. (Pl. IV.)

21o — FRAGMENT inférieur et latéral d’un vase en verre à base rectangulaire, d’une pâte vert foncé, offrant une grande analogie avec les récipients en verre qui servent aujourd’hui à renfermer les légumes que l’on conserve dans le vinaigre. Sous le fond, imprimée en relief dans la pâte du verre, une rosace. Ce fragment contient, comme le vase précédent, des ossements calcinés.

22o — FRAGMENT d’un petit vase en verre mince, de teinte verdâtre, et à panse ventrue.

Enfin nous terminerons ce chapitre par l’indication d’un vase que, bien qu’il ne fasse pas partie de la trouvaille de 1881, nous croyons devoir faire figurer ici, attendu que sa provenance est la même que celle des objets décrits dans notre notice. Il fut découvert, il y a quinze ou dix-huit ans, dans le jardin de la Préfecture, en abaissant le sol d’une allée, et à quelques mètres au Nord-Ouest de l’endroit où a eu lieu la dernière trouvaille, tout près de la grille qui sépare la place Saint-Melaine du jardin. Depuis ce temps, il était reste à la Préfecture ; nous l’avons demandé à M. le Préfet, qui a bien voulu nous le remettre pour le Musée. En voici la description :

23o — VASE en poterie rougeâtre, de pâte assez fine, 4 panse renflée, surmontée d’un col étroit et cylindrique accosté de trois anses ; brisé (il manque une des anses). — Hauteur, 0m 210 ; circonférence de la panse, 0m 420 ; diamètre intérieur de l’orifice, 0m 020[57]. (Pl. V.)

Ces deux derniers objets (nos 22 et 23) ne contenaient, au moment de leur invention, aucune trace d’ossements ni de charbons ; ils étaient absolument vides. Nous en concluons que nous sommes en présence de deux de ces vases dans lesquels on renfermait du vin, du lait, des parfums ou d’autres liquides offerts aux mânes des morts[58].

VIII
BIJOUX ET AUTRES OBJETS EN BRONZE ET EN ARGENT.

Les bijoux et autres objets que nous décrivons ici étaient renfermés, avec dix mille pièces de monnaie environ, dans une des grandes amphores dont nous parlerons plus loin. Il y avait quatre ligulæ en argent, une en bronze ; deux bracelets en argent, un en bronze ; et une dizaine de bagues en argent enfilées dans un des bracelets[59].

Les Romains appelaient ligula une espèce de petite cuiller ayant certaine ressemblance avec la langue humaine. Elle servait à manger des confitures, à retirer de l’onguent d’un bocal, à écumer certains plats, etc.[60] Ils avaient une autre cuiller, cochlear, dont le cuilleron était fait en forme de coquetier, et qui servait à manger les œufs. Le manche de ces cuillers se terminait ordinairement en pointe, et c’est au moyen de cette pointe que l’on extrayait de leurs coquilles les mollusques destinés à l’alimentation[61].

Voici la description des ligulæ, des bracelets et des bagues provenant du jardin de la Préfecture :

Cuillers ou Ligulæ.

1o — LIGULA en argent, sans aucun ornement. Le manche se termine en pointe. — Longueur totale, 0m 142 ; longueur du cuilleron, Om 040 ; longueur du manche, 0m 102 ; convexité du cuilleron, 0m 005 ; poids, 8 gr. 8 déc.

2o — AUTRE, également en argent, sans ornement ; manche pointu. — Longueur totale, 0m 155 ; longueur du manche, 0m 115 ; longueur du cuilleron, 0m 039 ; convexité du cuilleron, 0m 004 ; poids, 8 gr. 6 déc. (Pl. VI, fig. 2 et 2bis.)

3o — AUTRE, en argent, de même forme que les

précédentes. — Longueur totale, 0m 126 ; longueur du manche, 0m 089 ; longueur du cuilleron, 0m 041 ; convexité du cuilleron 0m004 ; poids, 10 gr. 5 déc.

4o — AUTRE, en argent. Le manche est orné aux deux tiers de sa longueur, vers la pointe, d’un petit bourrelet entre deux filets en creux ; il se termine par un léger renflement en forme d’olive très-allongée. Le manche est rattaché au cuilleron par un talon découpé, saillant en dessous, et formant une nervure qui va en diminuant jusqu’au tiers de la longueur du cuilleron. — Longueur totale, 0m 129 ; longueur du manche, 0m 102 ; longueur du cuilleron, 0m 027 ; convexité du cuilleron, 0m 006 ; poids, 8 gr. 9 déc. (Pl. VI, fig 1 et 1bis[62].)

5o — AUTRE, en bronze, fortement oxydée, fragmentée. Le manche est rattaché au cuilleron par un talon découpé, comme dans la ligula en argent décrite plus haut sous le no 4. — Longueur, 0m 120. (Pl. VII, fig. 1.)

Bracelets.

6o — BRACELET formé d’un simple fil d’argent légèrement renflé au milieu ; terminé à l’une de ses extrémités par un crochet, à l’autre par un anneau. — Diamètre intérieur, 0m 052 ; poids, 6 gr. (Pl. VIII, fig. 2.)

7o — AUTRE, en argent, uni, sans crochet ni anneau. Chacune de ses extrémités est terminée par un ornement très-simple qui se compose de deux petits filets annulaires gravés en creux. — Diamètre intérieur, 0m 045 ; poids, 11 gr. 6 déc. {PI VIII, fig. 1.)

8o — AUTRE, en bronze, formé de cinq fils tordus ensemble ; il est terminé à une de ses extrémités par un anneau ; l’autre extrémité manque (elle devait se terminer par un crochet). — Diamètre intérieur, 0m 060. (Pl. VII, fig. 2.)

Bagues.

Le Musée de Rennes doit s’estimer d’autant plus heureux de posséder ces bijoux, que les bagues en argent de l’époque gallo-romaine sont généralement assez rares ; ainsi, la riche collection du Cabinet des Médailles et Antiques, à la Bibliothèque nationale, n’en contient que quelques spécimens.

Les neuf bagues ci-après décrites se trouvaient enfilées dans un des bracelets en argent, celui que reproduit la fig. 1 de la pl. VIII.

9o BAGUE en argent massif, ayant pour chaton une médaille en argent d’Antonin et Marc Aurèle. Cette médaille, d’une bonne conservation, est sertie à jour, c’est-à-dire de façon à laisser voir la face et le revers. C’est le revers qui forme le dessus du chaton ; elle est ainsi décrite dans l’ouvrage de Cohen, t. II, p. 418, no  12 :

Antoninvs aug.pivs p.p.tr.p.cos.iii. — Tête laurée d’Antonin à droite.

R. — avrelivs caesar aug. pii f. cos. — Tête nue de Marc Aurèle jeune, à droite (an 140 de J.-C). — Poids, 9 gr. 6 déc. (Pl. VIII, fig. 3, 3bis et 3ter.)

Le Cabinet des Antiques possède, cataloguée sous le no  3126, une bague en argent offrant une grande analogie avec celle-ci ; seulement la bague de la Bibliothèque nationale porte pour chaton une médaille de L. Verus.

10o — BAGUE en argent massif ; chaton en pâte de verre à deux teintes, imitant l’onyx, ovale, portant gravé en creux un buste de femme à tête radiée. — Poids, 6 gr. 7 déc. (Pl. VII, fig. 4 et 4bis.)

11o — BAGUE en argent massif ; chaton en pâte de verre imitant l’onyx, ovale, portant gravé en creux un personnage masculin, debout et nu. — Poids, 5 gr. 2 déc. (Pl. VIII, fig. 4 et 4bis.)

Une bague en argent du Cabinet des Antiques, no  3139, montre une ornementation semblable, mais le chaton manque.

12° — BAGUE en argent massif ; chaton en pâte de verre imitant l’onyx, ovale, portant aussi gravé en creux un personnage masculin debout et nu. — Poids, 11 gr. (Pl. VII, fig. 3 et 3bis.)

Dans les deux personnages gravés sur les chatons de ces bagues on croit reconnaître deux dieux ; mais quel nom leur donner ? Quoiqu’il soit impossible de distinguer les attributs qu’ils ont à la main, on incline à croire que ces deux figures représentent Mercure tenant d’un côté la bourse, de l’autre le caducée. Cette opinion est basée sur l’attitude des personnages et la manière dont leurs bras sont étendus ; en effet, c’est généralement dans cette posture que Mercure est figuré.

13o — BAGUE en argent massif ; chaton en pâte de verre imitant l’onyx, ovale, portant gravé en creux un groupe ainsi composé : d’un côté, un personnage assis ; divers animaux circulent devant lui ; au centre s’élève un arbre. Ne doit-on pas voir dans cette composition la représentation d’Orphée charmant les animaux, sujet favori des anciens, qui l’ont traité de bien des manières ? — Poids, 10 gr. 9 déc. (Pl. VIII, fig. 5 et 5bis.)

14o — BAGUE en argent ; sur le chaton, de même métal, se lit, gravée à gauche, cette inscription : ivlli. — Poids, 5 gr. 3 déc. (Pl. VII, fig. 6.)

Une bague en argent du Cabinet des Antiques, no  3133, est presque semblable à la nôtre ; son inscription seule est différente ; on lit sur le chaton : cvo.

15o — BAGUE en argent ; chaton en argent, uni. — Poids, 2 gr. 6 déc. (Pl. VII, fig. 5.)

16o — BAGUE en argent ; le chaton manque. — Poids, 2 gr. 8 déc. [PL VU, fig. 7.)

17 o — ANNEAU en argent formé d’un fil carré et orné extérieurement d’un guilloché circulaire. — Poids, 1 gr. 5 déc. (Pl. VII, fig. 8.)

18o — Petite PIERRE noire à teinte verdâtre, de forme hémisphérique (probablement un chaton de bague).

Nous avons vu entre les mains d’un amateur, qui les avait recueillies parmi les terres de déblai provenant du jardin de la Préfecture, et qui ont été transportées hors de la ville, deux autres petites bagues en argent portant gravées à gauche, sur leur chaton, ces lettres : sur l’une, ma ; sur l’autre, mei. Nous avons pu prendre les empreintes de ces deux chatons, ce qui nous a permis de les reproduire. (Pl. VIII, fig. 6 et 7.)

IX

AMPHORES ET MONNAIES.

A 1 mètre 50 de l’endroit où avaient été mis au jour les sarcophages, et au même niveau, la pioche d’un ouvrier rencontra un vase de grande dimension qui s’éventra sous l’outil et laissa échapper une quantité considérable de monnaies, parmi lesquelles se trouvaient les ligulæ ou cuillers et les bijoux décrits plus haut.

Les débris du vase furent disséminés en quelques minutes, et nous eûmes beaucoup de peine à en retrouver les fragments qui nous ont servi à le reconstituer en partie.

C’est une amphore en poterie commune, rougeâtre, ventrue, à base étroite et à orifice assez large pour qu’on puisse y introduire la main. Trois anses courtes, larges et épaisses, devaient entourer le col (qui nous manque ainsi qu’une des anses). Notre planche IX montre cette amphore telle que nous avons pu la reconstituer. Les parties manquantes sont tracées par des lignes au pointillé. La hauteur ne peut être indiquée avec certitude, attendu que parmi les fragments perdus se trouvent ceux qui constituaient le col, c’est-à-dire la partie intermédiaire entre la panse et l’orifice ; toutefois nous ne croyons pas être loin de la vérité en donnant à notre amphore une hauteur totale de 0m40 à 0m42. Sa grosseur, mesurée au milieu, donne une circonférence de 0m90. Le diamètre intérieur de l’orifice peut donner de 0m11 à 0m12, à en juger par la courbe du seul morceau que nous possédons de cette partie du vase. La circonférence de la base est de 0m27 ; l’épaisseur des parois varie entre 0m005 et 0m009.

Ce vase n’a pas d’autre ornement qu’un double filet poussé au tour, à la hauteur de l’origine des anses. Celles-ci présentent extérieurement la figure de trois bourrelets séparés par deux rainures peu profondes. La même disposition se reproduit, mais en plus petit, sur la partie supérieure de l’orifice.

L’accident arrivé à cette amphore commanda les plus grands soins dans la continuation des fouilles ; aussi prit-on toutes sortes de précautions pour dégager un autre vase du même genre qui touchait presque le premier.

Cette seconde amphore avait son orifice recouvert par le fragment assez volumineux d’une brique de 6 centimètres d’épaisseur. Elle put être retirée parfaitement intacte, et c’est dans cet état qu’elle fut transportée an Musée. Voici ses dimensions : hauteur, 0m 48 ; circonférence de la panse, 0m 925 ; diamètre intérieur de l’orifice, 0m 055 ; circonférence de la base, 0m 090. (Pl. X.) Elle est assez grossièrement travaillée, en poterie rougeâtre, d’une pâte relativement fine, dans laquelle percent çà et là de petites parcelles brillantes de quartz. Au-dessus de la panse s’élève un col ou goulot étroit, accosté de deux anses massives. Elle ne porte aucune trace d’ornement, pas même le simple filet poussé au tour qui se remarque sur l’amphore précédente.

Au moment où il fut découvert, ce vase était rempli aux trois quarts de monnaies. C’est dire que son poids était considérable, et que son exhumation ne se fit pas sans quelques difficultés. Enfin il put arriver sans encombre au Musée. Notre premier soin fut d’en extraire le contenu, qui n’avait pu être vérifié sur place, l’étroitesse du col n’ayant pas permis d’y introduire la main. Mais ici une nouvelle difficulté se présenta : malgré la brique qui fermait tant bien que mal l’orifice de l’amphore, les infiltrations d’eau pluviale avaient pénétré à l’intérieur, et les monnaies s’étaient oxydées à un tel point qu’elles étaient pour ainsi dire soudées ensemble, ne formant plus qu’une masse métallique qui adhérait fortement aux parois du vase. Il fallut procéder avec la plus grande prudence, afin d’éviter qu’en renversant l’amphore le poids de son contenu ne fît briser les parois assez minces de la panse. Enfin l’opération réussit à souhait, et toutes les monnaies purent être extraites sans accident.

Nous pensions trouver, comme dans la première amphore, des bijoux ou ustensiles divers. Cet espoir ne se réalisa pas ; mais, en compensation, s’il n’y avait que des pièces de monnaie, toutes de petit module, elles étaient tellement variée que nous éprouvâmes la plus vive satisfaction quand, après plus de trois mois de travail, elles furent enfin triées, classées et mises en ordre.


N’ayant, jusqu’à ce moment, jamais eu l’occasion de nous occuper de numismatique, il nous eût été complètement impossible d’entreprendre une tâche si considérable si nous n’avions fait appel à l’obligeance et aux connaissances spéciales d’un savant collectionneur, M. Fornier, conseiller à la Cour d’Appel de Rennes, qui voulut bien, à notre demande, entreprendre ce classement, auquel il consacra, pendant plusieurs mois, tous ses moments de loisir.

M. Pied, économe du Lycée, numismate aussi lui, tint, à son tour, à prendre sa part d’un labeur qui fut souvent ingrat, fatigant et pénible.

Nous tenons donc à consigner ici l’expression la plus vive de la reconnaissance que nous leur devons, et que leur doivent tous ceux qui pourront plus tard trouver de fructueux éléments d’étude dans la nouvelle collection numismatique dont vient de s’enrichir le Musée archéologique de Rennes.


Le trésor monétaire du jardin de la Préfecture se compose de 16,368 médailles, se rapportant à 39 empereurs, impératrice ou usurpateurs, depuis Titus, qui régnait de l’an 79 à l’an 81 de J.-C, jusqu’à Probus, dont l’avènement date de l’an 276.

Sur ces 16,368 monnaies, 8,953 ont dû être provisoirement éliminées à cause de leur état d’oxydation, qui n’a pas permis de les déchiffrer.

Sur les 7,415 médailles qui ont pu être lues, il en a été catalogué 1,171 qui sont décrites à la fin de cette notice, et qui représentent, croyons-nous, tous les types de la trouvaille.

La liste ci-après, établie dans l’ordre chronologique, indique la répartition des 7,415 médailles déterminées :

1o Titus 1 médaille
2o Trajan 1 —
3o Septime Sévère 1 —
4o Julie Domnée, femme de Septime Sévère. 1 —
5o Caracalla 5 —
6o Géta 1 —
7o Elagabale 3 —
8o Alexandre Sévère 4 —
9o Julie Mamée, mère d’Alexandre Sévère. 3 —
10o Maxime 1 —
11o Gordien III 12 —
12o Philippe père 9 —
13o Trajan Dèce 2 —
14o Étruscille, femme de Trajan Dèce. 2 —
15o Hérennius 1 —
16o Trébonien Galle 7 —
17o Volusien 7 —
18o Émilien 1 —
19o Valérien père 168 —
20o Mariniane, femme de Valérien père. 3 —

21o Gallien 2,412 médailles
22o Salonine, femme de Gallien 566 —
23o Postume 820 —
24o Quiétus 1 —
25o Valérien fils aîné 41 —
26o Valérien fils jeune (Salonin) 32 —
27o Valérien jeune, frère de Gallien 8 —
28o Victorin 961 —
29o Lélien 5 —
30o Marius 84 —
31o Claude II, dit le Gothique 1,647 —
32o Tétricus père
33o Tétricus fils 355 —
34o Quintille 168 —
35o Aurélien 38 —
36o Sévérine 2 —
37o Tacite 13 —
38o Florien 1 —
39o Probus 58 —

Comme on le voit par la liste qui précède, les médailles de Gallien sont de beaucoup les plus nombreuses, puisqu’elles atteignent le chiffre de 2,412. Viennent ensuite Claude II, 1,647 médailles ; Victorin, 961 ; Postume, 820 ; Salonine, 566 ; les deux Tétricus, 356 ; Quintille, 168 ; Valérien père, 168 Probus, 58; Marius, 51; Valérien lils aîné, 41 ; Aurélien, 38 Salonin (Valérien fils jeune), 32; Tacite, 13 ; Gordien III, 12 ; Philippe père, 9 ; Valérien jeune, frère de Gallien, 8; Trébonien Galle, Volusien, chacun 7 ; Caracalla, Lélien, chacun 5 Alexandre Sévère, 4 ; Élagabale, Julie Mamée, Mariniane, chacun 3 ; Trajan Dèce, Étruscille, Séverine, chacun 2 ; Titus, Trajan, Septime Sévère, Julie Domnée, Géta, Maxime, Quiétus, Émiben, Florien, Hérennius, chacun 1.


X

Époque et cause probables de l’enfouissement du trésor.


A quelle époque dut avoir lieu l’enfouissement du trésor du jardin de la Préfecture ? — A quelle cause l’attribuer ? — — C’est à ces deux questions que nous allons essayer de répondre.

Le savant conservateur du Musée archéologique de la ville du Mans, M. Eugène Hucher, dans un remarquable Mémoire qu’il a publié en 1880[63], à propos de la découverte d’un petit trésor de 4,500 monnaies romaines faite l’année précédente à Jublains (Mayenne), nous rappelle les trois principales époques remarquables par les paniques qui tirent enfouir les trésors, et il nous signale en même temps quelques-unes des découvertes qui correspondent à ces périodes.

« Ces trois époques, nous dit M. Hucher, sont : d’abord la fin du règne de Postume, c’est-à-dire l’espace de temps compris entre l’année 263 et l’année 268 ; puis les deux années du règne d’Aurélien qui virent s’évanouir la puissance des Tétricus, de l’année 270 à l’année 273 ; enfin peut-être les années 275 et 276, qui précédèrent et suivirent l’avènement de Probus. »

En effet, M. Hucher nous montre que « de l’année 258, date de l’avènement de Postume, et jusque vers l’année 276, date de la proclamation de Probus, la Gaule fut soumise à des dévastations et à des ravages qui sont attestés par des ruines et des traces d’incendies que les fouilles mettent tous les jours à nu ; mais surtout par des découvertes de trésors que la peur fit confier à la terre par les populations affolées, décimées plus tard par l’ennemi commun et empêchées de déterrer leur précieux dépôt. »

Il est évident que dans un dépôt de monnaies on ne trouvera pas une pièce frappée postérieurement à l’époque de son enfouissement. Dès lors, la plus récente des monnaies composant un trésor doit dater son dépôt avec une certaine précision. Et, en effet, presque toutes, sinon toutes les trouvailles de ce genre qui nous sont connues, fournissent des dates conformes aux récits des historiens, et qui se rapportent le plus souvent à cette période de dévastation qui signala les années comprises entre 265 et 278.

Ainsi, M. Hueber nous cite les diverses trouvailles qui se rapportent aux trois périodes d’effroi qu’il a signalées :

1o Époque de Postume : — la trouvaille de Talmond (Vendée)[64] ; — celle de Magnoncourt (Vosges)[65] ; — celle d’Épernay (Marne)[66] — celles de Mérouville, Intreville et Rouvray (Eure-et-Loir)[67] ; — celle du jardin de l’hospice du Mans en 1864.

2o Époque d’Aurélien : — les trouvailles de Chimay (Hainaut)[68] ; — du pays de Galles (Angleterre)[69] ; — de Bouxeuil (Loir-et-Cher)[70] ; — de Briquebec (Manche) ; — de la Blanchardière (Sarthe)[71] ; — de Jublains (Mayenne)[72].

À ces dépôts de l’époque d’Aurélien, ajoutons les suivants, découverts en Angleterre, et signalés dans un travail de H. Ronch Smith, dont nous devons la communication à M. Barbe, le savant et infatigable explorateur des ruines de Jublains : trouvailles d’Eastbourne (Sussex) en 1879 ; de Numbornholm (Yorkshire) ; de la route de Newcaslle à Carliste ; de l’hôpital de Nelley, etc.

Ajoutons également le trésor du Guemo (Morbihan), découvert en 1879.

3o Époque de Probus : — les trouvailles de Tréveneuc (Côtes-du-Nord)[73] ; — de Villogon (Loir-et-Cher)[74] ; — du bois de Fay, près Écouis (Eure)[75].

Aux dépôts de l’époque de Probus, nous devons ajouter l’important trésor découvert le S avril 1881 au village de la Ville-Gléyo, commune de Plourhan (Côtes-du-Nord), et qui a fait l’objet d’un fort intéressant travail de M. le conseiller Fornier[76].


Dans le trésor du jardin de la Préfecture, les médailles les plus récentes sont celles de Probus, dont l’avènement eut lieu au commencement de l’année 276. Or, comme malgré le grand nombre de monnaies frappées sous le règne de cet empereur, de 276 à 282, celles que nous avons recueillies se trouvent en nombre très restreint ; que, d’un autre côté, elles sont généralement dans un état de conservation qui montre qu’elles ont très peu circulé, on en peut naturellement conclure qu’elles ont été enfouies, comme à Tréveneuc, comme à Écouis, comme à Villogon, comme à Plourhan, vers l’année 277 ou 278, époque où Probus parcourt la Gaule, défaisant et massacrant les armées des Francs, et reprenant coup sur coup plus de soixante villes occupées par les Germains.

C’est donc dans une de ces paniques, si naturelles à l’approche des troupes, que les habitants des villas sans défense, affolés de terreur, et prévoyant le choc imminent des armées autour de leurs demeures, et le pillage probable de leurs habitations par les soldats, ont enterré les objets que leur volume ou leur poids ne permettait pas d’emporter dans une fuite précipitée.


Telles sont, croyons-nous, et la date et ta cause de l’enfouissement du trésor monétaire qui nous occupe.


XI

CATALOGUE DES MONNAIES.


Ainsi que nous l’avons dit plus haut, nous avons catalogué 1,171 médailles sur tes 7,334 qui ont pu être déterminées. Ces 1,171 médailles, qui font aujourd’hui partie de la collection monétaire de la ville de Rennes, sont décrites ci-après.

On trouvera quelquefois deux, trois et même quatre pièces du même type, parce que nous avons voulu, lorsqu’une monnaie offrait une partie faible, c’est-à-dire plus attaquée par l’oxyde ou par l’usure, présenter en regard la même pièce avec la même partie plus accentuée, plus lisible, de façon qu’avec deux, trois ou quatre monnaies semblables on pût arriver à en reconstituer d’une façon aussi complète que possible les types, tant de l’avers que du revers.

Les descriptions sont celles données par M. Henry Cohen dans sa Description historique des monnaies frappées sous l’Empire romain (Paris, Rollin, 1859-1868). Elles sont suivies de l’indication du tome, de la page et du numéro d’ordre de l’ouvrage de M. Cohen.

Nous n’indiquons ni le module, ni le métal, par cette raison que toutes les monnaies composant le trésor de la Prélecture sont, sans exception, de petit module. Presque toutes sont en bronze ; il n’y a qu’un très-petit nombre en argent.

Nous donnons comme inédites les monnaies que M. Cohen n’a pas décrites, et nous indiquons comme variétés celles qui diffèrent, soit par les légendes, soit par la disposition du sujet représenté, des descriptions données par le savant numismate.




TITUS
(TITUS FLAVIUS VESPASIANUS.)


Fils de Vespasien et de Domitille, né à Rome l’an 41 de J.-C. En 69, il fut nommé par le Sénat César et prince de la Jeunesse, et désigné consul avec son père l’année suivante. Associé à l’empire en 71, il succéda à Vespasien, son père, en 19, et mourut en 81, empoisonné, croit-on, par Domitien.

1. — T.CAESAR IMP.VESPASIAN. — Tète laurée à droite. ꝶ. — PONTIF.TR.P.COS.IIII. — Femme assise à gauche, tenant une branche de laurier.

(Cohen, t. I, p. 349, no  64.)

TRAJAN

(MARCUS ULPIUS TRAJANUS.)

Né à Italica, près de Séville, l’an 53 dé J.-C, il fut nommé préteur en 86 et consul pour la première fois en 91. Il fut adopté plus tard par Nerva, qui le nomma César, général, et lui conféra la puissance tribunicienne. A la mort de Nerva, il fut proclamé empereur par le Sénat, le peuple et l’armée, en 98. Il mourut à Sélinonte, en Cilicie, l’an 117, après un règne de dix-neuf ans.

2. — IMP.CAES. NERVA TRÂIAN.AVG. — Buste lauré à droite.

ꝶ. — S.C. — Table des jeux surmontée d’un vase et d’une couronne. La table est ornée de bas-reliefs représentant entre autres un griffon.

(Cohen, II, 62, 383.)

SEPTIME SÉVÈRE

(LUCICS SEPTEMIDS SEVERUS.)

Septime Sévère, né à Leptis, en Afrique, l’an 146 de J.-C. Commode lui conféra le consulat en 185 et l’appela au commandement des légions de Germanie, qui le proclamèrent empereur à Carnute, en 193. Il mourut à York en 211.

3. — SEVERVS AVG. PART. MAX. — Buste lauré à droite.

ꝶ. — VIRT.AVGG. — Rome casquée, en habit militaire, debout à gauche, tenant une Victoire et appuyée sur un bouclier ; une baste repose sur son bras gauche.

(Cohen, III, 286, 438.)

Deux aurei de Septime Sévère figurent parmi les médailles qui décorent la célèbre Patère de Rennes. (Voir notre Notice sur la Patère d’or découverte à Rennes en 1774, p. 42 et 45, ou Bulletin et Mémoires de la Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine, t. XIII, p. 154 et 157.)


JULIE DOMNÉE

(JULIA DOMNA.)

Née vers 158, à Émèse, en Syrie, de Jules Bassien, prêtre du Soleil, et de Julie Soémias. Septime Sévère, étant général de Marc-Auréle, la remarqua pour sa grande beauté et l’épousa en 175. Veuve en 211, témoin de l’assassinat de ses fils, elle fut condamnée à l’exil par Macrin, et se laissa mourir de faim en 218. Élagabale, son petit-neveu, la fit mettre au rang des divinités.

4. — IVLIA AVGVSTA. — Buste à droite.

ꝶ. — MATER DEVM. — Cybèle tourelée, assise à gauche entre deux lions, tenant un rameau et un sceptre, et le coude appuyé sur le tympanon.

(Cohen, III, 339, 64.)

Un aureus de Julie Domnée décore la Patère de Rennes. (Voir le travail déjà cité : Notice, p. 46 ; Bull. et Mém., t. XIII, p. 158.)

CARACALLA

(MARCUS AURELIUS ANTONINUS BASSUNUS.)

Né à Lyon, en 188, de Septime Sévère, et, croit-on, de Julie Domnée. A la mort de son père, en 211, il fut proclamé empereur conjointement avec son frère Géta, qu’il fit assassiner l’année suivante. Il périt lui-même assassiné par l’ordre de Macrin, préfet du prétoire, en 217.

5. — ANTONINVS PIVS AVG.GERM. — Buste lauré à droite.

ꝶ. — LIBERAL. AVGG.VIin. — La Libéralité, debout à gauche, tenant une tessère et une corne d’abondance.

(Cohen, III, 372, 84.)

6. — ANTONINVS PIVS AVG. — Buste jeune, lauré, à droite, avec le paludament.

ꝶ. — PART.MAX.PONT.TR.P.IIII. — Trophée entre deux captifs assis dans l’attitude de la tristesse

(Cohen, III, 377, 116.)

7. — ANTONINVS PIVS AVG.GERM. — Buste lauré à droite.

ꝶ. — P. M. TR. P. XVII COS. IIII P.P. — Apollon à demi-nu, assis à gauche, tenant une branche de laurier, et accoudé à une lyre posée sur un trépied.

(Cohen, III, 382, 157.)

8. — ANTONINVS PIVS AVG. — Buste jeune, lauré, à droite, avec le paludament.

ꝶ. — PONT.TR.P.VI COS. — Rome casquée debout, en habit militaire, à gauche, tenant une Victoire et une haste.

(Cohen, III, 400, 288, et VII, 221, lig. 2.)

9. — ANTONINVS PIVS AVG.GERM. — Buste lauré à droite.

ꝶ. — VENVS VICTRIX. — Vénus, debout à gauche, tenant une petite Victoire et une haste, et s’appuyant sur un bouclier posé sur un casque.

(Cohen, III, 406, 337.)

Deux aurei de Caracalla décorent la Patère de Rennes. (Voir le travail déjà cité : Notice, p. 36 et 43 ; Bull. et Mém., t. XIII, p. 148 et 153.)


GÉTA

(LUCIUS ou PUBLIUS SEPTIMIUS GETA.)

Né à Milan en 189, de Septime Sévère et de Julie Domnée. Il partagea le trône en 211 avec son frère aîné Caracalla, qui le fit assassiner l’année suivante sous les yeux de sa mère. (Les historiens ne sont pas d’accord sur l’origine commune de Géta et de Caracalla ; plusieurs auteurs pensent qu’ils n’eurent pas la même mère.)

10. — GETA CAES. PONT. COS. — Buste nu avec le paludament.

ꝶ. — VOTA PVBLICA. — Géta, debout à gauche, sacrifiant sur un trépied allumé et tenant un livre.

(Cohen, 111,471, 111.)

Un aureus de Géta décore la Patère de Rennes. (Voir le travail déjà cité : Notice, p. 40 ; Bull. et Mém."",

p. 152.)

ÉLAGABALE

(VARIUS AVITUS BASSIANUS.)

Son véritable nom est Biassianus, mais il est plus connu sous celui d’Élagabale ou Héliogabale, d’après le nom du dieu Élagabal, ou du Soleil, dont il fut créé grand-prêtre dès son enfance. Il naquit à Émèse, en Syrie, vers l’an 205, de Sextus Varius Marcellus et de Soémias, fille de Maesa et nièce de Julia Domna. Proclamé empereur en 218 par les légions de Syrie, il fut assassiné en 222. Il était alors âgé de dix-huit ans.

11. — IMP.ANTONINVS AVG. — Buste lauré à droite, avec le paludament.

ꝶ. — ANNONA AVGVSTI. — L’Abondance, debout à gauche, tenant deux épées et un gouvernail posé sur un globe ; à côté d’elle le modius avec des épis.

(Cohen, III, 514, 4.)

12. — IMP.CAES.ANTONINVS AVG. — Buste lauré à droite, avec le paludament.

ꝶ. — FIDES EXERCITVS. — La Foi, assise à gauche, tenant un oiseau et une enseigne militaire ; devant elle, une enseigne.

(Cohen, III, 516, 19.)

13. — IMP.ANTONINVS PIVS AVG. — Buste lauré à droite, avec le paludament.

ꝶ — VICTORIA AVG. — Victoire s’élevant en l’air, à gauche, et tenant un diadème des deux mains ; à ses pieds, de chaque côté, un bouclier ; dans le champ, une étoile.

(Cohen, III, 533, 150.)

ALEXANDRE SÉVÈRE

(MARCUS AUREULIS SEVERUS ALEXANDER.)

Sessius Marcianus et de Julie Mamée, né à Arca (Césarée), en Phénicie, vers l’an 305. Il monta sur le trône en 222. Il fut assassiné avec sa mère, en 235, dans un bourg de la Gaule appelé Sicila.

IP. ALEXANDER PIVS AVG. — Buste lauré à droite, avec le paludament et la cuirasse.

. — IOVI PROPVGNATORE. — Jupiter nu, avec le manteau flottant, tenant an foudre et un aigle, marchant à gauche et regardant en arrière.

(Cohen, IV, 7, 42.)

IP.C. M. AVR.SEV. ALEXANDER AVG. — Buste lauré à droite, avec le paludament.

. — IOVI VLTORI. — Jupiter à demi-nu, assis à gauche, tenant une Victoire et un sceptre.

(Cohen, IV, 8, 45.)

IP.C.M.AVR.SEV.ALEXAND.AVG. — Buste lauré à droite, avec le paludament.

. — P.M.TR.P.II COS. P.P. — La Paix ou la Félicité, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre.

(Cohen, FV, 15, 106.)

IP. CM. AVR. SEV. ALEXAND. AVG. — Buste lauré a droite, avec le paludament.

. — P.M.TR.P.VI COS. Il P.P. — La Paix, courant à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre.

(Cohen, IV, 19, 141.)

JULIE MAMÉE

(JULIA MAMAEA.)

Fille de Maesa et nièce de Julie Domnée, elle épousa Gessius Marcianus, Syrien de nation. Elle reçut le titre d’Auguste lorsqu’après le meurtre d’Élagabale, son fils Alexandre Sévère fut élevé à l’empire. Elle mourut assassinée en 235.

18. — IVLIA MAMAEA AVG. — Buste diadème à droite.

ꝶ. — FECVND.AVGVSTAE. — La Fécondité, debout à gauche, tendant la main à un enfant et tenant une corne d’abondance.

(Cohen, IV, 78, 2.)

19. — IVLIA MAMAEA AVG. — Buste diadème à droite.

ꝶ. — FELICITAS PVBLICA. — La Félicité, debout à gauche, les jambes croisées, tenant un caducée et appuyée sur une colonne.

(Cohen, IV, 78, S.)

20. — IVLIA MAMAEA AVG. — Buste diadème à droite.

ꝶ. — VESTA. — Vesta, debout à gauche, tenant une patère et un sceptre transversal.

(Cohen, IV, 80, 29.)


MAXIME

(CAIUS JULIUS VERUS MAXIMUS.)

Fils de Maximin. Il fut associé à l’empire par son père, qu’il accompagna dans ses guerres. Il fut tué au siège d’Aquilée en 338, âgé d’environ vingt ans.

21. — MAXIMVS CAES.GERM. — Buste nu à droite, avec le paludament.

R. — PRINC.IVVENTVTIS. - Masime, debout à gauche, tenant une baguette et une haste ; derrière lai, deux enseignes militaires.

(COBEN, IV, 104, 4.)

25. - IMP.GORMANVS PIVS FEL.AVG. - Buste radié i droite, avec le palodameot.

R. — FORT.REDVX. — La Fortune, assise » gauche, tenant un gouvernail et une come d’atwndance ; sous le siège, une roue.

(CoHEK, IV, i29, 39.)

26. — IMP.CAES.M.ANT.GORDIANVS AVG. — Basté radié à droite, avec le paludament.

R. - LIBERALITAS AVG. II. — La Libéralité, debout à gaucbe, tenant une tessère et une double corne d’abondance.

(CoHEK, IV, 131, 87.)

27. — IMP.GORDIANVS PIVS FEL.AVG. - Buste radié à droite, avec la cuirasse, R. — ORIE.NS AVG. — Le Soleil, debout à gauche, levant la main droite et tenant un globe.

(ConE», IV, 132, 69.)

28. - IMP.CAES.M.ANT.GORDIANVS AVG. - Rustc radié à droite, avec le paludament.

R. - P.M.TR.P.n COS. P.P. — La Paix, debout H gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal.

(Com», IV, 138, 87.)

29. - IMP.GORDIANVS PIVS FEL.AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament.

R. — P.M.TR.P.im COS. II P.P. — Apollon à demi-nu, assis à gauche, tenant une branche de laurier et accoudé à une lyre.

(CoHEii, IV, 137, 107.)

30. - IMP.GORDIANVS PIVS FEL.AVG. - Buste radié il droite, avec le paludament.

R. - P.M.TR.P.VI COS. II P.P. — Gordien, en habit militaire, debout à droite, tenant une baste et un globe.

(CoBE», IV, 139, 121.)

31. — IMP.CAES.M.ANT.GORDIANVS AVG. — Baste radié à droite, avec le paludament.

R. — ROMAE AETERNAE. — Rome casquée, assise à gauche sur un houcliep, tenant une Victoire et un sceptre.

(CouEK, IV, 110, 136.)

32. — IMP.GORDIANVS PIVS FEL.AVG. - Buste radie à droite, avec le paludament.

R. — SAECVLI FELICITAS. — Gordien lauré, debout à droite, tenant une baste transversale et un globe.

(COHEB, IV, m, 110.)

33. — IMP.GORDIANVS PIVS FEL.AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament.

R. — SECVRITAS PERPETVA. — La Sécurité, debout à gauche, les jambes croisées, tenant un sceptre, et appuyée sur une colonne.

(CoHE», IV, m, 145.)

PHILIPPE PÈBE

(MARCUS JDLIUS PHILIPPUS.)

Né en 204 dans la Trachonilide arabe, il fit assassiner Gordien et se fit proclamer empereur en 244. Il fut massacré en Pannonie par ses propres soldats en 249.

34. — IMP.M.IVL.PHILIPPVSAVG.— Bnsterailiéàdroite, avec le palodamenl.

R. — ADVENTVS AVGG. — Philippe il cheval à gauche, levant la main droite et tenant une haste.

(CoHEs, IV, 176, 6.)

35. — IMP.PHILIPPVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament.

R. — ANNONA AVGG. — L’Abondance, debout à gauche, tenant des épées et une corne d’abondance ; à ses pieds, une proue de vaisseau.

(CoHEM, lY, 177, 16.)

36. — IMP.M.rVL.PHILtPPVS AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament.

R. — FIDES MIHT. — La Foi, debout à gauche, tenant deux enseignes militaires.

(Cohen, IV, 177, M.)

37. - IMP.PHILIPPVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament.

R. — NOBILITAS AVGG. — Femme debout à droite, tenant un sceptre et un globe. Dans le champ, G.

(Cohen, IV, 179, 40.)

38. — [MP.M.rVL.PHILIPPVS AVG, — Buste radié à droite, avec le paludameol.

R. — PAX AETERN. — La Pais, malH^ballt à pas précipités à gauelie, leiiaiit une branche d’olivier et un sceptre.

(Cohek, IV, 179, U.)

39. — IMP.C.M.tVL.PHILIPPVS P.F.ATC.P.M. — Buste radié à droite, avec le paludament.

R. - PAX FVNDATA CVM PERSIS. — La Paix, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal.

(CoHBK, IV, 179, 4S.)

40. -IMP.M.IVL.PIULIPPVS AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament.

R. -P. M. ta. P. III COS. P. P. — La Paix ou la Félicité, debout à gauche, tenant un caducée et une corne d’abondance.

(CouKi, IV, 180, 82.)

41. — IMP.PHILIPPVS AVG. — Buste radié à droite.

R. — SAECVLABES AVGG. — Cippe sur lequel oo lit ; COS. m.

(CoHEK, IV, 188, 88.)

42. — IMP.M.IVL.PHILIPPVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament.

R. — SALVS AVG. — La Santé, debout à gauche, donnant à manger ) un serpent enlacé autour d’un autel, et tenant un gouvernail.

(ConBK, IV, 188, 92.)

TRAJAN DÈCE

(CAIUS MESSIUS QUDCrUS TRAJASUS DECIDS.)

Né en 201 dans la Pannonie ; se 6t procUmcr empereur en 2i9. En ïSl, pendant une campagne contre les Golbs, «n Thrace, il fui entraîné, par une trahison de Trébonien Guile, dans nu marais où il péril misérablement.

43. — iMP.C.M.Q.TRAlANVS DECIVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament.

R. - GENIVS EXERC.ILLYRICIANI. - Génie à demi-nu, debout à gauche, coiffé du modius, tenant une patère et une corne d’abondance ; à droite, une enseigne militaire.

(CoHEK, IV, 235, 26.)

44.- IMP.C.M.Q.TRAIÂNVS DECIVS AVG. - Buste radié à droite.

R. — VBERITAS AVG. — La Ferlilité, debout à gauche, tenant une bourse et une corne d’abondance.

(Cohen, IV, 238, 48.)

ÉTRUSCILLE

(HERENNIA ETRUSCILLA.)

Femme de Trajan Dèce ; elle n’est connue que par les médailles sur lesquelles figurent son nom et son effigie.

45. — HER.ETRVSCILLA AVG. — Buste diadème à droite, avec le croissaut.

R. ~ PVDICirrA AVG. — La Fadeur, debout à gauche, relevant son voile et tenant un sce)itre.

(CoHBM, IV, 249, 10.)

46. — HER.ETRVSCILLA AVG. — Buste àMémé à droite, orné du croissant.

R. — PVDICITIA AVG. — La Pudeur, assise à gauche, ramenant son voile sur sa Ggure et tenant un sceptre.

(CoHEM, IV, 249, 12.)

HÉRENNIUS

(QOINTDS HERENNIUS ETRDSCUS.)

Fils de Trajan Dèce el d’Ëlniscille ; fut Dommé CéMr en iid et reçut le titre d’Auguste en 3S1. li fut tué cette mime année, dans cette même bitaUle où péril son père.

47. — Q.HER.ETR.MES.DECIVS NOB.C. - Buste radié à droite, avec le paludament.

R. — PIETAS AVGG. — Mercure, debout à gauche, tenant une bourse et un caducée.

(Cohen, IV, 254, 10.)

TRÉBONIEN GALLE (CAIUS VISITS TREBONIAmiS GAtLUS.)

Après la mort de Trajan Dèce et d’Hérennius, il se fit proclamer empereur par l’armée en 351, et nomma César son fils Volusien. Il fut massacré par ses propres soldats vers 254.

. — IMP.CAE.C.VIB.TREB.r.ALLVS AVG. — Son buste radié à droite, avec le paiudameot.

ç-. — AETERNITAS AVGG. — L’Élemilé diadémée, debout à gauche, tenant un globe surmonté d’un phénix et relevant sa robe.

(ConEH, IV, 269, 9.)

. - IMP . CAE . C .VIB . TREB . GALLVS AVG. — Son buste radié à droite, avec le paludament.

Cf. — LIBERTAS AVGG. — La Liberté, debout à gauche, tenant un bonnet et un sceptre transversal.

(Cornu, IV, 272, 33.)

. — La même.

^. — Dans le cbamp, une étoile.

M. — IMP. C.C.VIB. TREB. GALLVS AVG. — Son buste radié à droite, avec le paludament.

y. — LIBERTAS PVBLICA. — La Liberté, debout à gauche, tenant un bonnet et un sceptre transversal.

(ConsN, IV, 272, 37.)

. — IMP. CAE. C. VIB. TBEB. GALLVS AVG. - Son buste radié à droite, avec le paludament.

y. — PIETAS AVGG. — La Piété voilée, debout à ganche, levant les deux mains. (Cornu, IV, 273, 48.)

. — IMP . CAE . C . VIB . TBEB . GALLVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament.

^. — SALVS AVGG. — La Santé, debout à gauche, présentant & manger à un serpent qui s’élance d’un autel, et tenant an sceptre.

(Cohen, IV, 276, 6S.)

54. -^ IMP . CAE . C , VtB . TREB . GALLVS AVG . — Buste radié à droite, avec le paludament.

R. — VICTORIA AVGG. — La Victoire, debout à gauche, tenant une couronne et une palme.

(Cohen, IV, 276, 70.)

VOLUSIEN

(CAIDS VIBIUS VOLUSIANCS.)

Fils de Tréboniea Galle, il fut associé i t’empire dès que sod père fat revfitn de la poarpre, et périt, massacré comme lui, ea S5i.

55. - IMP.CAE.C.VIB.VOLVSIANO AVG. - Buste radié à droite.

ÇT. — ANNONA AVGG. - L’Abondance deijout.

(CoHEK, IV, 289, 9.)

56. — IMP.CAE.C.VIB.VOLVSIANO AVG. — Buste radié à droite.

R. — CONCORDIA AVGG. — La Concorde, assise a ganche, tenant une palère et une double corne d’abondance. (CoBEK, IV, 289, iS.)

57. - IMP.C.C.VIB.VOLVSIANVS AVG. - Buste radié à droite, avec te paludameut.

^. — FELICITAS PVBL. — La Félicité, debout à gauche, tenant un caducée et une corne d’abondance. (CouEH, IV, 290, n.) B8. - IMP.CAE.C.VIB.VOLVSIANO AVG. - Buste radié à droite. ^•. — PAX AVGG. — La Paii, debout i gauclie, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. (Coai», rv, 292, 39.) . - IMP.CAE.C.VIB.VOLVSIANO AVG. - Buste radié à droite. ^. - P.M.TR.P.IIII COS.n. - Volusien lauré, debout à gaucbe, tenant un rameau et un sceptre. (CoHEB, IV, 293, M .) . - IMP.CAE.C.VIB.VOLVSIANO AVG. - Buste radié i droite. 1^. — SALVS AVGG. — La Santé, debout à droite, tenant un serpent et une patère. * (CoHEK, IV, 298, 70.) . — IMP.CAE.C.VIB.VOLVSIANO AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. 5t. — SECVRIT . PERP. — La Sécurité, debout à gauche, tenant une haste dans ta main droite et appuyée sur une colonne. (Inédite.) . — IMP.CAE.C.VIB.VOLVSIANO AVG. - Son buste radié à droite. ^. — VIRTVS AVGG. — La Valeur casquée, debout i gauche, appuyée sur un bouclier et tenant une haste. Dans le champ, une étoile. (CoHEM, IV, 296, 79.) ÉMILIEN (CAirS HARCDS XHILIUS .SUILIÀNDS.) ’ II était gonferneOT de U Pannonie saus Trébonien Galle lorsqu’il m fit proclamer empereur par ees soldats en ïS3. Le Sénat le reconnut poar empereur à la mort de Trébonien Galle et de Volusien, Il Tut asEOssiné par se» soldats à Spoléte en S5i, après trois mois de rè^foe. . - IMP.AEMILIANVS PIVS FEL.AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament. Cf. — MARTI PROPVGT. — Mars casqué, debout à gauche, appuyé sur un bouclier et tenant une haste renversée. (Cohen, IV, 304, 16.) VALÉRIEN (CAIUS PUBUDS UCINIUS VALERIANUS.) Né en 198, il fut proclamé empereur par l’armée en 253, et cette nomination fat universellement reconnue. En S60, il tomba au pouvoir de Sapor, roi dei Perses, qui, après l’avoir abreuvé d’outrées et d’humiliations, le fit écorcber vif. M. — IMP.C.P.LIC.VALERIANVS P.F.AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament et la cuirasse. y. — ANNONA AVGG. — L’Abondance, debout i gauche, tenant des épis et une corne d’abondance ; à ses pieds, le modius. (ConEH, IV, 314, 11.) DigitizedbïGoOl^li ;;, 65. — - La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — APOLINI CONSERVA. — Apollon du, debout à gaucbe, tenant une branche de laurier et appuyé sur une lyre posée sur un rocher. (Cohen, IV, 3i5, 17.) . — La même. . — La même. . — La même. . — IMP.C.P.LIC.VALERIANVS AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament et la cuirasse. ÇT. — Même légende. — Même type. (CoHEM, IV, 31S, 19.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — APOLUNI PROPVG. — Apollon à demi-nu, debout à droite, tirant de l’arc. {CoHEK, IV, 315, 21.) . — La même. . -IMP.VALERIANVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — CONSERVAT. ÂVGG. — Apollon nu, debout à gaucbe, tenant une branche de laurier et appuyé sur une lyre posée sur un rocher. Dans le champ, à droite, Q. (Cohen, IV, 317, 35.) ^ - DigitizedbyGoOgle -IMP.C.P.UC.VALERIAIWS P.F.AVG. — Bus radié à droite, avec le paludament. W- — CONSERVAT. AVGG. — Même type. (Cohen, IV, 317, 36.) . - IMP.C. P. LIC.yALERIAMVS P.F.AVG. — Même buste. ^. — FEUCITAS AVGG. - La Félicité, deljout S gauche, tenant un caducée et une corne d’abondance. (Cohen, IV, 317, 40.) . — La même. . — La même. . — La même. . — IMP.VALERIANVS AVG. — Même buste. Cf. — Même légende. — Même type. (Cohen, IV, 317, «.) . — La même. . - IMP.C.P.LIC.VALERLVNVS AVG. — Buste radié i droite, avec le paludament. y. — FELICITAS SAECVLI. — Diane, debout à droite, la tête ornée d’un croissant, et l’écharpe flottante, tenant une torche des deux mains. (Cohen, IV, 318, M.) . — IMP.C.P.LIC.VALERIANVS AVG. — Même buste. ^. — FIDES MILITVM. — La Foi, debout à gauche, tenant deux enseignes militaires. (COHEK, IV, 318, «.) DigitizedbïGoOl^le-, 84. — La même. . — IMP.C.P.LIC.YALERIANTS P.F.AVG. — Même buste. IIT. — Même légende. — Même type. (CoHEU, rv, 31«, 47.) . — La même. . — IMP.C.P.LIC.VALERIANVS AVG. — Même buste. ç-. - lOVl CONSERVA. — Jupiter un, debout à gauche, avec le manteau sur l’épaule gauche, tenant un foudre et un sceptre. (COHKK, IV, 3W, SS.) . — La même. . — IMP . C . P . UC . VALEHIANVS P . F . AVG. - Même buste, y. — lOVl CONSERVAT. — Même type. Dans le cbamp, Q. (CoHEH, IV, 319, 87.) . — IMP.VALERIANVS AVG. — Huste radié à droite, avec le paludament. Tf. — lOVI CONSERVAT. — Jupiter un, debout gauche, avec le manteau sur l’épaule gauche, tenant un foudre et un sceptre. Dans le champ, à gauche, S. (CoHiN, IV, 320, 60.) . — IMP.C.P.LIC.VALERIANVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. y. — LAETITLl AVGG. — La Joie, debout à gauche, tenant une conronne et une ancre. (CouES, iV, 329, 68.) DigitizedbyGoOl^le - Même légende. — Même buste. ^. - LAETITIA AVGG. - La Joie, debout à gauche, tenant une couronne et une ancre. (Cohen, IV, 320, 69.) -IMP.C.P.LIC.VALERIANVS P.F.AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. 9-. — LIBERALITÂS AVGG. — La Libéralité, assise à gaucbe, tenant une tesscre et une, corne d’abondance. (CoHES, IV, 321, 7S.) - Même légende. — Même buste. ^. - LIBERALITAS AVGG. III. — La Libéralité, debout à gaucbe, tenant une tessère et une corne d’abondance, (Cohen, Vf, 322, 80.) - Même légende. — Même buste. ^. — ORIENS AVGG. — Le Soleil radié, debout à gauche, levant la main droite et tenant un fouet. (Cohen, IV, 322, 83.) - La même. - La même. - La même. - IMP.C.P.UC.VALERIANVS AVG. — Même buste. ^. — Même légende. — Même type, (Inédite.) - IMP.C.P.LIC.VALERUNVS P.F.AVG. — Même buste. DigitizedbyGoO^le ^. — Même légende. — Le Soleil radie, debout à gauche, levant la main droite et tenant un globe. {Cohen, IV, 322,86.)- . — La même. . — IMP.VALERIANVS AVG. - Même buste, ÇT. — Même légende. — Même type. (Cohen, IV, 322, 87.) . — La même. .— IMP.C.P.LIC.VALERIANVS P. F. AVG. — Même buste. Cf. — Même légende. — Le Soleil radié, nu, marchant à gauche, levant la main droite et tenant un fouet. (Inédite.) . — Même légende. — Même buste. Çf. — PIETAS AVGG. — Valérien et Gallien, debout en face l’un de l’autre, sacrifiant sur un autel ^ l’un tient un sceptre surmonté d’un aigle, et l’autre un parazouium. (Cohen, IV, 323, 95.) . — Même légende. — Même buste. ^. -P.M.TR.P.V COS. nu P.P. —Valérien, assis à gauche sur une chaise curule, tenant un globe et un sceptre. {CoHEK, IV, 324, 104.) . — IMP.VALERIANVS AVG. - Même buste. ÇT. — Même légende. — Valérien et Gallien, debout en face l’un de l’autre, appuyés sur leurs boucliers. Dans le champ, deux bastes. (CoHEK, IV, 325, lOS.) DigitizedbyGoO^le - Te — i08. - IMP.C.P.UC.VALERIANVS P.F.AVG. - Même buste. ^. — PROVIDENTIA AVGG. — La Providence, debout à gauche, tenant une bagaetta et unecorq«  d’abondance ; à ses pieds, un globe. (CoHEM, IV, 323, 107.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — RESTITVTOR ORBIS. — Valérien, en habit militaire, debout à gauche, relevant une femme tourelée à genoux et tenant une haste. (Cohen, IV, 326, 114.) ill. — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — RESTITVT.ORIENTIS. — Femme tourelée (l’Orient) debout à droite, présentant une couronne à Valérien, debout à gauche, en habit militaire, tenant une haste. (CoHEH, IV, 326, 119.) . — La même. lU. — IMP.C.P.LIC.VALERUNVS AVG. — Même buste. V. ~ SALVS AVGG. — La Santé, debout à gauche, présentant à manger à un serpent qui s’élance d’un autel, et tenant un sceptre. (CoHEM, IV, 327, 123.) H5. — La même. H6. — IMP.VALERIANVS P.F.AVG. — Même buste. ^. — Même légende. — La Santé, debout à droite, nourrissant un serpent qu’elle tient dans ses bras. (Cohen, IV, 327, 128.) DigitizedbyGoOt^le

. — ? La même. . — IMP.VALERIANVS AVG. — Buste radie à droite, avec le paludaraent. Çf . — SECVRIT . PERPET. — La Sécurité, debont à gauche, les jambes croisées, tenant un sceptre et appuyée sur une colonne. (Cohen, IV, 327, 129.) H9. — IMP . C . P . ne . VALERIANVS AVG. — Même busle. 9f. — VICTORIA AVGG. - La Victoire, debout à gauche, appuyée sur un bouclier et tenant ane palme. (CoHBN, IV, 329, 139.) . — La même. .— ÏMP.C.P.LIC.VALERIANVS P. F. AVG. —Même buste. ^. — Même légende. — Même type. (CoBEN, IV, 329, 1-M).) . — La même. . — ÏMP.C.P.LIC.VALERIANVS AVti. — Même busle. Cf. — Même légende. — La Victoire, debout à gauche, tenant une couronne et une palme. (CoHEH, IV, 329, 142.) . — La même. .— IMP.C.P.LIC.VALERUNVS P. F. AVG. — Même buste. ^. — Même légende. — Même type. (CoBEN, IV, 329, 143.) i26. — La même. DigitizedbyGoO^le 127. — IMP.C.P.LIC.VALERIANVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paltidameat. ^. — VICTORIAE AVGG. — Soldat casqué, debout à droite, tenant nue baste et appuyé sur un bouclier. (CoHEw, IV, 329, 148.) . - IMP.VÂLERIANVS P. F. AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. ^, — VICT.PART. — Victoire debout à gauche, appuyée sur un bouclier et tenant une palme ; à ses pieds uq captif assis, les mains liées derrière le dos. (Inédite.) . — IMP . C . P . Lie . VALERIANVS AVG. — Même buste. 9". — VIRTVS AVGG. — Valérien et Gallien, debout en face l’un de l’autre ; celui qui est placé à gauche tient ane baste et un globe, et celui qui est placé à droite tient une Victoire et une baste transversale. (Cohen, iV, 332, 168.) . - IMP.C.P.LIC.VALERIANVS P. F. AVG. — Même buste. ^. — Même légende. — Même type. {CoBEN, IV, 332, 169.) . — La ; même. . — IMP.C.P.LIC.VALERIANVS P. F. AVG. — Même buste. ^. — VIRTVS AVGG. — Mars casqué, debout à DigitizedbyÇoO^le gauche, appuyé snr ud boaclier et tenant nne haste renversée. [Inédite.) MARIÏÏIANE (UAHINIÀ^A.) On U croil temme ou sœnr de VilérieD, miig les hisUiriens ne sont pas d’accord sur ce point. . — DIVAE MARINIÂNAE. — Buele voilé à droite, entouré d’un croissant, çr, _ CONSECRATIO. — Paon de face, avec la queue éployée, regardant à droite. Dans le champ, à gauche, V. (CoBEN, IV, 345, S.) . — DIVAE MARINIANAE. — Buste voilé à droite, entouré d’un croissant. çr. — CONSECRATIO. — Paon volant à gauche et enlevant Mariniane au ciel. (Cohen, IV, 345, 8.) . - DIVAE MARINIANAE. — Buste voilé à droil tonré d’un croissant. çr. — CONSECRATIO. — Paon volant à dr enlevant Mariniane au ciel. {Cohen, IV, 345^ DigitizedbyGoO^le -n- GALLIEN (PUBLICS L1C1N1U8 GÀLLIENDS.) Tjs de Yalérien ; fut associé i sqd père en S53. Lorsque son père fut fait prisonnier par les Perses en 9flO, Gallien devint senl maître de l’empire. Quand Auréole se flt proeUmer empereur en aSB, Galtien vint l’assiéger dans Hitan, mais il périt assaMioé ptr des conjurés, tl était alors tgé de 50 ans et avait régné quinze ana : de S53 à S60 associé avec son père ; de aeo A S6Ï it régna seul. . — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

. — ABVNDANTIA AVG. — L’Abondance, debout

à droite, vidant sa corne. {CoBEK, IV, 355, 28.) . — La même. . — La même. ÇT. — Le même. — Dans le champ, à droite, B. (Cohen, Ibid.) . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. 9-. ~ AEQVITAS AVG. — L’Équité, debout à gauche, tenant une balance et une corne d’abondance. Dans le champ, à droite, VI. (Cohen, IV, 355, 34.) . — La même. â. -- La même. ^. — Le même. — Dans le champ, à droite, S. . — La même. ÇT. — Le même. — Rico dans le champ. DigitizedbyGoOt^le _7îi- iU. — La même. itë. — GALUENVS AVG. — Buste radié à droite. ^. — AEQYÏT. AVG. — L’Équité, debout à ganche, tenant une balance et une corne d’abondance. (CoHEM, SHppl.,VII, 268, 4) . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. ^. — AETERN.AVG. — Le Soleil radié, à demi-Du, debout à gauche, levant la main droite et tenant un globe. A l’exei^ue, M. T. {Cohen, IV, 336, 39.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. Çf. - AETERNITAS AVG. — Même type. Rien à l’exergue. (Cohen, IV, 3S6, 41.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ÇT. — Même légende. — Même type. Dans le champ, à gauche, T. {CoqEH, Ibid.) . — La même. . — GALLIENVS P. F. AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament et la cuirasse. 9*. — AETERNITATI AVG. — Le Soleil radié, à demi-Du, debout à gauche, levant la main droite et tenant un globe. Dans le champ, à gauche, une étoile. {Cohen, IV, 357, 50.) DigitizedbyGoO^le — 76 — . — Même légende. — Même type. -. — ANNONÂ AVG. — L’AboniJance, debout à droite, le pied gauche posé sur une proue de vaisseau, tenant un gouvernail sur un globe et des épis. (CoHEM, IV, 358, 53.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — ANNONA AVG. — L’Abondance, debout à gauche, auprès du modias, tenant des épis et une (Cohen, IV, 358, 54.) . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. J^. ~ APOLLINI CONS.AVG. - Centaure marchant à droite et tirant de l’arc. A l’esergue, Z. (Cohen, IV, 358, 58.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. Itf. — Même légende. — Centaure marchant à gauche et tenant un globe et des flèches. A l’exergue, H. (CoHE>,.IV, 358, 59.) . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite. ^. — APOLLINI CONS.AVG. - Griffon marchant à droite. A l’exerge, A. (Cohen, IV, 358, 60.) DigitizedbyGoO^le — 77 — . - IMP.GALLIENVS AVG. — Télé radiée à droite. Cf. — Même légende. — Griffoo marchant à gauche. A l’exei^ue, A, (Cohen, IV, 358, 61.) . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Même tête. Cf. — Même revers. (Cohen, IV, 359, 62.) . — La même. . — Même légende. — Même tête. çr. — ÂPOLLO CONSER. — Apollon nu, à gauche, debout, tenant une branche de laurier et portant le manteau sur le bras gauche. (Cohen, IV, 359, 66.) . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite. Cf. — APOLLO CONSER. — Apollon nu, debout de face, regardant h. droite, posant la main gauche sur sa tête et s’appuyant sur une lyre placée sur un autel orné de draperies. (CoBEH, IV, 359, 67.) . — Même légende. — Même tête. ^. — APOLLO CONSERVA. — Apollon nu, debout de face, regardant à droite, posant sa main droite snr sa tête et s’appuyant sur une lyre placée sur un autel orné de draperies. (Cohen, IV, 359, 69.) . — La même. DigitizedbyGoO^le 171. — Même légeade. — Même tête. ÇT. — BON.EVEN.AVG. — Ginie du, debout à gauche, auprès d’un autel allumé, tenant une patère et des épis. A l’exergue, M T. (Cohen, IV, 360, 74.) . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. ^. — COHH . PRAET .VI P. VI F. — Lion radié, marcliaat à droite. (Cohen, IV, 360, 78.) . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. ^. — CONCOR.AVG. — La Concorde, assise à gauche, tenant une patère et une corne d’aboDdance. A l’exergue, M T. (Cohen, IV, 361, 81.) 17o. — La même. . — Même légende. — Buste radié à droite, avec la cairasse. ^. — CONCORDIA AVG. — La Concorde, debout à gauche, tenant une patère et ane double corne d’abondance. (Cohen, IV, 361,84.) . — IMP.C. P. Lie. GALLIENVS AVG. — fiuste radié à droite, avec le paludament. Cf. — CONCORDIA EXERCIT.’— La Concorde, debout à gauche, tenant une patère et une double corne d’abondance. (CoHBK, IV, 361,«8.) DigitizedbvGoO^le - 1» — . — GALUENVS AVG. — Bnste radié à droite. y. — CONSERVAT. AVGG. — Apollon nu, debout à gaucbe, tenant une branclie de laurier et appuyé sur sa lyre. (CoujM, Suppl., VII, 269, H.) . — Même légende. — Buste radié à droite, avec le paludament. y. — CONSERVT.AVGG. — Même type. (Cohen, Suppl., VU, 269, 12.) . — Même légende. — Buste radié à droite. y. — CONSERVAT. PIETAT. — Gallien, debout a gauche, en habit militaire, tendant la main à une femme agenouillée, et tenant un sceptre. A l’exergue, XU. (CoHBH, IV, 363, 97.) . — La même. . — GALLIENVS P. F. AVG. — Buste radié à droite, avec le paludameut et la cuirasse. y. — DEO MARTI. — Mars casqué, debout daiis un temple à quatre colonnes, appuyé sur un bouclier. (CoHEH, IV, 363, 100.) . — La même. . — IMP. GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. y. — DIANAE CONS . AVG. — Biche marchant à droite et regardant à gauche. A l’exergue, £. (ConE», IV, 363, 103.) . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite. DigitizedbyGoOl^le - 80 - 9". — Même légende. — Biche debout à droite et regardant à gauche : À l’exergue, G. {Cohen, IV, 363, 104.) . — La même. . — IMP.GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite. ^. — Même légende. — Biche debout à gauche et regardant à droite. À l’exergue, £. {CoHEM, rv, 364, 105.) •189. — La même. . — GALLIENVS AVG. — Même tête. ^. — Même revers. (Inédite.) . — Même légende. — Même tête. ^. — Même légende. — Cerf debout à droite. A l’exergue, X. (Cohen, IV, 364, 106.) . •— La même. . — Même légende. — Même tête. ^. — Même légende. — Cerf debout à gauche. A l’exergue, X. (CoHEH, IV, 364, 107.) . — La même. . — La même, sans exergue. . — Même légende. — Même tête. ^. — Même légende. — Antilope debout à droite. A l’exergue, XI. (CoHEM, IV, 364, 108.) . — La même. DigitizedbyGoO^le - 81 — . — La même. ’^. — Le même. (Variété dans la forme des lettres et dans celle de l’antilope.) . — La même. . ■>- La même. . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. Cf. — Même légende. — Antilope debout à gauche. A l’exergue, X. (CoHEM, IV, 364, 109.) . — U même. . — Même légende. — Même buste. Cf. — Même légende. — Même type. A l’exergue, T. . — La même. . — La même. ^. — Le même. — A l’exergue, XII. . — La même. . - IMP. GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, ’ avec le paludament et la cuirasse. ^. — DIANA FELIX. — Diane marchant à droite, tirant une flèche de son carquois et tenant un arc ; elle est accompagnée d’un lévrier qui court à droite. (Cohen, IV, 364, 110.) . — GALLIENVS AVG. - Tête radiée à gauche. Cf. — DIANA FELIX. — Diane debout à droite, te-DigitizedbyGoO ^le liant une javeliDe avec la pointe baissée, et un siw tendu ; un lévrier conrt devaitt elle. (Inédite.) . — Même légende. — Tête radiée à droite. Cf. — Même légende. — Même type. (Cohen, IV, 364, US.) . — La même. . — La même. . — Même légende. — Même tête. ^. ~ FECVNDITAS AVG. - La Fécondité, debout k gauche, tendant la main à un enfant et tenant une corne d’abondance. (Cohen, IV, 365, 116.) ■213. — Même légende. — Même tête. -. — FELICIT.AVG. - La Félicité, debout à droite, tenant un caducée et un globe. Daus le ebamp,T. (Cohen, IV, 363, 119.) . — Même légende. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. ^. — Même légende. — La Félicité, debout à gancbe, tenant un caducée et un sceptre. A l’esergue, P. (Cohen, IV, 369,1^1.) . — La même. * ÇT. — Le même. — Dans le champ, à -droite, P. . — La même. ^. — Le même. — Dans le cbamp, à gauche, P. . — IMP.C.P.LIC.GALIJENVS P. F. AVG. - Buste radié à droite, avec la cuirasse. DigitizedbyGoO^le W. — FELICITAS AVGG. - ta Félidté, debout à gauche, lenant un caducée et une corne d’abondance. (CoHEH, IV, 366, 124.) . — GALLIENVS AVG. - Busle radié à droite, avee II i cuirasse. ÇT. — Même légende. — Même type. (CoHE^, IV, 366, 129.) . — Même légende. — Tête radiée à droite. içr. — FEUCIT.PVBL. — La Félicité, assise à gaoche, tenant un caducée et une corne d’abondance. A l’exergue, T, (COBEN, IV, 367, 134.) Ô. — U Blême. . — Même légende. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. ^. — *1DES EXERC.VIII. — La Foi, debout à ’ droite, lenant une aigle légionnaire et une enseigne 1 Btiliiaire transversale. (CoBEN, IV, 368, 144.) ââ. — Même légende. — Buste radié à droite. ^. — FIDËS MILIT. — La Foi, debout à gauche, tenant une enseigne militaire et un sceptre transversai. A l’exergue, M P. (CoBKi, IV, 369, ISl.) 223. — La même. . — Même légende. ~ Même buste. ^. — FIDES MIUTVM. — La Foi, débouta gau- | — 84 — cbc, tenant une enseigne militaire el un sceptre droit. (CoBEN, IV, 369, 152.) — l^a même. — La même. ]^. — Le même. — Dans le champ, k droite, N. — La même. ^. — Le même. — Dans le champ, à droite, H. — La même. — GALUENVS AVG. - Buste radié à droite. ^. — FORT.REDVX. — La Fortune, debont à gauche, tenant un gouvernail et une corne d’abondance. A l’exergue, S. (Cohen, IV, 370, 165.) — IMP.GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite. If, — Même légende. — La Fortune, assise à gauche, tenant un gouvernail et un corne d’abondance. A l’exergue, M S. (Cohen, IV, 370, 166.) — La même. . — IMP.GALLIENVS P.F.AVG. — Tête radiée à droite. ÇT. — Même légende. — Même type. A l’exerçuc, S. (Variété.) . — IMP, GALLIENVS P. AVG. — Tête radiée à droite. DigitizedbyGoO^le çr. — FORT. REDVX. — La Fortune, assise à gauche, tenant un gouvernail et une corne d’abondance. A l’exergue, M S. (Variété.) (Cohen, IV, 370, 166.) . „ GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite. ^. _ FORTVNA RED. — La Fortune, debout à gauche, tenant un gouvernail et une corne d’abondance. Dans le champ, une étoile et S. (CoBEN, IV, 370, 168.) . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. ^. — FORTVNA REDVX. — La Fortune, debout à gauche, tenant an gouvernail et une corne d’abondance. Dans le cbamp, à droite, S. (Cohen, IV, 371, 169.) . — La même. . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à gauche. ç :. — FORTVNA REDVX. — La Fortune, debout à gauche, tenant un gouvernail et une corne d’abondance. Dans le champ, à gauche, S. (Inédite.) . - GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite.

^, _ FORTVNA REDVX. ~- La Fortune, assise à

gauche, tenant un gouvernail et une corne d’abondance. A l’exergue, S. (Cohen, IV, 371, 175.) . — La même. ^. — Même légende. — Même buste. DigitizedbyGoO^le ^. — GENIVS AVG. — GÂiie coiffé du modius, debout à gauche, tenant une patère el une corne d’abondance ; à droite^ une enseigné. (Cohen, IV, 372, 183.) . — La même. ÇC. -^ Le même. — Dans le champ, à gauche, V. . -" La même. Cf. -^ Le même. -^ Dans le champ, & gauche, Vl. (Variété-) . — GALLIENVS P. F. AVG. — Buste radié à droite. ^. — GERMANICVS MAX.V. — Trophée au bas duquel sont assis deux Germains, les mains liées derrière te dos. (CoHEM, IV, 373, 188.)

. — La même.

’. — La même.

. — GALLIENVS P. F. AVG. — Buste radié à gauche,

avec la cuirasse, armé d’une sceptre et d’an bouclier. Çfi — Même légende. — Même type. (Cohen, IV, 373, 189.) (, - GALLIENVS AVG. -^ Tête radiée à droite. ^. — HERCVLI CONS . AVG. - Lion marchant à gauche. A l’exergue, A. (Cohen, IV, 373, 192.) ». — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. ^. — INDVLG . AVG. — L’Indulgence, mtrehartl i, DigitizedbyGoO^le — 87 - gauche, tenant une fleur et relevant sa robe. Dans le cbamp, à gauche, P. (CoHBN. fV, 374, 194.) . — La même. IV. — Le même. — Daoa la cbamp, S. . — .GALHENVS AVG. - Buste radié à droite. ^. — INDVLGENT.AVG. — L’indulgence, marchant à gauche, tenant une fleur et relevant sa robe. Dans le champ, à droite, P. (Inédite.) . — GALLIENVS AVG. - Buste radié à droite. R. — INDVLGET.AVG. — Même type, sana lettre dans le champ. (Ikédite.) . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. Cf. — INDVLGENT.AVG. — L’Indulgence, assise à gauche, tendant la oiain et tenant un sceptre. A l’exereue, P. (CoHEM, IV, 374, 198.) . — La même. . — La même. (Pièce surfrappée.) . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. ^. — INDVLGENTIA AVG. — L’Indulgence, debout h gauche, indiquant avec une baguette an globe qui est à ses pieds, tenant une corne d’abondance et appuyée sur une colonne. Dans le champ, à droite, XI. (CoHEw, IV, 374, 200.) DiqitizedbvGoO^le

258. — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — 10 VI CONS.AVG. - Chèvre marchant à gauche. A l’exergue, S. (Cohen, IV, 37S, 201.) . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite. ÇT. — 10 VI CONS.AVG. — Chèvre marchant à gauche. A l’esergue, S. (Cohen, IV, 375, 205.) . — Même légende. — Même buste. çr. — Même légende. — Chèvre marchant à droite. A l’exergue, S. (Cohen, IV, 375, 206.) . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à gauchs. ^. — lOVI CONSERVA. — Jupiter nu, debout à gauche, le manteau sur l’épaule gauche, tenant un foudre et un sceptre. A ses pieds, un aigle. (Cohen, IV, 376, 214.) . — Même légende. — Même buste. ^. — lOVl CONSERVAT. — Jupiter no, debout à gauche, le manteau sur l’épaule gauche, tenant un fondre et un sceptre. (Cohen, IV, 376, 216.) . — Même légende. — Même buste. ÇT. — Même légende. — Même type. Dans le champ, N. DigitizedbyGoO^le 267. — Même légende. — Même baste. ^. — Même légende, — Même type. Dans le champ, 7t. S68. — Même légende. — Même buste. Cf. - lOVIS CONSERVAT. - Même type. Dans le champ, à gauche, N. (Variété dans la légende.) . — La même. ^, — Dans le champ, à droite, N. . — Même légende. — Même buste. ^. — lOVI PROPVGNAT. — Jupiter nu, avec le manteau llottant, marchant à gauche, regardant en arrière, et tenant un foudre. Dans le champ, à gauche, XI. {Cohen, IV, 378, 227.) . — La même. . — GALLÏENVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. 1^. — lOVIS STATOB. — Jupiter nu, debout de face, regardant it droite, et tenant un sceptre et un foudre. (CoHEs, IV, 378, 230.) . — La même. . — La même. ÇT. — Dans le champ, à gauche, S. . — Même légende. — Même buste. ^. — lOVI VLTORI. — Jupiter nu, marchant à gauche, regardant à droite, portant le manteau but DiqitizedbyGoO^le — 90 — l’épaule gauc^ et tenaol un fbudre. Dans te chamiv, à gancbe, S. (CoHEB, IV, 379, 242.) . — La même. . — La raâme. . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. çr. — LAETITIA AVG. — La Joie, debout à gauche, tenaul une conroDne et une ancre. (CoHEM, IV, 380, 249.) . — La même. . — La même. — An revers, à l’exei^e, p. — La même. — Au revers, à l’exei^ne, S. — La même. — Au revers, dans le champ, S. — La même. — Au revers, dans le champ, V. — GALLIENVS P. AVG. — Buste radié à droite. Cf. — Même légende. — Même type. A l’exergue, P. {CoHEW, IV, 380, 250.) . — IMP.C. P. Lie. GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. ÇT. — LAETITIA AVGG. — Même type. (Variété dans la légende de l’avers.) {Cohen, ibid.) i. — IMP.C. P.UC. GALLIENVS P.F.AVG. — Buste laoré à droite, avec le paludameut et la cuirasse. DigitizedbyGoO^le -91 — Tf. — LAEmiA AVCG. — La Joie, ieiiint k gauche, tenant une couronne et nae atKre. (CoHBii, IV, 380, 252.) »ï. — 6AILIENVS ATG. — Buste radié à droite. ÇT. — Même légende. — Même type. {CoBEM, IV, 381, 263.) . — fflP.CALLIENVS P.F.AVG.— Busteradiéàdroite avec la cuirasse. V£. — Même légende. — Même type. (CoBE», IV, 381,284.) «. - IMP.GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite avec la cuirasse. ^. -- Même légende. — Même type. (CodES, IV, 38), 2SS.) . — GALLIENVS AVG. — Bnsie radié à droite, avec I cnirasse. y. — LEG.I ADI.VI P. VI F. — Capricorne coo rant à droite. (COBEB, IV, 381, 289.) . — Même légende. — Boste radié à droite, avec le palu dament, y. — LEG.I MIN.VI P. VI F. — Minerve casqaée debout à gauche, tenant le palladium et appuyé sur un bouelier ; une haste repose sur son bra gaecbe. (Cohen, IV, 382, 267.) . — La même. DigitizedbyGoOl^le 293. — Même légende. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. y. - LEG.UU FL.VI P.VI F. - Lion courant a droite. (CoHEU, IV, 384, 286.) . — Même légende. — Même buste. y. — LEG.VIl CL. Vil P. VU F. — Lion à droite. (CouEii, IV, 386, 299.) . — Même légende. — Buste radié à droite, avec le paludament. y. - LEG.X GEM.VI P.VI F. - Taureau à droite. {CoHE», IV, 386, 301.) . - OALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. ^. — UBERAL.AVG. — La Libéralité, debout a gauche, tenant une tessère et une corne d’abondance. Dans le champ, à gauche, S. (COBEK, IV, 389, 327.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, S. . — IMP.C.P.LIC.GALLIENVS P. F. AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. y. — LIBERALITAS AVGG. — Même type. (CoBE», IV, 389, 332.) . — GALUENVS AVG. — Tête radiée à droite. çt. — UBERO P.CONS.AVG. — Panthère marchant à gauche. A l’exergue, B. (ConEB, IV, 390, 337.) "^Êff. DigitizedbyGoO^le 301 . — La mênie. (Variété dans la forme de la panthère . — La même. (Aatre variété dans la forme de la Ihère.) . — GALLIENVS AVG. — Buste ndié à droite, avi paludament et la cuirasse. ^. — LIBERT.AVG. — La Liberté, deboi gauche, les jambes croisées, tenant un bonm ua sceptre transversal, et appuyée sur une lonae. Dans le champ, k droite, S. (COHEW, IV, 390, 34( . — Même légende. — Têle radiée à droite. ^. — LIBfclRTAS AVG. — La Liberté, deboi gauche, tenant un bonnet et un sceptre tr ersal. {Cohen, IV, 390, 34S . — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche . — La même. . — Même légende. — Buste radié à droite, avec la rasse. ^. — MARTI PACIFERO. — Mars casqué, i chant à gauche, tenant une branche d’olivier i main droite, et de la gauche une haste et un clier. (Inéditi . — Même légende. — Même buste. Cf. — Même légende. — Mars casqué, debo gauche, tenant une branche d’olivier et ap DigitizedbyGoO^le sur oa bovclier ; ^ baste repose s«r le bras gauche. Dans le champ, à gauche, Â. (CoBEN, IV, 392, mi.) . — La même. . — lA mênie. . — La même. — Pas de lettre 4 . — La même. . — La même. Dans le champ, H . — La même. . — La même. . - GALLIENVS AïG. - Buste

. - NEPTVNO CONS.AVG. - Hippocampe à

droite. A l’exergue, N. (CoHEH, IV, 393, 366.) . — La même. . -— Même légende. — Même buste. ^. — Mêiue légeude. — Capricorne & droite. A l’exergue, S. (CoBEM, IV, 394, 367.) . — La même. . — Même buste. ^. — ORIENS AVG. — Le Soleil à demi-no, radié, debout à gauche, levant la main ârotte et -teoaat un fouet. A l’exergue, P. (CoHBH, lY, 394, 372.) DigitizedbyGoO^le 321. — La œteiie.

ââ. — La même. — Au revers, dans le cbamp, à gauche, P.

. — La même. — Au revers, à l’exergue, S.

. — La même.

. — Héfloe légende. — Même buste.

Cf. — Même légende. — Le Soleil radié, à demi-nu debout à gauche, levant la main droite et tenan / un «101)6.

(Cohen, IV, 394, 373.)

. — La même.

. — IMP. GALLIENVS P. F. AVG. — Buste radié à droite

9f. — Même légende. — Même type. (Variété dan la légende de l’avers.)

^, _ GALLIENVS AVG. — Tête radiée à smzlg. lï". — Le même.

(Cohen, IV, 394, 374.)

. — Même légende. — Même tête.

R. — ORIENS AVG. — Le Soleil radié, mtirchac à gauche, levant la main droite et tenant un fouel

(Cohen, IV, 394, 376.)

^30. — La même.

. — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, 1

. — La même.

. — La même. 334. — IMP.GALLIENVS AVG. - Tête radiée à droite.

^. — PAX AETERiNA. — La Paix, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. Dans le champ, à gauche, A. (Inédite.)

. — Même légende. — Même tête.

R. — PAX AETERNA AVG. - Même type.

(Cohen, IV, 395, 384.)

. — La même.

. — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, A.

. — IMP.CAES.GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

R. — Même légende. — Même type.

(Cohen, IV, 396, 383.)

. — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

R. — PAX AETERNA AVG. — Même type. Dans le champ, à gauche, A.

(Cohen, Suppl., VII, 272, 43.)

. — La même.

. — Même légende. — Même tête.

R. — PAX AVG. — La Pais, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal.

(Cohen, IV, 396, 390.)

. — La même.

. — Même légende. — Buste radié à droite, avec la cui

R. — Même légende. — Même type. Dans le champ, à gauche, V,

(Cohen, IV, 396, 390.)

. — La même.

. — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, S ; à droite, I.

. — La même.

. — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, T.

. — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, T.

. — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

R. — PAX AVG. — La Paix, marchant à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. Dans le champ, à droite, S. ([[sc|Cohen}}, IV, 396, 393.)

ë0. — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, S.

. — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, P.

. — La même. — Au revers, rien dans le champ.

. — IMP. GALLIENVS AVG. - Buste radié à droite, avec la cuirasse.

^. — PAX AVGG. — Même type. Dans le champ, à gauche, T.

(Cohen, IV, 397, 398.)

. — GALLIENVS AVG. — Même buste. ^. — Même légende. — La Paix, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. Dans le champ, à droite, V.

(Cohen, IV, 397, 399.)

. — IMP.C.P.UC.GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament.

9^. — Même légende. — Même type. Rien dans le champ.

(Cohen, FV, 397, 400.)

. — IMP.GALUENVS P. F. AVG. CM. - Buste radié à droite, avec le paludament.

R. — Même légende. — Même type. Dans le champ, à gauche, V.

(Cohen, IV, 397, 401.)

. — La même.

. - IMP.C.P.LIC.GALLIENVSP.F.AVG.CM. - Buste radié à droite, avec la cuirasse.

R. — Même légende. — Même type. Dans le champ, à gauche, T. (Inédite.)

. — IMP.GALLIENVS P.F.AVG.CM. — Buste radié à droite, avec la cuirasse.

. — PAX AVGG. — La Paix, marchant à gauche, tenant une couronne et une palme.

(Cohen, IV, 397, 403.)

. — GALLIENVS AVG. — Même buste.

. — PAX PVBLICA. — La Paix, assise à gauche,

tenant une branche d’olivier et un sceptre.

(Cohen, IV, 398, 410.) 361. — La même.

. — La même. — Au revers, à l’exei^e, V.

. — Même légende. — Hême buste.

R. — PERPETVITATI AVG. — L’Éternité, del à gauche, tenant on globe et un sceptre transversal, et appuyée sur une colonne.

(Cohen, IV, 398, A)

. — IMP.GALLIENVS AVG. — Tète radiée à droite,

. — PIETAS ÂVG. — La Piété, debout à gauche auprès d’un autel allumé, et levant les deux ma A l’esergue, P.

(Cohen, IV, 399, U)

. — La même. — Au revers, dans le champ, à gauchf

. — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. Cf. — Même légende. — Même type. Dans le chami

(Cohen, IV, 399, U)

. — La même.

. — La même. — An revers, dans le champ, S.

. — La même.

. — La même. — Au revers, à l’exergue, M. P.

371. — La même.

. — IMP.C. P. Lie. GALLIENVS P. F. AVG. — B radié à droite, avec le paludament.

— PIETAS AVGG. — Valërien et Gallien, debout en face l’un de l’autre, sacrifiant sur un autel et tenant, l’un un sceptre surmonté d’un aigle, l’autre un parazouium. (CouE», IV, 390, M9.)

IMP.GALLIENVS P.F.AVG.GEBM. — Tête radiée il droite,

R. — P.M.TR.P.im COS. m P.P. — Le Soleil radié, à demi-nu, marchant à gauche, levant la main droite et tenant un fouet.

(Cohen, IV, 4M, 127.)

IMP.C.P.Lie.GALLIENVS P.F. AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse.

R. — Même légende. — Même type.

(Cohen, IV, 401, 428.)

GALLIENVS PIVS AVG. — Même buste.

R. — P.M.TR.P.VII COS.mi P.P. — Mars casqué, nu, le manteau flottant, marchant à droite et portant une haste et un trophée.

(Cohen, IV, 402, 436.)

GALLIENVS P. F. AVG. — Buste radié à goutte, avec la cuirasse, tenant une lance et un bouclier.

Bf. — Le même.

(Cohen, Suppl., VII, 273, 47.)

GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

R. — P.M.TB.P.VII COS. — Gallien, debout à gauche, sacrifiant sur un trépied allumé et tenant un sceptre court. A l’exergue, M P.

(Cohen, IV, 402, 437.)

. — IMP.GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

R. — Même légende. — Même type.

(CoHE», IV, 402, M8.)

. — La même, sans lettres à l’exergue.

. — IMP. GALUENVS P. AVG. - Tête radiée à droite.

^. — Le même.

(CoHE», IV, 402, 439.)

. — IMP.GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

R. — Même légende. — Gallien voilé, assis à gauche sur une chaise curule, tenant un globe et un sceptre. A l’exergue, M . S.

(Cohen, IV, 403, 442.)

. — La même.

. — IMP.GALLIENVS P. AVG. — Tête radiée à droite.

y. — Même légende. — Même type. Rien à l’exergue.

(Coran, IV, 403, 443.)

. — IMP.GALLIENVS P.F.AVG. — Tête radiée à droite.

Cf. — Même légende. — Même type.

(Cohen, IV, 403, 444.)

. — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

Ç’. — PROVI . AVG. — La Providence, debout à gauche, indiquant avec une baguette un globe qui est à ses pieds, et tenant une corne d’abondance.

(Cohen, IV, 406, 462.)

. — La même.

. — Même légende. — Même tête.

^. — PROVID . AVG. — La Providence, debout à gauche, tenant un globe et un sceptre transversal. A l’exergue, M . P.

(Cohen, IV, 406, 464.)

388. — La même.

. — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, P.

. - GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

. — PROVID. AVG. — La Providence, debout à gauche, indiquant avec une baguette un globe qui est à ses pieds, et tenant une corne d’abondance. Dans le champ, à droite, V.

(Cohen, IV, 406, 466.)

91. — Même légende. — Même tête.

Çf. — Même légende. — La Providence, debout à gauche, tenant une baguette et une corne d’abondance ; à ses pieds, nn globe. Dans le champ, à droite, X.

(Cohen, IV, 406, 467.)

92. — La même.

93. — Même légende. — Même tête.

Cf. — Même légende. — La Providence, debout à gauche, tenant une baguette et un sceptre ; à ses pieds, un globe. Dans le champ, P — II. (Variété du numéro précédent.)

94. — La même.

S. — IMP. GALLIENVS P. AVG. — Buste radié à droite.

. — PROVID . AVG. — La Providence, debout à

gauche, indiquant avec une baguette no globe qui est à ses pieds, et tenant un sceptre.

(Cohen, IV, 406, 468.)

. — IMP.GALUENVS AVG. — Tête radiée à droite.

Cf. — Même légende. — Même type. (Variété du numéro précédent.)

. — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

Cf. — PROVIDEN.AVG. — La Providence, debout à gauche, tenant un globe et un sceptre transversal. (Inédite.)

. — Même légende. — Tête radiée à droite, avec la cuirasse.

çf. — Même légende. — La Providence, debout à gauche, indiquant avec une baguette un globe qui est à ses pieds, et tenant une corne d’abondance.

(Cohen, Suppl., VU, 273, ol.)

. — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

Cf. — PROVIDENT.AVG. — La Providence, debout à gauche, indiquant avec une baguette un globe qui est à ses pieds, et tenant une corne d’abondance. (Inédite.)

. — La même.

. — IMP.G.P.Lie. GALLIENVS P.F.AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse.

çf. - PROVIDENTIA AVGG. — La Providence, debout à gauche, indiquant avec une baguette un globe qui est à ses pieds, et tenant une corne d’abondance. (Variété.)

(Cohen, IV, 407, 476.)

. — La même.

. — GALHEIWS AVG. — Buste radié à droite, avec ie paludament.

. — SAECVLARES AVG. — Cerf debout à droite ; dessous, une branche d’arbre.

(Cohen, IV, 410, 496.)

. — IMP.GALLIENVS AVG. — Tète radiée à droite. Cf. — SALVS AVG. — Esculape, debout à gauche, tenant un bâton autour duquel est enroulé uo serpent. A l’exerçue, P.

(Cohen, IV, 411, 500.)

403. — La même.

. — La même. — Au revers, à l’exergue, M P.

. — La même.

. — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse.

çr. _ SALVS AVG. — La Santé, debout à droite, nourrissant un serpent qu’elle tient dans ses bras.

(Cohen, IV, 411,503.)

. — La même.

. — Même légende. — Tête radiée à droite, avec le paludament. Cf. — Même légende. — Même type. A l’exergue, M. S.

. — La même.

. — La même. — Au revers, dans le champ, XIL

. — La même.

. — Même légende. — Tête radiée à droite. Cf. — Même légende. — La Santé, debout à gauche, présentant à manger à un serpent qui s’élance d’un autel, et tenant un sceptre. Dans le champ, SL

(Cohen, IV, 411, 504.)

. — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, P.

. — Même légende. — Même tête.

Çf. — SECVRIT.AVG. — La Sécurité, debout k gauche, les jambes croisées, posant la main droite sur sa tête, et s’appujant sur une colonne. Dans le champ, à gauche, VI.

(Cohen, IV, 412, 512.)

. — Même légende. — Même tête.

. — SECVRIT.ORBIS. — La Sécurité, assise à gauche, tenant un sceptre, et soutenant sa tête avec la main gauche. A l’exergue, VL

(Cohen, IV, 413, 514.)

. — La même. — Au revers, à l’exei^ue, T.

. - IMP.GALLIKNVS AVG. — Tète radiée à droite.

. — SECVRIT PERPET. — Même type. Dans le champ, à droite, H.

(Cohen, IV, 413, 517.)

. — GALLIEIWS AVG. — Têle radiée à droite.

. — Même légende. — La Sécurité, debont !t gauche, les jambes croisées, tenant un sceptre et s’appuyaut sur une colonne.

(Cohen, IV, 413, 518.)

. — La même.

. — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, H.

. — La même.

. — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, N.

. — Même légende. — Même tête.

çr. — SECVR . TENPO. (sk). — Même type. A l’exerge, M. S.

(Cohen, IV, 413, S19.)

. — La même.

. — Même légende. — Même tête.

. — SOLI CONS.AVG. — Pégase à droite, s’élevant en l’air. A l’exergue, A.

(Cohen, IV, 414, 524.}

. — La même.

. — IMP.GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

çf. — Le même. — A l’exergue, A.

(Cohen, IV, 414, 525.)

. — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

çr. — SOU CONS.AVG. — Taureau à droite. A l’exerçue, XI.

(Cohen, IV, 414, 526.) . — GâLUENVS AVG. - Buste radié à droite, avec la cuirasse.

. — SOLI CONS . AVG. — Pégase à gauche, s’élevant en l’air. A l’exergue, Â. (Inédite.)

. — Même légende. — Même tête.

Çf. — SPES PVBLICA. — L’Espérance, marchant à gauche, tenant ane fleur et relevant sa robe. (Variété.)

(Cohen, IV, 415, 532.)

. - Même légende. — Même tête.

. - VBERITAS AVG. — La Fertilité, debout à gaoche, tenant une grappe de raisin et une corne d’abondance.

(Cohen, IV, 416, 541.)

. — La même.

. — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, £.

. — La même.

. — IMP.GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite.

. — Même légende. — Même type. Dans le champ, à droite, £.

(Cohen, IV, 416, S43.)

. - IMF . GALLIENVS P . F , AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament et la cuirasse.

Cf. — VICT.GERM. — Victoire marchant à gauche, tenant une couronne et une palme-, à ses pieds, un captif.

(Cohen, IV, 419, 562

. — GALLIENVS P.F.AVG. — Buste radié à gauche, avec la cuirasse, armé d’one hasle et d’un bouclier.

9-. — VICT.GERMANICA. — Victoire courant à gauche, tenant une couronne et un trophée, et posant le pied droit sur un Germain assis à terré, les mains liées derrière le dos.

(Cohen, IV, 421, 571.)

. — GALLIENVS P.F.AVG. — Tête radiée à droite.

. — Même légende. — Même type.

(Cohen, IV, 421,572.)

. — La même.

. — GALLIENVS P.F.AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse.

Çf. ~ VICT.GERMANICA. - Victoire marchant à droite et tenant un trophée et une couronne ; sous ses pieds, un globe ; de chaque côté, un Germain assis à terre dans l’attitude de la tristesse.

(Cohen, IV, 421, 573.)

. — GALLIENVS P.F.AVG. — Buste radié à gauche, avec la cuirasse, armé d’une haste et d’un bouclier.

. — Même légende. — Même type.

(Cohen, IV, 421, 575.)

. — GALLIENVS P.F.AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse.

Çf. — VICT . GERMANICA. — Victoire marchant à gauche, tenant une couronne et une palme. (Inédite.) - 109 — 44S. ~ GALLIENVS P.F.AVG. — Buste radié à gauchey avec la cuirasse, armé d’une baste et d’un bouclier. ^. — VICT.GERMANICA. — Victoire marchant à gauche, tenant une couronne et une palme. (Ihédite.) UG. — GALLIENVS AVG. — Même tête. ". — VICTORR AET. — Victoire debout à gauche, tenant une couronne et une palme. (CoHEM, IV, 421, 578.) ■447. — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, S. . — jii même. o0. ~ La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, Z. . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, S — P. . — La même. . — GALLIENVS AVG. — ïéte radiée à droite. Cf. — VICTORIA AVG. — Victoire debout à gauche, tenant une couronne et une palme. Dans le champ, à gauche, B, (Cohen, IV, 422, 582.) . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. Cf. — VICTORIA AVG. — Victoire marchant à DigitizedbyGoOt^le

— 110 gauche, tenant une couronne et une palme. Dans le champ, à gauche, T. (CoHEK, rv, 423, 887.) 4â6. — La même. . — GALLIENVS AVG. — Même buste. çt. — VICTORIA AVG. III. — Victoire marchant à gauche, tenant une couronne et une palme. Dans le champ, à gauche, T. (CouEK, IV, m, 600.) . — La même. . — Même légende. — Buste radié à droite, avec le paludament et la cuirasse. y. — VICTORIA AVG. VU. — Victoire marchant à gauche, tenant une couronne et une palme. (CoHEH, IV, 42S, 603.) . - IMP. GALLIENVS P.F.AVG.GERM. - Buste radié à droite, avec la cuirasse. 9". — VICTORIA AVGG. — Victoire debout à gauche, appuyée sur un bouclier et tenant une palme. (Inédite.) . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec la Cf. — VICTORIA AVG. VIII. — Victoire marchant à gauche, tenant une couronne et une palme. (CoHE«, IV, 423, 608.) . — IMP. GALLIENVS AVG. — Même buste. Cf. — VICTORIA AVGG. — Victoire s’élevant en DigitizedbyGoOl^le — m — Tair et tenant an diadème des deux mains ; de chaque côté, un bouclier. (CoHEM, IV, 426, 6H.) - IMP.GALLIENVS AVG. — Buste radié à gauche. Cf. — Même légende. — Même type. (Cohen, IV, 426, 613.) - IMP . GALLIENVS P . F . AVG . GERM. — Même buste. ^. ~ VICTORIA GERM. — Victoire debout à gauche, tenant une couronne et une palme ; à ses pieds, un captif. (Cohen, IV, 426, 618.) - La même. - Même légende. — Même buste. Cf. — VICTORIA GERMAN. — Victoire debout à droite, tenant une palme de la main gaucbe et présentant une couronne à Gallien, debout, en babil militaire, qui tient un globe et une haste. Dans le champ, une étoile. (Cohen, IV, 427, 620.) - La même. - IMP. C . P. Lie . GALLIENVS P. F. AVG. — Ruste radié à droite, avec la cuirasse. ^. — VICTORIA GERMANICA. — Victoire debout à gauche, tenant une couronne et une palme ; à ses pieds un captif assis, les mains liées derrière le dos. (InÉniTE.) ^ --■■**-- -DigitizedbyGoO ^le - 112 — 469. — GALLIENVS AVG. - Busle radié à droite, avec la cuirasse, çr. - VICTORIA G. M. — Même type. (Inédite.) «0. - IMP. GALUENVS P. F. AVG . G . M. — Bnsle radié à droite, avec la cuirasse. Cf. — Même légende. — Même type. (Cohen, IV, 128, 827.) 471. — La même. . — IMP. CF. Lie. GALLIENVS P. F. AVG. - Buste ’ radié à droite, avec la cuirasse. y. — VICTORIAE AVGG.IT.GERM. — Même tvpe. (CouEN, IV, 428, 638.) . — GALLIENVS P . F . AVG. — Buste radié à gamU, cuirassé, et tenant une liaste et un bouclier. Tf. - VIRT . GALLIENI AVG. — Gallien en habit militaire, marchant à droite, tenant une haste et un bouclier, et mettant le pied sur un captif. (Cohen, IV, 429, 641.) . ~ GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. ^. — VIRTVS AVG. — Mars casqué, debout à gauche, tenant un globe et un sceptre. (Cohen, IV, 430, 649.) . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, P. . — La même. DigitizedbyGoO^le j - H3 — . — La mtaie. . — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, P. . — La même. . — IMP . GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec cuirasse. Cf. — VIRTVS AVG. — Mars casqué, dehout à gauche, le pied posé sur un casque, tenant un globe et une haste. Dans le champ, à droite, P. (Cohen, IV, 431, 653.) . — IMP.GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. ^. — VIRTVS AVG. — Mars casqué, debout à gauche, tenant un globe et un sceptre. Dans le champ, à droite, P. (Variété.) (CoHE>, IV, 431, 6S3.) . — La même. . - GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite. ^. _ VIRTVS AVG. — Mars casqué, debout à gauche, le pied posé sur un casque, tenant un globe et une haste. Dans le champ, à droite, P. (Cohen, IV, 431, 654.) . - GALLIENVS P. F. AVG. - Buste radié à droite, avec cuirasse. ^. — VIRTVS AVG. — La Valeur casquée, debout à gauche, appuyée sur un bouclier et tenant une haste renversée. (Cohen, IV, 431,655, DigitizedbyGoO^le J — lU- . — GALLIENVS AVG. — Tête radiée à droite. ÇT. — Même légende. — Même type. (COBEK, iV, 431, 656.) . — La même. . ~ La même. — Aa revers, dans le champ, à droite, V. . — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, une étoile. . — La même. — An revers, dans le champ, à droite, M. . — La même. W . — La même. — Au revers, à l’exergne, P. . — La même. . — La même. — Au revers, à l’exergue, S. . — La même. . _ GALLIENVS P. F. AVG. — Tête radiée à droite. ^. — Même légende. — Même type. Dans le champ, à droite, P. (Cohen, VII, Suppl., 276, 74.) . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à gauche, avec la cuirasse. yc — VIRTVS AVG. — M&ne type. Dans le champ, à droite, VI. {Cohen, IV, 431, 637.) . - !MP. GALLIENVS P.F. AVG.G.M. — Buste radié i droite, avec la cuirasse. d by G OO’ ,gle J Cf. — VIRTVS AVGG. — Mara casqué, marchanl & droite, portaQt UDe baste et un trophée. (Variété.) (Cohen, IV, M3, 670.) M8. - GALLIENVS AVG, — Tête radiée à droite, çr. — Même légende. — Même type. (Cohen, ibid.) il». — IMP. GALLIENVS P.F.AVG.GÏMl. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. ÇT. — Même légende. — Même type. (CoBBN, IV, «3, 670.) 300. — La même. . - IMP. GALLIENVS P. F. AVG. G. M. - Buste radié à droite, avec la cuirasse. Cf. - VIRTVS AVGG. — Mars casqué, debout i droite, tenant une baste renversée, et appuyé sur UD bouclier. (Cohen, IV, J33, 672.) . - IMP.C.P.LIC.GALLIENVS AVG. - Même buste. çr. - VIRTVS AVGG. — La Valeur casquée, debout à gauche, appuyée sur un bouclier, et tenant une baste-renversée. (Cohen, IV, «3, 676.) . — IMP. C . P. Lie . GALLIENVS P. F. AVG. — Buste radié à gauche, avec la cuirasse, t^. — Même légende. — Même type. (Cohen, IV, iU, 680.) M. - GALLIENVS P . F . AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. DigitizedbyGoOl^le - 116 — iÇT. — Même légende. — Gallien, eo habit militaire, debout à droite, tenant une haste et une enseigne. (CoHEM, IV, 435, 686.) IS.— IMP.C.P.UC.GALLIENVS P.F.AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament et la cuirasse. ^. — VIRTVS AVGG. — Valérien et Gallien en habits militaires, debout en hce l’un de l’autre, tenant, l’un une haste et un globe, et l’autre une Victoire et une haste transversale. {Cohen, IV, 435, 687.1 . — GALLIENVS AVG. — Tête radiée a droite. çr. — VIBTVS AVGVSTI. - Mars casqué, debout à gauche, posant le pied sur un casque, et tenant un rameau et uo sceptre. Dans le champ, à gauche, X. (Cohen, IV, 436, 694.) . — La même. . — GALLIENVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. 9 ;-. _ VOTA DECENALIA. — Victoire debout à droite, écrivant sur un boucher attaché à un palmier. (CoBEH, IV, 436, 699.) SALONINE (CORNELIA SALONIHA.) emme de Gallien. Elle est pea connue. On suppose qu’elle péril à. la ne époque qae son mari, en SS8. DigitizedbyGoO^le — 117 - . — SALONINA AVG. - Bnsle diadème à droit» av«r croissant. ^. — AVG. IN PACE. — Salonine assise i tenant une branche d’olivier et un sceptr versai. A l’exergue, P. (CouEK, IV, ;«J . — La même. — Au revers, à l’exergue, M . S. 5U. — La même. . — La même. . — CORN. SALONINA AVG. - Buste diadème i avec le croissant. 9f. — Même légende. — Même type. A r< M. S. (Cohen, IV, 464 . — SALONINA AVG. — Même buste. ^. — AVGVSTA IN PACE. — Même l’exergue, P. (CosEK, IV, 463 . — SALONINA AVG. — Buste diadème à droi le croissant, y. — CONCORD . AET. — La Concorde, gaucbe, tenant une patère et une doubl d’abondance. A l’exergue, R P. (CoHE», IV, 4«5 . — CORN. SALONINA AVG. — Buste diadème î avec le croissant. ^. — CONCORDIA AVGG. — Gallien et Si DigitizedbyGoOl^le _ H8 — tous deux deboat, se donnant la main. Dans le champ, une étoile. {Cohen, IV, 465, 24.) . — SALONINA AVG. - Même buste. çr. — DEAE SEGETIAE. — Segetia, debout dans un temple à quatre colonnes, nimbée, tenant des deux mains son.voite au-dessus de sa léte. (CoBEM, IV, 466, 27.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. - FECVNDITAS AVG. — U Fécondité, debout à gauche, tendant la main à un enfant, et tenant une corne d’abondance. (Cohen, IV, 467, 30.) . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, A. . — La même. . — COR. SALONINA AVG. — Même buste. Cf. — Même légende. — Même type. Dans le champ,A. (COHEM, IV, 467, 31.) . — La même. . — CORNEL. SALONINA AVG. — Même buste. Çf. — Même légende. — Même type. (CoHEK, IV, 467, 32.) . — La même. . — SALONINA AVG. — Même buste. ^. --’ Même légende. — La Fécondité, debout à DigitizedbyGoOt^le - H9 - droite, tendant la main droite à un earaat, et en portant un autre sur le bras gauclie. (COHEH, IV, 467, 35.) . — La même. . — SALONIKA AVG. — Buste diadème à droite, ayec le croissant. 9". — FEUCITAS PVBLICA. - La Félicité, assise à gauche, tenant un caducée et une corne d’abondance. (COHEM, IV, 467, 38.) . — Même légende. — Même buste. Çf. — FELICIT.PVBL. - La Félicité, debout à gancbe, tenant un caducée et appuyée sur une colonne. (CoHE«, IV, 467, 39.) . — Même légende. — Même buste. Çf. — IVNO AVG. — Junon, assise à gauche, portant une fleur et an enfant emmaillotté. A l’exergue, M. S. (Cohen, IV, 468, 42.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ". — IVNO CONSERVAT. - Junon, debout à gauche, tenant une patère et un sceptre ; à ses pieds, un paon. Dans le champ, N. (Cohen, IV, 468, 43.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. DioitizedbvGoo^le

ç-. — IVNO REfifflA. — Junon, debout i gaache, lenaat une patère et un sceptre droit. (Cohen, IV, «8, 48.)

535. — La même.

536. — La même.

537. — Même légende. — Même buste. IST. — Même légende. — Junon Toilée, debout à gauche, tenant une patère et uu sceptre. A ses pieds, un paon. (Conra, IV, 468, 48.) . — SALONINA AVG. — Même buste. ^. — IVNO VICTRIX. — Junon, debout à droite, tenant une patère et un sceptre droit. (Variété.) (CoHE», IV, 468, 49.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, H.

. _ COR . SALONINA AVG. — Même buste. 

^. — IVNONI CONS . AVG. — Biche marchant à droite. A l’esergue, A. (CoHE», IV, 468, 80.) . — Même légende. — Même buste. ^. — Même légende. — Biche marchant à gauche. A l’exergue, A. (CoHEii, IV, 468, 81.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. y. - PIETAS AVG. — La Piété Toilée, debout k DiqitizedbyGoO^le j :jz^ - 121 — gauche, levant la main droite et tenant uoe boite à parfums. {Cohen, IV, 469, S5.) . — La même. . — La même. — Au revers, à l’exergue, P. i7. — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, P. . — Même légende. — Même buste. çf. — Même légende. — La Piété, debout à gauche, mettant un grain d’encens dans la flamme d’un autel, et tenant une boite à parfums. (CoHEs, iV, 469, S7.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. IST. — PIETAS AVGG. — Salonine, assise k gauche, tendant la main à deux enfants nus, dehout à gauche, et tenant un sceptre ; à côté de son siège, un troisième enfant dehout. (Cohen, IV, 469, 58.) . — La même. . — Même légende. — Même iiuste. Cf. — PVDICITIA. — La Pudeur, debout k gauche, tenant un voile et un sceptre. Dans le champ, à droite, Q. (Cohen, IV, 470, 62.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. DioitizedbvGoo^le _ 122 _ ^. — Hême légende. — La Pudeur, assise à gauche, tenant un voile et un sceptre. Â l’exergue, VI. (Cohen, IV, 470, 63.) . — La même. . — La même. — Au revers, à l’exergue, Q. . — La même. . — SALONINA AVG. — Buste diadème à droite, avec le croissant. ÇT. — PVDICITIA AVG. — La Pudeur, assise à gauche, tenant sou voile et un sceptre. (Variété.) (CoHÉH, IV, 470, 64.) . — Même légende. — Même buste. çr. — ROMAE AETERNAE. — Gallien, debout à gauche, recevant une Victoire des mains de Rome casquée, assise à gauche, tenant une haste ; derrière elle, un bouclier. (CoHEN, IV, 470, 67.) . — La même. — An revers, dans le champ, une étoile. . — Même légende. — Même buste. f. — VENVS AVG. — Vénus, debout à gauche, tenant un casque et une haste transversale, et a&< coudée à un bouclier. A l’exergue, Q . S. (Cohen, IV, 472, 76.) . — Même légende. — Même buste. Cf. — VENVS FELIX. — Vénus, assise b gauche, tendant la main à un enfant et tenant un sceptre. (CoHEH, IV, 472, 78.) DioitizedbvGoo^le — las- ses. — Même légende. — Même buste. Cf. — Même légende. — Vénus, debout à droite, tenant un sceptre et un enfant. (CoHBW, IV, 472, 79.) . — Même légende. — Même buste. ^. — Même légende. — Vénus, debout à gaucbe, tenant un globe et un sceptre ; à ses pieds, Cupidon debout. (Inédite.) . — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, P. . — Même légende. — Même buste. ^. — VENVS GENETRIX. — Vénus, debout à gauche, tenant un globe et nn sceptre ; à ses pieds, Cupidon debout. (CoHEH, IV, 472, 82.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, VL . — La même. . — Même légende. — Même buste. ". — VENVS VICT. — Vénus, debout à gauche, tenant un casque et un sceptre ; à ses pieds, Cupidon debout. (COHEM, IV, 472, 83.)

. — Même légende. — Tête diadèmée à droite. 

^. — Même légende. — Même type. Dans le champ, P. (Cohen, ibid.) DigitizedbyGoO^le — 124 — . — Même légende. — Baste diadème à droite. Cf. — Même légende. — VéDus, debout à gauche, tenant nn casque et une baste transversale, et accoudée à un bouclier. A l’exergue, M . S. (CoHEM, IV, 473, 84.) . — La même. . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — VENVS VICTRIX. — Vénus, debout à gauche, tenant un casque et un sceptre ; à ses pieds, un bouclier. {Cohen, IV, 473, 87.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, H. . — La même. . — Même légende. — Même buste. ". — Même légende. — Vénus k demi-nue, debout à droite, vue par derrière, appuyée sur une colonne, et tenant une palme et un casque. (CoBEN, IV, 473, 89.) . — La même.

. — Même légende. — Même buste. 

^. — VËSTA. — Vesta, debout à gauche, tenant une patëre et un sceptre transversai. (Cohen, IV, 473, 91.) . -~ La même. — Au revers, dans le champ, à droite, S. d by G OO’ ,gle ^ - 125 b 83. — La même. . — Même légende. — Même buste. Cf. — Même légende, — Vesia, assise à gauche, tenant une patère et un sceptre traosTersal. A l’exergue, Q. (Cohen, IV, 474, 94.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. Çf. — VESTA FELIX. — Vesta, debout à gauche, tenant une patère et un sceptre transversal. Dans le champ, à droite, S. (Cohen, IV, 474, 97.) . — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, S. . — La même. — Au revers, à l’exergue, S. POSTUME (CAIUS UARCUS CÀSSUNCS LA.TINIDS POSTUMVS.) Né en Ganle de parenU obscnrs, il fut nommé ganverneur de cette province par Valérien, et se fit proclamer empereur par ses soldats ea 358. Il fut massacré par ses Iroupes à Uayence en SST, au moment où eoq général, Lélieo, venait de se taire nommer empereur par ses légions. Ïi89. - IMP.C.POSTVMVS P.F.AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament. y. — CONCORD.EQVIT. — La Fortune, dclMut à DigitizedbyGoOl^le — 126 — gaache, tenant une patère et un gonvernail ; à côté d’elle, une proue. A l’exergue, S. (COBEN, V, 15, 12.) . ™ IMP. POSTVMVS AVG. - Même buste. ^. — Même légende. — Même type. (Variété.) {Cohen, V, 15, 12.) . — IMP. POSTVMVS AVG. — Même buste. ÇT. — Même légende. — La Fortune, debout à gauche, posant le pied droit sur une proue de vaisseau et tenant une patère et un gouvernail. A l’exergue, S. (Cohen, V, 16, 13). . ^ La même. . — IMP. C. POSTVMVS P.F.AVG. - Même buste. Cf. — COS . un, — Victoire à demi-nue, debout à droite, tenant une couronne et une palme. {Cohen, V, 17, 22.) . — La même. . — Même légende. — Même buale. Cf. - COS.V. — Même type. (COHEM, V, 17, 23.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — DIANAE LVCIFERAE. — Diane deboat k droite, le croissant sur la tête et le carquois derrière l’épaule, tenant des deux mains «ne torche enflammée. (CoHKM, V, 17, 24.) DiÔitizedbvGoot^le 598. — La iDéme. . — Même légende. — Même buste. y. — FELICITAS AVG. — La Félicité, deliout à gauclie, tenant an caducée et une corue d’abondance. (CoBEK, V, 17, 27.) . — La même. . — La même. . — IMP.POSTVMVS AVG. — Même buste. f . — FIDES AEQVIT. — La Foi, assise à gauche, tenant une patère et une enseigne militaire. (CoBEn, V, 18, 31.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. Ç’. — FIDES EQVIT. — Même tjpe. A l’exergue, P. (CoHi ;», V, 18, 32.) . — La même. . — IMP.C.POSTVMYS P.F.AVG. — Même buste. Cf. — FIDES EXERCITVS. — Quatre enseignes militaires, dont les deux du milieu sont surmontées d’un aigle. (Variété.) (CoHE», V, 18, 37.) . — Même légende. — Même buste. y. — FIDES MIHTVM. — La Foi, debout à gauche, tenant deux enseignes militaires. (COBBH, V, 19, 39.) . — La même. bigitizedbyGoOl^le 609. — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — FORTVNA AVG. — La Fortnne, debout à gauche, teoaat un gouveruail et une corne d’abondance. (COHEM, V, 19, 40.) . — La même. â. — Même légende. — Même buste. ^. — Même légende. — La Fortune, assise à gaU’ che, tenant un gouvernail et une corne d’abondance. {Cohen, V, 19,41.) . — Même légende. — Même buste.

. — HERC.DEVSONIENSI. —Hercalenu, debout

à droite, appuyé sur sa massoe et tenant un arc ; la peau de lion repose sur son bras gauche. (CoHEM, V, 19, 44.) . — La même. . — La même. . — Même légende, — Même buste.

. — HERC . PACIFERO. — Hercule nu, debout à

gauche, tenant une branche d’olivier et une massue, avec la peau de lion. (Cohen, V, 20, 46.) . — La même. . — La même. . — Même légende. — Même busle. DigitizedbyGoOt^le r — 129 - ^. — IMP.X COS.V. — Victoire à derai-nue, à droite, teuaiat une couronne et une palme. (CoHBN, V, 23, -" " - La même. . — La même. - Même légende. — Même buste. ". — lOVI PROPVGNAT. — Jupiter no, a manteau flottant, marchant à gauche et se i nant, tenant un foudre et tendant la main g (Cohen, V, 25, - IMP . C . POSTVMVS P . F . AVG. — Bttste r droite, avec le paludament. çr. — lOVI PROPVGNATORL - Jupiter nii - le manteau flottant, marchant à gauche et tournant, tenant un foudre et un aigle. {COHBM, V, 25, - Même légende. — Même buste. ^. — lOVI STATORI. — Jupiter nu, deb( face, regardant à droite, tenant un sceptre foudre. (Cohen, V, 25, - La même. . — La même. ■ Même légende. — Même buste. ^. — lOVI VICTORI. — Jupiter nu, marct gauche et se retoarnaut, tenant uo foudre t haste. (Cohen, V, 25, 1 DigitizedbyGoO^le 628. — La même. . — La même. ’ . — La même. — Au revers, dans le champ, C — A. {Variélé du numéro précédent.) .— La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — LAETITIA AVG. — Vaisseau avec quatre rameurs et un pilote, allant à gauche. {Cohen, V, 25, 83.) . — La même. . — Même légende. — Même busle. ^. - MERCVRIO FELICI. — Mercure à demi-nu, de face, regardant k droite, tenant une bourse et un caducée. (Cohen, V, 26, 88.) .~-IMP.C.POSTVMVS P. F. AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — MINER. FAVTR. — Minerve casquée,, courant à gauche, tenant une branche d’olivier de la maiD droite, et de la gauche un bouclier et un sceptre. (Cohen, V, 27, 90.) . — Même légende. — Même buste. ^. — MONETA AVG. — La Monnaie, debout à gauche, tenant une balance et une corne d’abondance. (Cohen, V, 27, 91.) . — La même. DigitizedbyGoO^le - 131 - . — La même. . — Même légende. — Même baste. Cf. — NEPTVNO REDVCI. — Neptune nu, debont à gauche, le manteau derrière lui, tenant un dauphin et an trident ; à gauche, un vaisseau Va à moitié. # (CoHEH, V, 27, 93.} . — La même. . — La même, (Pièce fourrée.) J2. — Même légende. — Même buste. Cf. — ORIENS AVG. — Le Soleil radié, marcbaot à gauche, levant la maiu droite et tenant un fouet. (Cohen, V, 27, 95.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, i gauche, P. . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — PACATOR ORBIS. — Buste du Soleil radié à droite, avec le paludament. (Cohen, V, 27, 96.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ÇT. — PAX AVG. — La Paix, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. (Cohen, V, 28, 97.) . — La même. DioitizedbvGoo^le — 132 — 6S0. — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, P. . — La même. . — La même. «  . — Même légende. — Même huste. Çif. — Même légende. — La Paix, marchant à pas précipités à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre. (Cohen, V, 28, 100.) . — La même. . -IMP.C.POSTVMVS P.F.AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. Cf. — PAX AVGVSTI. — La Paix, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. (Cohen, V, 28, 101.) . — Même légende. — Même buste. ^. — PAX EQVITVM. — La Paix, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. (CoHEM, V, 28, 102.) . — Même légende. — Même buste. Cf. ~ PIETAS AVG. — La Piété, debout à gauche, tenant deux enfants dans ses bras, et en ayant un debout de chaque côté. (Cohen, V, 29, 104.) . — La même. DigitizedbyGoO^le - 133 - . — Même légende. — Même buste. ^. — P. M. TR. P. COS. Il P.P. — Poslumecaaqné et en habit militaire, debout à gauche, UQ globe et une haste. (Cohen, V, 30, . ~ La même. . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — P.M.TR.P.Ilil COS. III P.P. - Ma que, DU, avec le manteau flottant, marc droite et portant une haste et un trophée. (COHEM, V, 31, . — La même. . — Même légende. — Même husle. ^. — P . M . TR . P . X CCS .V P. P. — Vie demi-nue, à droite, posant le pied gauche globe et tenant sur sou genou un bondir vo.xx. (Cohen, V, 32, . — Même légeode. — Même buste. ^. — Même légende. — Postume, ou le G^ Sénat, debout à gauche, tenant un rameau sceptre. (Cohen, V, 32, . — Même légende. — Même buste. ^. — PROVIDEOTIA AVG. — La Providen bout à gauche, tenant un globe et un sceptn versai. (Cohen, V, 33, >. . - La même. DigitizedbyGoO^le Î69. — La même. i70. — Même légende, — Même buste.

. — SAECVLI FELICITAS. — Postnrae, en habit

militaire, debout à droite, tenant une haste et un globe. (Cohen, V, 36, 156.) i. — La même. . — La même. . — Même légende. — Même buste. -. — SAECVLO FRVGIFERO. — Un caducée ailé. (Cohen, V, 36, 157.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. Cf. — SALVS AVG. — Eseulape, debout de face et regardant à gauche, appuyé sur un bâton autour duquel est enroulé un serpent ; à droite, an globe. (Cohen, V, 37, 158.) . — La même. . — La même. . — Même légende. — Même buste. Cf. — Même légende. — La Santé, debout à gauche, présentant à manger à un serpent enroulé autour d’un autel allumé, et appuyée sur un gouvernail. (Cohen, V, 37, 161.) . — IMP . C . POSTVMVS P . F . AVG. — Buste radié à droite, avec le paludaraent. a-. - SALVS POSTVMl AVG. — La Santé, debout DigitizedbyGoO^le - 135 — à droite, nourrissant un serpent qu’elle tient dans ses bras. (COHEH, V, 37, ifiSi I. — Même légende. — Même buste. ". — SALVS PROVINCIARVM. - Le R front armé de deux cornes, étendu à gauc coudé à une urne, posant la main droite vaisseau et tenant uue^ncre. {Cohen, V, 38, . — La même. . — La même. [. — Même légende. — Même bnste. Çf. — SERAPI COMITI AVG. — Sérapis, d gauche, levant la main droite et tenant un transversal. A ses pieds, un vaisseau. {Cohen, V, 38, eu. — La même. S. — Même légende. — Même buste. y. — Même légende. — Même type,, sans 1 seau. (CoHEH, V, 38, ’. — La même. . — Même légende. — Même bnste. -. — VBERTAS AVG. — La Fertilité, d< gauche, tenant une grappe de raisin et un d’abondance. (Cohen, V, 39, . — La même. DigitizedbyGoO^le - 136 — - Même légende. — Même buste. çf. — VICTORIA AVG. — Victoire marchant h gauche, tenant une coaronne et une palme ; à ses pieds, un captif assis. (Cohen, V, 40, 184.) - La même. - Même légende, — Même buste. ^. — VIRTVS AVG. — Mars casqué, debout à droite, tenant une faaste et appuyé sur un bouclier. (CoSEN, V, 41, 191.) - La même. - IMP. POSTVMVS AVG. - Même baste. W- — VIRTVS EQVIT. ~ Soldat marchant à droite et tenant une haste et un bouclier. (Cohen, V, 41, 195.) - La même. - IMP. C. POSTVMVS P. F. AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — VIRTVS EQVITVM. - Hercule nu, debout à droite, posant le revers de la main droite sur sa hanche et s’appuyant sur une massue enveloppée de la peau du lion et placée sur un rocher. A l’ exergue, S. (Cohen, V, 41, 196.) DigitizedbyGoO^le QUÏÉTUS (CAIDS FOLVICS QUIETDS.) FiU de HacrJED,’ recal le titre d’Angnste eo métne temps qae son père te huait proclamer empereur par l’armée d’Orient en ISO. Il hit m’a i mon à Émise, après la prise de cette ville par Odénat, en ISS. . — IMP.C.FVL.QVIETVS P.F.AVG. - Buste radié à droite, avec le paludameDt. ^. — INDVLGENTIAE AVG. — L’Indulgence, assise à gauche, tenant une patëre et un sceptre. Dans le champ, une étoile. (Cohen, V, 6, L) VALÉRIEN Fils aîné (CAIUS PDBUUS LICINICS CORNEUDS SALONINUS VALERIANTS.) Fils de Gillien et de Salonioe ; il fnt Tait César en S&3, et mis A mort par Postnme i Cologne en S80. Sa mémoire fut consacrée par son père quand il régnai seul. . — DIVO VALERIANO CAES. - Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — CONSACRATIO. — Aigle debout à gauche, retoamant la téie. (Cohen, IV, 480, 3.) . — La même. . — Même légende. — Tête radiée à droite, avec le paludament. çr. — Même l^nde. — Aigle volant à droite et DigitizedbyGoO^le - 138 — enlevant an ciel P. C. L. VaMrien, qai tient un sceptre. (Cohen, ÏV, 480, 5.)

. — La même. 

. — La même. . - DIVO CAES.VALERUNO. — Tête radiée à droite. ^. — CONSECRATIO. - Aigle debout à droite, se retournant. Â l’exergue, S. {COHEM, IV, 480, 7.) . — La même. . — Même légende. — Buste radié à droite, avec le paludament. Cf. — Même légende. — Aigle debout i. gauche, retournant la tête. (Cohen, IV, 480, 8.) . — La même. . — Même légende. — Tête radiée à droite. ^. — Même légende. — Autel allumé, orné de deux palmettes. (Cohen, IV, 481, 10.) . — La même. . — VALERIANVS CAES. — Buste radié à droite, avec le paludament. ■ çf. _ lOVI CRESCENTI. — Jupiter enfant, ^sis de face sur la chèvre Amalthée, qui marche à droite ; il lève le bras droit, regarde à gauche, et tient la chèvre par les cornes. (Cohen, IV, 482, 18.) . — La même. DigitizedbyGoO^le 711. — La même. . — P.C.L.VALERIANVS NOB.CAES. — Buste radié à droite, avec le paludament. 9". — Même légende. — Même type. (Cohen, IV, 482, 20.) .— P.LIC.VALERIANVS CAES. — Buste radié à droite, avec le paludament. çr. — PIETAS AVGG. — Aspersoir, simpule, vase à sacrifice tourné à droite, couteau de sacrificateur et bâton d’aueure. (CoHEH, IV, 483,31.) . — P.C.L.VALERIANVS NOB.CAES. — Même buste. ^. — Même légende. — Bâton d’augure, couteau de sacrificateur, patère, vase tourné k gauche, simpule et aspersoir. {Cohen, IV, 4&4, 35.). . — Même légende. — Buste radié à droite, avec le paludament et la cuirasse. çr. - PRINCIPI IVVENT. — P. C. L. Valérien, en habit militaire, debout à gauche, tenant un globe et une baste renversée. (Cohen, IV, 485, 47.) VALËRIEN Fils jeune, ou SALONIN (PCBLKJS AUHELICS lICINniS SALONINUS VALERIANU8.) Fils de Gallien et de Silonine ; fut oomiué César et AugOste après la mort le soD frère ; assassine en S60 par Postume. DigitizedbvGoO^le — 140 - . — SALON .VALERIANVS CAES. — Tête radiée à droite, avec te paludatnent. Cf. ■- PIETAS AVG. — Bâton d’augure, couteaa de sacrificateur, vase à sacririce tourné à gauche, simpnle et aspersoir. (Cohen, IV, 483, 27.) . — La même. . - SAL.VALERIANVS CS. — Même tête. ÇT. — PRINC . IVVENT. - Salonin, debout à gauche, tenant une baguette et une haste transversale ; à droite, une enseigne, (Cohen, IV, 486, 49.) . — La même. . — LIC.COR.SAL.VALERLVNVS N.CAES. — Buste radié à droite, avec le paludament. Çf. — Même légende. — Salonin, debout à gauche, tenant un globe et une haste ; à ses pieds, un captif assis. (Cohen, IV, 486, 51.) . — SALON .VALERIANVS CAES. — Même buste. ". — SPES PVBLICA. — L’Espérance, marchant à gauche, tenant une fleur et relevant sa robe. (Cohen, IV, 487, 57.) . ~ La même. . — SALON .VALERIANVS NOB.CAES. — Même buste. ÇT. — Même l^ende. — Salonin en habit militaire, debout à droite, tenant une haste ; l’Espérance, debout à gauche, lui présente une fleur et relève sa robe (CoBEi, IV, «7, 89.) DigitizedbïGoOl^le — 141 — VALÉRIEN Jeune, Frère de GALLBEN (PUBLICS LICINICS VALEEIÀNUS.) Fils de Talérien ; il ^it laé i Uilu en aes, ea mime tempr que Gallica. . — VALERIANVS P.F. AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament et la cuirasse. ^. - DEO VOLKANO, — Valwio, debout à gauche, dans un temple à quatre colonnes, tenant un marteau et des tenailles ; à ses pieds une enclume. (Cohen, IV, 498, 1.) . — La même. . — La même. — Sans enclume au revers. (CûHEH, IV, 498, 2.) . — Même légende. — Même buste.

  • . — ORIENS AVGG. — Le Soleil radié, na, debout

à gauche, levant la main droite et tenant un globe. (Cohen, IV, 499, 4.) . — Même l^ende. — Même buste. ^. — Même légende. — Le Soleil radié, du, marchant à gauche, avec le manteau flottant, levant la main droite et tenant un fouet. (CoHEs, IV, 499, 5.) . — Même légende. — Même buste. çr. — VIRTVS AVGG. — La Valeur casquée, debout à gauche, tenant une Victoire et une haste. (Cohen, IV, 499, 9.) DigitizedbyGoO^le - 142 — VICTORIN (PIACTONinS VICTORINUS.) Fat choisi jtar Postnme poar collègue à l’empire vers 365, el régna quelque temps seul après la mort de celui-ci et celle de Lélien. Il fat poignardé par ses soldats i Coli^ne en 26T. .— IMP.C.PI,.VICTORINVS AVG. — Buste radié à droite, avec ta cairasse. Cf. — AEQUITAS AVG. — L’Équité, debout à gauche, tenant une balance et une corne d’abondance. (Cohen, V, 63, S.) . — La même. . — IMP.C.VICTORLNVS P. F. AVG. ~ Même buste. Cf. — Même légende. — Même type. (Cohen, V, 64, 6.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ÇT. — FIDES MILITVM. — La Foi, debout à gauche, tenant deus enseignes militaires. (Cohen, V, 65, 20.) o. — IMP.C.PIAV.VICTORINVS P. F. AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. Cf. — Même légende. — Même type. (Cohen, V, 65, 21.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — INVICTVS. — Le Soleil à demi-nu, marchant DigitizedbyGoO^le — 143 — à gauche, levant la main droite et tenant un fouet. Dans le champ, à gauche, une étoile. (Cohen, V, 66, 29.) . — IMP . C . VICTORINVS P . F . AVG. - Buste radié à droite, avec la cuirasse. Cf. — Même légende. — Même type. {CoHEM, V, 67, 30.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. Cf. — ORIENS AVG. — Le Soleil radié, marchant à gauche, levant la main droite et tenant un fouet. Dans le champ, P. (Cohen, V, 69, 46.) . — Même légende. — Buste radié à droite, avec le paludamcnt. ^. — FAX AVG, — La Paix, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. Dans le champ, V. (Cohen, V, 69, 48.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. Cf. — Même légende. — Même type. Dans le cbamp, V et une étoile. (Cohen, ibid.) . — La même. . — La même. . — IMP . C . PIAV.VICTORINVS P . F . AVG. — Même buste. DigitizedbyGoO^le - 144 — ÇT. — Héme légeode. — Même type. Pas de lettre ni d’étoile. (CoHEw, V, 69, 49.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — Même l^eDde. — Héme type. Dans le champ, V et nue étoile. (Cohen, ibid.) . — La même. . — IMP . C .VICTORINVS P . F . AVG. — Buste radié à droite, avec le paludameut. ^. — PIETAS AVG. — La Piété, debout à gauche, auprès d’un autel allumé, y mettant un grain d’encens et teoant ime boite à parfums. {Cohen, V, 70, 51.) . -^ La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — PROVIDENTÏA AVG. — La Providence, d&bout à gaucbc, tenant une baguette et une corae d’abondance ; à ses pieds, un globe. (CoHEM, V, 70, 57.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. çr. — SALVS AVG. — La Santé, debout à droite, nourrissant un serpent qu’elle tient dans ses bras. (CoHB«, V, 71, 6S.) . — La même. . — La même. DigitizedbyGoO^le — 145 — . — Même légende. — Buste radié à gauche, avec le p ludament et la cuirasse. ÇT, — Même légende. — Même type. {Cohen, V, 71, 66.) . — IMP.C.PI.VICTORINVS AVG. — Buste radié droite, avec le palodameot. Cf. — Même légende. — Même type. (Cohen, V, 72, 67. ; . - IMP.C.VICTORINVS P. F. AVG. — Même buste ÇT. — Même légende. — La Santé, debout à gauc présentant à manger à un serpent enroulé, aut d’un autel, et tenant un sceptre. (Cohen, V, 72, 70. . — La même. . — Même légende. — Buste radié k droite, avec la c rasse. ^. — VICTORIA AVG. — Victoire debout à gaae tenant une couronne et une palme. (CoHEM, V, 72, 75. . — Même légende. — Même buste. Cf. — Même légende. — Victoire marchant à gauc tenant une couronne et une palme. (CoHEw, V, 73, 76. . — Même légende. — Buste radié à droite, avec le ludament. ^. — VIRTVS AVG. — Mars (î) ou un soldat ( que à droite, tenant une haste et appuyé sur bouclier, (Cohen, V, 73, 80, DigitizedbyGoO^le 764. — La même. . — Même légende. — Même busle. ÇT. — Même légende. — La Valeur casquée, debout à gauche, appuyée sur un bouclier et tenant une haste. (Cohen, V, 73, 82.) LÉLIEN (CAIUS ULPIUS CORNEUUS LAEUANUS.) Ce tat.l» révolte de Lélien qui coula la vie i Postume en 367. Il rétablit les villes et les torts que celui-ci avait constniils, et qui, après sa mort, avaient été ravagés pat les Germains, !l fut assassiné par ses soldats, dont il exigeait des travaux trop pénibles. . — IMP.C.LAELIANVS P.F.AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. Çf. — VICTORIA ÂVG. — Victoire marcbant à droite, tenaut une couronne et une palme. (Cohen, V, 61, 3.) . — La même. MARIUS (CAIDS MABCU9 AUREUUS MABIUS.) D’abord simple ouvrier forgeron, il se Qt soldat et devint officier. L’armée des Gaules le proclama empereur en 26B, mais le troisième Jonr de son règne il fut assassiné par un soldat qrii avait été son camarade de forge, -et à qui Uarius refusa une grâce qu’il lui demandait. . — IMP . C . MARIVS P . F . AVG. — Son buste radié à droite, avec te paludament. DigitizedbyGoO^le _ 148 -ÇT. —VICTORIA AVG. — Victoire marchanl à gau- , cbe, tenaDt une couronne et une palme. (Variété.) (CoHEM, V, 79, 18.) , - IMP.C.M.AVR.MARIVS AVG. - Son buste radié à droite, avec la cuirasse. ^. — ViRTVS AVG. — Soldat casqué, debout à gauche, appuyé sur un bouclier et tenant une (Cohen, V, 79, 19.) . — La même. CLAUDE II (MABCOS AUBELIUS CLAUD1U8.) Surnommé le Gothique, é canse des vicloires qu’il remporta snr les GoUis ; il était né en Illyrie, d’une Tamille obecure. 11 lUt proclamé empetearen 288, et mourut de la peete é Sirmium, en STO. . - IMP . C . CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite, avec le patudament. ^. — ÂDVENTVS AVG. — Claude à cheval, à gauche, levant la main droite et tenant un sceptre. (Cohen, V, 85, 27.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — AEQVITAS AVG. - L’Équité, debout à gauéhe, tenant une balance et une corne d’abondance. (Cohen, V, 85, 29.) . — La même. . — La même. DigitizedbyGoO^le 785. — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, S. . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, H. . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Même huste. Itr. — Même légende. — Même type. Dans le diamp, S. (Cohen, V, 85, 31.) . — La même. — An revers, rien dans le champ. . — La même. . — IMP.CLAVDIVS P. F. AVG. — Même buste. ^. — Même légende. — Même type. (Cohen, Suppl., VII, 300, 4.) . — La même. . — La même. — Au revers, à l’exei^e, S, . — La même. . — IMP. CLAVDIVS AVG. - Tête radiée à droite. ^. — AETERNIT.AVG. - Le Soleil radié, debout à gauche, levant la main droite et tenant un globe. (CoHEK, V, 86, 35.) . — La même. . — La même. — Ao revers, à l’exergue, N. . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, N. DigitizedbyGoO^le

- 150 — . — La même. . — IMP . C . CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. çr. — ANNONA AVG. — L’Abondance, debout à gauche, tenant des épis et une corne d’abondance, et posant le pied droit sur une proue de vaisseau. (Cohen, V, 86, 38.) . — La même. . — Même légende’. — Même buste. ^. — Même légende. — Même type. Dans le champ, à droite, A. (Cohen, &»d.) . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite. ÇT. — Le même. Dans le champ, à droite, A. (Cohen, V, 86, 39.) . — La même. . — IMP.CLAVDIVS P. F. AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament. çr. — Même légende. — Même type. (Inédite.) . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Tête radiée à droite. ^. _ APOLLINI CONS. — Apollon nu, debout à gauche, tenant une branche de laurier, et appuyé sur une lyre posée sur un rocher. (Cohen, V, 87, 40.) . — La même. . — La même. — Au revers, à l’exergue, H. (Cohen, ibid.) . — La même. DigitizedbyGoOt^le 811. — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, H. (Cohen, ibid.) . — La même. . — IMP . C . CLAVDIVS AVG. - Busle radié k droite. Cf. — Même légeode. — Même Ijpe. Dans le champ, à droite, H. (CoHEM, V, 87, 41.) . — La même. . ~ DIVO CLAVDIO. - Tête radiée à droite. ^. — CONSECRATIO. — Aigle debout à gaoche, se retournaat. {CoHEH, V, 88, 49.) . — La même. . — La même. . — La même. . — Même légende. — Même buste. Cf. — Même ’légende. — Autel allumé, avec des pal mettes. (Cohen, V, 88, 51.) . — La même. . — La même. . — La même. — Au revers, à l’exei^ue, S. . — La même. . — La même. . — IMP.CLAVDIVS P. F. AVG. — Buste radié à DigitizedbyGoO^le - 1S2 — ç-, — DIANA LVCIF. — Diane, debout i droilc, tenant une torche des deux mains. A l’eiergue, P. (CoBB», y, 90, 68.) . — IMP . C . CLAVDIVS AVG. — Tète radiée à droite. ^. — FEUCITAS AVG. - La Félicité, debout à gauche, tenant un caducée et nue corne d’abondance. (CoHÉ», V, 90, 67.) . — La m«me. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, B. . — La même. . — IMP. CLAVDIVS AVG. — Tête radiée i droite. ^. — Même légende. — Même type. (CoHB», V, 90, 68.)

. — La même. 

. — La même. — Au revers, dans le champ, !i droite, B. (Cohen, ibid,) . — La même.

  • . — IMP.CLAVDrVS P. F. AVG. — Buste radié à droite,

y. - FELIC . TEMPO. — La Félicité, debout i gauche, tenant un caducée et une corne d’abondance. A l’exergue, T. (Variété.) (CoHE», Snppl., VII, 301, 8.) . — La même. . — IMP . C . CLAVDIVS AVG. — Buste radié il droite. y. — FIDES EXEBCI. — La Foi militaire, debout DigitizedbyGoOl^le — 1S3 — à droite, tenant deox enseignes, dont Tune est transversale. (CoHBH, V, 91, 74.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, XI. . — La même. . - IMP.CLAVDIVS AVG. - Buste radié à droite. Çf. — Même légende. — Même type. (Ihédite.)

. — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, XI. 

. — La même. . — IMP . CLA VDIVS P . F . AVG. — Buste radié à droite. Ç". — Même légende. — Même type. (Inédite.) . — IMP.CLAVDIVS P. F. AVG. — Buste radié à droite. ^. — FIDES MILIT. — La Foi, debout à gauche, tenant deux enseignes militaires. {Cohen, V, 91, 75.) . — La même. . — La même. — Au revers, à l’exergne, S. . — La même. . - IMP.CLAVDIVS AVG. — Tête radiée à droite. ^. - FIDES MILITVM. - La Foi militaire, debout DigitizedbyGoO^le — 154 — à gauche, tenant an étendard et une haste. Dans le champ, à droite, £. (Cohen, V, 92, 77.) . — La même. . — Héme légende. — Buste radié à droite. ". — FORTVNA REDVX. ~ La Fortune, debout à ganche, tenant un gouvernail et une corne d’abondance. A i’esergne, Z. {Cohen, V, 92, 83.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, Z. 833. — La même. * . - IMP.CLAVDIVS" P.F. AVG. — Buste radié à droite. çr. — FORTVNAE RED. — Même type. A l’exergue, S. (CoHEM, V, 92, 85 :) . — La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Tête radiée à droite. çr. — GENIVS AVG. — Génie coiffé du modius, debout à gauche, auprès d’un autel, tenant une patëre et une corne d’abondance. {CoHEs, V, 93, 88.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, r. . — La même. . — IMP . G. CLAVDIVS AVG. - Buste radié à droite. Cf. — Même légende. — Même type. (COHEW, V, 93, 89.) DigitizedbyGoO^le - 155 - . — La même. . — La même. 7- Au revers, dans fe champ, à droite, f- . — La même. . — Même légende. — Même buste. Çf. — GENIVS EXERCI. — Génie coiffé du modias, debout k gauche, tenant une patère et une corne d’abondance. (Cohen, V, 93, 93.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, Z. . — . La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Tête radiée à droite. Cf. — Même légende. — Même type. Dans le champ, à droite, Z. {Cohen, V, 93, 94.) . — La même. . — La même, sans lettre à l’eiergue. . — La même. . - IMP.C.CLAVDIVS AVG. - Tête radiée à droite. ^. — 10 VI STATORI. — Jupiter nu, debout à droite, tenant un sceptre et un foudre. (Cohen, V, 94, 99.) . — La même. . — La même. DigitizedbyGoO^le — 156- . — Même légende. — Même lête. ^. — lOVt VICTORI. — Jupiter nu, debout à gauche, avec son manteau sur le bras gauche, tenant un foudre et un sceptre. (Cohen, V, 94, 101.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le cbamp^ à droite, N. . — La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite. ^. ~r Même légende. — Même type. (Cohen, V, 94, 102.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, N. . — La même. . — Même légende. — Même buste. ÇT. — LAETITIA AVG. — La Joie, debout à gauche, tenant une couronne et une corne d’abondance. (CoHEM, V, 95, 109.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, I. . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — Même légende. — La Joie, debout à gauche, tenant une couronne et une ancre. (COHEM, V, 95, 111.) DiqitizedbvGoOt^le - 157 — i. — La même. — An revers, dans le champ, à droite, XH. . — Même légende. — Même buste. I^. — Même légende. — Même type. Dans le champ, à gauche, une étoile ; à droite. II. (Variété.) (COHEM, V, 95, 111.) . — IMP.C.CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite. y. — UBERAUTAS AVG. — La Libéralité, debout à gauche, leuant une tessère et une corne d’abondance. (CoBE», V, 96, 113.) . — La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite. ^, — LIBERT . AVG. — La Liberté, debout i gauche, tenant un bonnet et un sceptre. Dans le champ, a droite, X. (ConEB, V, 96, 118.) . — La même. o. — IMP.C.CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite. Cf. ~ Même légende. — Même type. (CouEB, V, 96, 119.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, X. . — La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite. y. — MARS VLTOR. — Mars casqué, nu, avec le

DigitizedbyGoOl^le - 158 — manteau flottant, marchant à droite et tenant une haste et un trophée. (Cohen, V, 97, 124.) . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, H. . — La même. . — La même. . — IMP . C . CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite. çf. — Même légende. — Même type. (Cohen, V, 97, 125.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, H. . — La même. . - IMP. CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite. ^. — MABTI PACIF. — Mars casqué, marchant à gauche, tenant un rameau de la main droite, et de la gauche une haste et un bouclier. (Cohen, V, 97, 126.) . ~ La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, X. . — La même. . — Même légende. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. ^. ~ MARTI PACiraRO. — Même type. Dans le champ, à gauche, X. (Cohen, V, 97, 130.) DigitizedbyGoO^le - 159 — 9U. — La même. . — IMP.CLAVDIVS P.F.ÂVG. - Buste radié k droite. ^. — ORIENS AVG. — Le Soleil radié, debout à droite, levaut la main droite, se tournant k gauche et tenant un globe. A l’eïei^ue, P. (CoHEw, V, 98, 138.1 . — La même. ’ U. — IMP.CLAVDIVS AVG. - Buste radié à droite. ^. — FAX AVG. -^ La Pais, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre trans- (COHEN, V, 99, U.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, II, . — IMP.C.CLAVDIVS AVG. — Même buste. Cf. — Même légende. — Même type. (Inédite.) . — La même. . — IMP.CLAVDIVS P.F.AVG. — Buste radié à droite. f. — Même légende. — La Pais, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et appuyée sur un sceptre. A l’exergue, P. (INÉDITE. j . . ~ La même. . — Même légende. — -Même buste. ". — Même légende. — La Paix, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre traos-DigitizedbyGoO ^le versai. Daos le champ, k droite, une étoile ; à gauche, V. (Inédite.) . — Même légende. — Même buste. ". — Même légende. — La Paix, marchant à pas précipités à gauche, et tenant une branche d’olivier et un sceptre. A l’esergue, T. (Cohen, V, 99, li6.) . — U même. i. — La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. - Même buste. ^. — FAX AVGVSTL — La Paix, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et nn sceptre trans- (CoBEN, V, 99, 148.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, k gauche, A. . — La même. . — IMP.C.CLAVDIVS AVG. — Même buste. çr. — P.M.TR.P.Il COS. P. P. - Claude, debout à gauche, tenant un rameau et un sceptre. (Cohen, V, 100, 153.) . — La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Même buste. ^. — Même légende. — = Même type. (Cohen, V, 100, 154.) . — La même. DigitizedbyGoO^le J - m - . — Même légende. — Même buste. ^.* — Même légende. — Claude, marchant à droite, tenant an sceptre transversal et un globe. A l’exergue, i. (COHEK, V, 100, 15S.) . — La même. . — La même. — Au rêver . — : La même. — Au revei . — La même. . — Même légende. - Mêi ^. - PROVID . AVG gauche, les jambes baguette un globe qi d’abondance et appu . — La même. — Au revei . — La même. . — IMP.CLAVDIVS P. F ^. — PROVID . AVG gancbe, indiquant a est à ses pieds, et A l’exergue, T. . — Même légende. — Mê ^. — PROVIDEN.j l’exergue. DigitizedbyGoO^le 943. - IMP.C.CLAVDIVS AVG. — Même buste. ^. — PROVIDENT. AVG. — La Provtéence, debout à gauche, les jambes croisées, indiquant avec une baguette un gtobe qui est à terre, tenant une corne d’abondance et appuyée sur une colonne. {CoBEN, V, 102, 168.) . — La même. iE ;. — IMP.C.CLAVDIVS AVG. —.Buste radié à droite. ^. — Même léf^nde. — Même type. Dans le. cbamp, à droite, XII. (CoBEN, ibid.) . — La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. - Même buste. Cf. — Même légende. — Même type. Dans le cbamp, à droite, XII. (Cohen, V, 102, 171.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. Cf. — Même légende. — La Providence, debout à gaucbe, indiquant avec une baguette un globe qui est à ses pieds, et tenant un sceptre. Dans le champ, à droite, S. {Cohen, V, 103, 172.) . — La même. . — IMP.CLAVDIVS P.F. AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — SALVS AVG. — fisculape, debout à gauche, tenant un bâton autonr duquel est enroulé un serpent. A l’exergue, P. (Cohen, V, 104, 183.) DiqitizedbvGoO^le 952. — La même. . - IHP . C . CLAVDIVS AVG. - Buste radié à droite, avec la cuirasse. Çf. — Même légende. — La Santé, debout à gaucbe, donnant à manger à un serpent enroulé autour d’un autel, et tenant un sceptre. (CoHEs, V, 105, i90.) . — La même. . — La même. . - IMP. CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite. ^. — SECURIT . AVG. — La Sécurité, debout à gauche, tes jambes croisées, tenant un sceptre et appuyée sur une colonne. Dans le champ, à droite, XI. (Cohen, V, 105, 193.) . — La même. . — Même légende. — Tête radiée à droite. Cf. — SPES AVG. — L’Espérance, marchant i gauche, tenant une fleur et relevant sa robe. Dans le champ, à gauche, 1. {Cohen, V, 106, 199.) . — La même. — Au revers, dans le champ, à gauche, II. . — La même. — Au revers, dans le champ, à gaucbe, V. . - IMP . C . CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite, avec ta cuirasse. Cf. — SPES PVBLICA. — L’Espérance, marchant â gauche, tenant une fleur et relevant sa robe. (Cohen, V, 106, 202.) DigitizedbyGoO^le 962. — La même. . — IMP.CLAVDIVS P.F.AVG. — Buste radié à droite. ÇT. — Même légende, — Même type. (Cohen, V, 106, 203.) . — La même. — Au revers, à l’eiergue, P. 963. — La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Même buste. ^. - TEMPORVM FELI. - La Félicité, debout à gauche, tenant uo caducée et une corne d’abondance. Dans le cbamp, à droite, P. (Cohen, V, 107, 204.) . — IMP . C . CLAVDIVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. Cf. — VBERITAS AVG. - La Ferlililé, debout à gaucbe, tenant une grappe de raisin et une corne d’abondance. (CoHEH, V, 107, 205.) . — La même. — Au revers, dans le cbamp, à droite, T. . — Même légende. — Même buste. ^. — VICTORIA AVG. — La Victoire, debout à gauche, tenant une couronne et une palme. (CoBEw, V, 107, 209.) . — La même. . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à gaucbe, A. DigitizedbyGoO^le — 165 — . — La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Buste radié S la cuirasse. Cf. — Même légende. — Même type. . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, . — La même. . — IMP.CLAVDIVS P. F. AVG. - Buste n ÇT. — Même légende. — Victoire marc et tenant une couronne et une palme, (Cohen, V, . — La même. . ■— La même. — Au revers, à l’exergue, S . — ’La même. . — IMP.CLAVDIVS AVG. — Tête radiée ^. — Le même. — A droite, dans le » (COHEH, V, . — La même. . — La même. — Au revers, à l’exergue, F . — La même. . — La même. — Au revers, à l’exergue, T . — IMP . C . CLAVDIVS AVG. — Buste m avec la cuirasse. DigitizedbyGoO^le Cf. — Même légende. — Victoire marchant à gauche, tenant une couronne et une palme, k l’exergue, T. (Cohen, V, 108, 215.) . — IMP.CLAVDIVS P.F.AVG. - Même buste. Cf. — Même légende. — Même type. A l’exergue, S. (Variété du numéro précédent.) . — La même. . — IMP . C . CLAUDrVS AVG. — Buste radié à droite. 9 :. — VIRTVS AVG. — Mars casqué, debout à gauche, tenant un rameau et une haste-, à ses pieds, un bouclier. (CoHEM, V, 109, 223.) . — La même. . — La même. . — La même. . — La même, . — La même. . — La même. . — La même, - Au revers, dans le champ, à gauche, 9. - Au revers, dans le champ, à droite, g. ■ IMP.CLAVDIVS AVG. — Tête radiée à droite. Cf. —Même l^ende. — Même type. Dans le champ, à gauche, 9. (Inédite.) DigitizedbyGoO^le - 167 — f 000. — La même. lOOi. — La même. —Au revers, dans le champ, à droite, g. . — La même. . — DIVO CLÂVOIO. - Tête radiée à droite. ^. — Même légende. — Même type. (Inédite.) . — IMP . CLA VDIVS P . F . AVG. — Buste radié à droite. ^. — VIRTVS AVG. — Mars casqué, nu, avec le manteau flottant, marchant à droite, et portant une haste et un trophée. A l’exei^ue, P. (CoHBW, V, i09, 224.) . — La même. . — IMP.CLWDIVS AVG. — Bnste radié à droite. Cf. _ VIRTVS AVG. — Soldat casqué, debout à gauche, appuyé snr un bouclier et tenant une (Cohen, V, 109, 227.) . — La même. . — La même. — Au revers, dans le champ, à droite, B. . — La même. . — La même. — An revers, dans le champ, nne étoile et H. DigitizedbyGoO^le TÉTRICUS Père fCAICS PICS ESUTIUS TETRICUS,) Était gouverneur de l’AqnilaiDe lorsqu’il fui proclamé empereur des Gaaies i la mort de Hariui, en S68. Voyant sa soldats toujours pr£ls à se révoller, il s’enleodit avec Aurélien pour se faire battre par celui-ci, ce qnl eut lien i Cbàlons en S73. Après avoir servi d’ornement au triomphe d’Aurélien, Tétricus (tit comblé de faveurs et nommé gouverneur de ia Lucanie. lOH.— IMP.C.TETRICVS P.F.AVG. - Buste radié i droite, avec- le paludament. y. — COMES AVG. — Victoire delwot à gauche, tenant une couroune et une palme. (CoHEB, V, 170, 48.) . — La même. . — IMP.TETRICVS P.F.AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. ^. - FIDES MILITVM. — La Foi, debout à gauche, tenant deux enseignes militaires. (CoB<«, V, ni, 83.) . — La même. . - IMP . G. P. ESV.Tt ?rRICVS AVG. — Bnste radié i droite, avec le paludament. Cf. — Même légende. — Même type. (Gobe», V, 171, SS.) . — La même. . — IMP . TETRICVS AVG. — Buste radié i drojte, avec la cuirasse, cf. — Même légende. — Même type. (COHEB, V, 171, 67.) „ 1018. — La même. . ^ IMP.TETMCVS P.F.AVG. — Busle radié à droite, avec la cuirasse. ff. — HILARITAS AVGG. — L’Allégresse, debom à gauche, tenant une palme et une corne d’abon- (Conra, V, 172, 62.) . — La même. -1021 . — IMP . C . TETRICTS P . F . AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. I^. — Même légende. — Même type. {CoHEB, V, 172, 61.) . — IMP.TETRICVS P. F. AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. ÇT. — LAETITIA A’GG. — La Joie, debout à gauche, tenant une couronne et une ancre. (CoHEH, V, 173, 71.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — LAETITIA AVG.N. — Même type. {ConE», V, 173, 71.) 1028. — La même. . — IMP.C.TETRICVS P.F.AVG. - Même buste. y. — PAX AVG. — La Paix, debout S gauche, tenant une branche d’olivier et nu sceptre droit. (CoHEn, V, ns, 84.) . — La même. . - IMP.TETRICVS P.F.AVG. - Même busle. DigitizedbyGoOl^le Cf. — Même légende. — Même type. (CoBBK, V, 178, 87.) . — IMP.TETRICVS P.AVG. — Busle radié à droite, avec la cuirasse. ^. — PAX AVG. — La Pais, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. (CoBKi, V, 17S, 88.) . — IMP.TETRICVS P. F. AVG. — Même busle. çr. — SALVS AVGG. — La Santé, debout à gauche, donnant à manger à un serpent enroulé autour d’un autel, et tenant une ancre. {CoBEN, V, 177, 105.) . — La même. . — IMP . C . TETRICVS P . F . AVG. — Busle radié à droite, avec le paludament. 9f. — Même légende. — Même type. {CoBHi, V, 177, 107.) . — La même. . — IMP . TETRICVS P . F . AVG. - Buste radié h droite, avec la cuirasse, çt. — SPES AVGG. — L’Espérance, marchant à gauche, tenant une fleur et relevant sa robe. (iHÉDim.) . - IMP . C . TETRICVS P . F . AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. çr. — SPES PVBLICA. — Même type. {COBEB, V, 178, 111.) . — La même. DiaitizedbvGoOl^le - 171 — . — Même légende. — Même bnste. ^. — VICTORIA AVG. — Victoire march gauche, tenant une couronne et une palme. (Cohen, V, 178, H . — Même légende. — Même baste. -. — VIRTVS AVGG. - La Valeur casquée bout à gauche, appuyée sur un bouclier et t une haste. (COHEIT, V, 178, U . — La même. TÉTRICUS Fils (CAIDS PICS ËSUTIUS TETBICOS.) 1 Il refut de son père le tilre de C^sar, el suivit, ainsi que lui, le tr d’Aurélien iprèi la bataille de ChSlona. Rentré dans la vie privée comblé d’bonneurs. . - C.PIV.ESV.TETRICVS CAES. - Buste r droite, avec le paludament. çt. — COMES AVG. — Victoire debout à gi tenant une couronne et une palme. (CouBK, V, 183, . — La même. . — Même légende. -— Même buste. Tf. — NOBIUTAS AVGG. — Femme deb droite, tenant un sceptre et un globe. (CouEB, V, 184, ■ . — Même légende. — Même buste. ^. — PAX AVG. — La Paii, debout à g ! DigitizedbyGoOl^le teoaDt une branche d’olivier et un sceptre trans- ■versal. (Cohen, V, i84, 22.) - C.PIV.ES.TETRICVS CAES. — Même buste.

  • . — Même légende. — Même type. (Variété du

Duméro précédent.) - C.P.E.TETRICVS CAES. — Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — PIETAS AVGG. — Aspersoir, simpule, vase à saaiGce tourné à droite, couteau de sacrificateur et bâton d’augure. (Cohen, V, 185, 26.) - C.P.E.TETRICVS CAES. — Buste radié à droite, avec le paludament. Cf. — PIETAS AVGG. ~ Aspersoir, simpule, vase à sacrifice tourné à gauche, couteau de sacrificateur et bâton d’augure. (Variétë du numéro pré- . — C.PIV.ESV.TETRICVS CAES. —Même buste.

. — PIETAS AVGVSTO. — Aspersoir, simpule,

vase à sacrifice tourné à gauche, couteau de sacrificateur et bâton d’augure. (CoHEN, V, 186, 33.) . — C . PIV. ESV.TETRICVS CAES. — Buste radié à droite, avec le paludament, Çf . — PIETAS AVGVSTOR. — Mêm& typé. (Cohen, V, 186, 34.) . — C.P.E.TETRICVS CAES. — Buste radié à droite, avec le paludament. DigitizedbyGoO^le - i73 — ^. — Même légende. — Même type. (CoBEN, V, 186, 35.) . — C.PIV.ESV.TETRICVS CAES. — Même buste. ÇT. — PRINC . IVVENT. — Têtricus, debout à gauche, en habit militaire, tenant un rameau incliné vers la terre et un sceptre. (Cohen, V, 186, 36.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ■ ÇT. — SALVS AVGG. — La Santé, debout à gauche, nourrissant un serpent enroulé autour d’un autel, et appuyée sur un gouvernail. (Cohen, V, 187, 43.) . — Même légende. — Même buste. ^. — SPES AVGG. — L’Espérance, marchant à gauche, tenant une fleur et relevant sa robe. (CoHEM, V, 187, AI.) . — La même. . — La même. . — La même (fabrication bartiare). . — Même légende. — Même buste. ^. — SPES PVBLICA. — Même type. (Cohen, V, 188, 52.) . — La même. . - C.PIV.ESV.TETRICVS CAES. — Même buste. ^. — VIRTVS AVGG. — Soldat casqué, debout à DigitizedbyGoO^le gauche, appuyé sur un bouclier et tenant une (COHEH, v ; 188, S7.) . — C.PIV.ES.TETRICVS CA. — Même buste. ". — VIRTVS AVG. — Soldat casqué, debout à gauche, appuyé sur un bouclier et tenant une baste. (Variété du numéro précédent.) QDINTILLE (MÀRCrS AUAELIUS CLAUDIUS QDINTILLUS.) Frère de Claude II, il fut proclamé empereur par l’année â la mort de eelni-ci (ïTO). An boni de dii-sept Jours de règne, apprenaDt l’éleclion d’Anrélien, il se vit abandonné de ses soldats el se fit ouvrir les veines. .— IMP.C.M.AVR.CL.QVINTILLVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — AETERNIT. AVG. — Le Soleil radié, debout à gauche, levant la main droite et tenant ud globe, avec le manteau déployé derrière lui. (COBEH, V, 113, 6.) . — La même. Cf. — Dans le champ, IL . — La même. çr. — Exergue, N. . — Même légende. — Même buste. ^. — APOLUNI CONS. — Apollon nu, debout à gauche, tenant une branche de laurier, et s’appuyant sur sa lyre qui est posée sur un rocher. (COHEM, V, 114, 9.) ly - 176 - . — La même. Vf. — Dans le cbamp, H. . — IMP.QVINIILLVS AVG. — Buste radié k droile, avec le paludament. ^. — CONCO.EXER. — La Concorde, deboul à gauche, tenant une enseigne et une corne d’abondance. (COBEB, V, lU, H.) . — La même. çr. — Exergue, T. . — IMP.C.M.AVR.CL.QVINTILLVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. çr. — CONCORDLV AV6. — La Concorde, debout îk gauche, sacriliant sur un autel et tenant une double corne d’abondance. (Variété.) (COBEH, V, 111, IS.) . — La même. ^. — Dans le cbamp, A. . — IMP.QVINIILLVS AVG. — Buste radié a droite, avec le paludament. Tf. — FIDES MILIT. — La Foi militaire, debout à gauche, tenant deux enseignes. Exergue, S. (Cohen, V, 115, 20.) . — IMP.C.M.AVR.CL.QVINTILLVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. Cf. — FIDES MILITVM. — La Foi debout, tenant une enseigne militaire et une hasle. Dans le champ, g. (COHEU, V, 116, 22.) . — La même. DigitizedbyGoOl^le - 176- . — Même légende. — Même busle. ^. — FORTVNA REDVX. — La Forluoe, deboat à gaache, tenant un goarernail posé sur un globe et une corne d’abondance. Dans le ebamp, Z. (CoHEs, V, 116, 23.) . — La même. a. — Même légende. — Même buste. ^. — GENIVS AVG. — Génie, debout aaprès d’un autel allumé, tenant une patère et une corne d’abondance. (CoHEH, V, 116, 26.) . — Même légende. — Même buste. ^. — LAETITIA AVG. — La Joie, debout à gauche, tenant une couronne et une ancre placée sur un globe. Dans le cbamp, XII. (Cohen, V, 116, 29.) . — La même. ^. — Exergue, XIL . — La même. ^. — Dans le champ, X — IL . — IMP. QVINTILLVS AVG. ~ Buste radié à droite, avec le paludament. . «f. — MARTI PACl. — La Valeur, casquée et en babit militaire, debout à gaucbe, tenant une branche d’olivier et une haste jtransversale. (Cohen, V, H7, 36.) . — Autre, avec MARTI PAC. — A l’exergue, P. . - IMP. C. M. AVR. CL. QVINTILLVS AVG. ^ Buste radié à droite, avec le paludament. DigitizedbyGoOt^le - 177 - ^. — Marti PACIF. — Mars cas. à gauche, lenant one braache d’ haste. Dans le champ, X. (Cohen, i082. — Même légende. — Même buste. ^. — PAX AVGVSTI. — La P gauche, tenant une branche d’olivii transversal. Dans le champ, A. (Cohen, . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. - PROVIDEN. AVG. — La Proi à gauche, indiquant avec une bag qui est à ses pieds, et tenant unt dance. Dans le champ, T. (COBEH, . — Même légende. — Même buste. Cf. — PRO VIDENT. AVG. - La P bout à gauche, indiquant avec un globe qui est à ses pieds et ten droit. Dans le champ, S. (Variété (Cohen, . — La même. . — Même légende. — Même buste. -, — SECVRIT.AVG. — La Sécc gauche, les jambes croisées, tenan s’appuyant sur une colonne. Dans (Cohen, . — Même légende. -^ Même buste. DigitizedbyGoO^le — i78 — ^. — VICTORIA AVG. — La Victoire, marchant à droite, tenant une couronne et une palme. (CoHEH, V, il9, 52.) . — La même. . — La même. — Double frappe i l’avers. . — Même légende. — Même buste. ^. — VIRTVS AVG. — Soldat casqué, à gauche, appuyé sur un bouclier et tenant une baste. Dans le champ, B. (Cohen, V, 120, 55.) . — IMP.QVINTILLVS AVG. — Même buste. ^. ~ VIRTVS AVG. — Soldat casqué, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et une baste transversale. Exergue, P. (Variété.) (Cohen, V, 120, 56.) . - IMP.C.M.AVR.CL.QVINTILLVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. 9". — VIRTVS AVG. — Soldat casqué, debout à gauche, tenant une branche de laurier et une baste droite ; à ses pieds, un bouclier. (Inédite.) AURÉLIEN (LUaUS DOMITIUS AURÊLIANUS.) Ni vers 301, d’une famille obscure, il se fit remarquer par sod courage sons le règne de Gordien, et tat proclamé empereur en STO. Il mourut en Thrace, assassiné par ses géaéraui, à l’âge de soiiaute-sept ans (sTi). DigitizedbyGoO^le

- 170 — 1091. — IMP.AVRELtANVS AVG. — Bnsle radié à * avec la cuirasse, y. — CONCORDIA AVG. — La Concorde, ai à gauche, tenant une patère et une corne bondance. A l’exergue, A Q. (CouEB, V, 131, 88 . — IMP.C.L.DOM.AVHEUANVS AVG. — E radié i droite, avec le paludament. y. - CONCORDIA AVG. - La Concorde, de à gauche, auprès d’un autel, tenant une p ! et nue corne d’ahondance. {ConB», V, 132, S ! . — La même. ^. — Dans le champ, H. . — IMP.AVRELIANVS AVG. — Buste radié à dr avec la cuirasse. ^. — CONCORDIA AVG. — Aurélien et Sév. dehout, se donnant la main. (CoHE», V, 132, a( . — IMP.C.AVRELIANVS AVG.— Buste radié à dr avec le paludament. y. — CONCORDIA MILI. — La Concorde, de à gauche, tenant deux enseignes militaires. (CouEN, V, 132, 6i . — La même. . — IMP.C.AVRELIANVSAVG. — Buste radiéadr avec la cuirasse, y. — CONCORDIA MILI. — Deux femmes del se regardant ; celle de gauche tient une ense DigitizedbyGoOl^le L...., - 180 — mîlitaipe ; celle de droite en tient deux. A l’exergue, P. {CoBEB, V, (32, 66.) ilM. — IMP.AVRELIANVS AVG. — Buste radié à droite, avec la cuirasse. ^. - CONCORDIA MILITVM. - Aurélien, debout à droite, donnant la main à une femme debout (Sévérinep). A l’exergue, S. (CoBiii, V, 133, 73.) H02. — IMP. C . L . DOM . AVRELIANYS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. çt. — FIDES MILITVM. - La Foi, debout à gauche, tenant un étendard et un sceptre. (CoBEN, V, 136, 94.) . — IMP.AVRELIANVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — FIDES MILIT. — La Foi debout, tenant deux enseignes militaires. (CoHEK, V, 137, 99.) . — Même légende. — Boste radié à droite, avec la cuirasse. ç-, — FORTVNA REDVX. — La Fortune, assise à gauche, tenant un gouvernail et une corne d’abondance ; sous son siège, une roue. A l’exergue, S. (CoHE», V, 137, 100.) . — La même. cf. — A l’exergne, Q. il06. — La même. çt. — A l’exergue, T (P). DigitizedbyGoOl^le — 181 — . - IMP.AVRELIANVS.AVG. — Buste radié à i avec la cuirasse. 9". — GENIVS ILLYR. — Génie, coiffé du m< debout k gauche, teoant une patère et une d’abondance ; i droite, une enseigne militai l’exergue, P. (Cohen, V, 137, K . — Même légende. — Même buste. Cf. — lOVI CONSER. — Aurélien, debout à che, en habit militaire, tenant un sceptre, disposant à recevoir un globe que lui prt Jupiter nu, debout, avec son manteau d( derrière lui, tenant un sceptre. (Variété.) {Cohen, V, 138, If . - IMP. AVREUANVS AVG. — Tête radiée à d avec le paludament. ^. — lOVI CONSERVATORI. — Même type numéro précédent. A l’exei^ue, * r. (Cohen, V, 138, 11 . - AVRELIANVS AVG. — Buste radié à droite, la cuirasse. ÇT. — ORIENS AVG. - Le Soleil radié, à t nu, debout à gauche, levant la main droi tenant un glohe ; à ses pieds, à gauche, un i assis les mains liées derrière le dos. A 1’ gue, P. (COHBN, V, 141, 13 . — IMP. AVRELIANVS AVG. - Buste radié à di avec la cuirasse. ^. — ORIENS AVG. - Le Soleil radié, à i DigitizedbyGoO^le — 182 — na, marchant à droite, tenaot un trophée et un globe surmonté d’un croissant (ou, selon Lavy, une ancre et un disque avec un croissant), et foulant aux pieds un captif terrassé. Dans le champ, S. — A l’exei^ue, XXI. (Cohen, V, 143, 143.) . - IMP.C.L.DOM.AVRELIANVS AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament. Çf. — PAX AVGVSTi. — La Pais, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. Dans le champ, A (ou H). (Cohen, V, 143, 150.) . — IMP. AVRELIANVS AVG. — Même buste. ^. — PIETAS AVG. — Aurélien, debout à droite, tenant un sceptre et sacriliant sur un autel allumé. En face de lui, Séverine debout, tenant une patère et son vêtement. A l’exergue, S. (Cohen, V, 144, 153.) . — La même. H15. — IMP. AVRELIANVS AVG. - Buste radié à droite, avec la cuirasse. Cf. — RESTITVT. ORIENTIS. - Femme debout à droite, présentant une couronne à Aurélien lauré, en habit militaire et tenant une baste. A t’esergue, S. (Cohen, V, 146, Ï71.) . — Même légende. — Même buste. ^. — RESTITVTORI ORBIS. — Même type. A l’exergue, P. (CoHEH, V, 148, 180.) DigitizedbyGoOt^le - La même. - Même légende. — Même buste. ^. — ROMAE AETERNAE. — Aurélien, debout à droite, en présence de Rome casquée, assise à ï^auche sur un bouclier, teuant une Victoire et ua DigitizedbyGoO^le SÉVERINE (UtPIA SEVERINA.) Séverine était la Temme dAnrélien. C’est toul ce qu’on sait d’elle. Hâ4. — SEVERINA AVG. — Buste diadème à droite, avec le croissant. Cf. — CONCORD.MILIT. — La Concorde, assise à gauche, tenant une patère et une corne d’abondance. A l’exergue, B.L. (CoHEK, V, 154, 7.) H25. — SEVERINA AVG. — Buste diadème à droite, .sans croissant. ^. _ VENVS FEUX. — Venus, debout à gaache, tenant une statuette et un sceptre. (Cohen, V, 1S5, U.) TACITE (UAIUS MARCUS CLAUDIUS TÀCITU8.) Il descendait de l’illnstre hislorien de ce nom. Il Tut éla empereor en 3T5, apris un interrègne de sii mois qui suivit la mort d’Anrélien, Il avait été sëuateur et codsoI. Il mourut en Cappadoce, en 376, après sii mois de règne. . - IMP.CL.TACITVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. Cf. — MARS VICTOR. — Mars casqué, nu, le DioitizedbvGoo^le - 185 manteau flotlaut, marchant à droite et portant une baste et un trophée. Dans le champ, B. (Cohen, V, 200, 70.) H27. — La même. Cf. — ■ Dans le champ, une étoile. H28.— IMP.C.M.CL.TAaXVS P.F.AVG. — Buste radié à droite, avec le paludamenl. çr. ~ PAX AVGVSTI. — La Pais, marchant à pas précipités à gauche, et tenant une branche d’olivier et un sceptre. (Cohen, V, 201, 82.) . — IMP.C.M.CL.TACITVS AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — PAX PVBLICA. — La Paix, debout k gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transversal. (CoHEN, V, 201, 83.) . - IMP.C.CL.TACITVS AVG. — Même buste. ^. — PROVID . DEOR. — Lrf Providence, debout à gauche, indiquant avec une baguette un globe qui est à ses pieds, et tenant une corne d’abondance. (Cohen, V, 202, 85.) . — Même légende. — Même buste. ^. - PROVIDENT. AVG. - La Providence, debout à gauche, tenant une baguette et une corne d’abondance ; à ses pieds, un globe. (Inédite.) . — Même légende. — Même buste. ÇT. — Même légende. — La Providence, debout à DigitizedbyGoO^le gauche, indiquant avec une baguette un globe qui est k ses pieds, tenant une corne d’abondance et appuyée sur une colonne. (Inédite.) . - IMP.CL.TACITVS AVG. — Même buste. çr. — SALVS AYG. — La Santé, debout à droite, nourrissant un serpeot qu’elle tient dans ses bras. Dans le champ, C — ir. {Cohen, V, 204, 103.) H34. — IMP . C . M . CL . TACITVS AVG. ~ Buste radié à droite, avec le paludament et la cuirasse. 9". — SECVRIT . PERP. — La Sécurité, debout à gauche, les jambes croisées, posant la main droite sur sa tête et appuyée contre une colonne. Exergue, V. (CoHEPi, V, 205, 107.) . - IMP.CL.TACITVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. 1^. — SPES PVBLICA. — L’Espérance, marchant à gauche, tenant une fleur et relevant sa robe. Exergue, C A. (CoHEM, V, 205, m.) . — IMP. CM. CL. TACITVS P.F. AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. çr. — SPES PVBLICA. ~ L’Espérance, marchant à gauche,- tenant nue fleur et relevant sa robe. Exergue, C A. (CouEN, V, 205, 113.) . — IMP . C . M . CL . TACITVS AVG. — Buste radié à droite, avec le paludament. ly — 187 — . ^. - TEMPORVM FELiaTAS. — La Félicité, debout à gauche, tenant uo caducée et une corae d’abondance. Dans le champ, à gauche, A. (Cohen, V, 203, U5.) - IMP.CL.TACITVS AVG. — Même buste. Cf. — Même légende. — Même type. Dans le champ, A (on A). (CoHEM, V, 206, H6.) FLORIEN (MARCCS ANNIUS FLORIA.XUS.) Frère de TacJle et son préfet du prétoire, il fut proclamé empereur par l’armée de Cilicie à la mort de ce prince, en 376, Il Tut lue par ses propres soldats après un régne de trois mois. H39. -IMP.C.M.AN.FLORIANVS AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — VIRTVS AVGVSTI. — Mars marchant k droite, portant une haste et un trophée. [CoHEPi, V, 220, 83.) PROBUS (MARCUS AURELICS PBOBUS.) Sorti d’nne ramillc obscure, il se signala dans l’armée sous les régnes d’Aurélien el de Tacite, et fut’ proclamé empereur par les soldats en il6. Les durs Iravaui qu’il imposa é ses troupes, la discipline sévère qu’il établit dans l’armée indisposèrent les soldats, qui le massacrèrent en iSî. DigitizedbyGoO^le — 188 — . — IMP.C.PROBVS P.F.AVG. — Busle radié à droite, avec la cuirasse. 9". - ABVNDANTIA AVG. - L’Abondance, debout k droite, vidaat sa corne. Exei^ue, IlII. (COHEM, V, 242, 102.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. Cf. — Même légende. — L’Abondance, debout à gauche, vidant sa corne. Exergue, lUI. {Cohen, V, 243, 110.) . — Même légende. — Même buste. Cf. — COMES AVG. — Minerve casquée, debout à gaucbe, tenant une branche d’olivier et appuyée sur un bouclier ; une haste repose sur son bras gauche. Dans le champ, à gaucbe, A. (Cohen, V, 251, 168.) 114i. — La même. . — Même légende. — Buste radié à droite, avec le paludament. çf. — Même légende. — Même type. . — IMP.C.M.ÀVR.PROBVS AVG. - Buste radié à droite, avec le paludament. ^. — FELICIT . TEMP. — La Félicité, debout à gaucbe, tenant un caducée et un sceptre. Esergae, IL (COHEK, V, 262, 260.) . — IMP.C.PROBVS P.F.AVG. — Buste radié adroite, avec la cuirasse. DiqitizedbvGoO^le ^. — FIDES MILITVM. — La Foi, debout à gauche, tenant deus enseignes militaires. (CoBEK, V, 263, 272.) H48. — IMP.C.M.AYR.PROBVS AVG. — Même buste. Cf. — Même légende. — Même type. (CoHEB, V, 283, 273.) iU9. — IMP.C.PROBVS P.F.AVG. - Buste radié à droite, avec la cuirasse, çr. — LAETITIA AVGVSTI. — La Joie, debout à gauche, tenant une couronne et une ancre. Exergue, un. (CoBEN, V, 268, 3H.) H30. - IMP.C.M.AVR.PROBVS AVG. — Même buste. ÇT. — Même légende. — Même type. (Cohen, V, 268, 312.) 1151. — La même. . — IMP.C.PROBVS P.F.AVG. — Même buste. y. — MARS VICTOR. — Mars casqué, marchant à droite, et portant une haste et un trophée. A l’exergue, H. (CoBEK, V, 268, 31S.) . — La même. . — La même.

  • . - IMP.C.M.AVR.PHOHVS AVG. — Même buste.

Cf. — Même légende. — Même type. (ConEK, V, 268, 317.) . — Même légende. — Même buste. DigitizedbyGoOl^le - 190 - ^. — ORIENS AVG. — Le Soleil radié, à demi- ■ nu, à gauche, levant la main droite et tenant un globe, posant le pied sur le dos d’un captif qui a les mains liées derrière le dos ; à droite, un autre captif attaché également. A l’exergue, I. (Cohen, V, 271, 335.) . — La même. . - IMP.C.PROBVS P. F. AVG. - Même buste. jçr. — PAX AVG. — La Paix, debout à gauche, tenant une branche d’olivier et un sceptre transver ^l. Dans le champ, à gauche, D. (Cohen, V, 272, 341.) . — La même. . — IMP.C.M.AVR.PROBVS AVG. — Même buste. ^. — PROVIDENTIA AVG. — La Providence, debout à gauche, tenant un globe et une corné d’abondance. A l’exergue, IIL (Inédite.) . — Même légende. — Même buste. ^. — PROVIDENTIA AVG. — La Providence, debout à gauche, indiquant avec une baguette un globe qui est à ses pieds, et tenant un sceptre droit. A l’exergue, III. (Cohen, Suppl., VII, 329, 3S.) .— IMP.C.PROBVS P. F. AVG. — Même buste. ÇT. — TEMPOR.FELICI. — U Félicité, debout à droite, tenant un caducée et une corne d’abondance. A l’exergue, I. (Cohen, V, 296, 546.) 1163. — La même. DigitizedbyGoO^le — 19{ — H64. — IMP.C.PBOBVS P. F.AVG. —Buste radié à droite, avec la cuirasse, y. - TEMPOR . FELICI. - La Félicité, debout à gauche, tenant un caducée et une corne d’abondance. A l’exergue, I. (Variété.) (CouEii, V, 296, 846.) H65. - VIBTVS PBOBI AVG. — Buste radié à gauche, tenant une haste et un bouclier. y. — TEMPOB . FELICI. — La Félicité, debout à droite, tenant un caducée et une corne d’abon- (CoEtEN, V, 296, S»9.) . — IMP.C.PBOBVS P. F. AVG. — Busle radié à droite, avec la cuirasse, y. — TEMPOB . FELICIT. — La Félicité, debout à gauche, tenant un caducée et une corne d’abondance. Dans le champ, B. (Co«E», V, 297, 832.) . — La même. . — Même légende. — Même buste. ^. — TEMPORVM FELICITAS. — La Félicité, debout à droite, tenant un caducée et une coroe d’abondance. A l’exergue, I. (CouEN, V, 297, 883.) . — IMP.C.M.AVB.PROBVS AVG. — Même buste. ^. — Même légende. — Même type. (CoBEB, V, 297, 854.) . — La même. DigitizedbyGoOl^le H71. — Même légende. — Même buste. ^. — VIRTVS AVGVSTI. — Probus, marehanl à droite, tenant une baste et an bouclier, et posant le pied sur un captif assis les mains liées derrière le dos. A l’esci^ue, III. (Cohen, V, 306, 629.)

DigitizedbyGoO^le
RECTIFICATIONS & ADDITIONS

Pendant que s’imprimaient les premières feuilles de notre notice, au mois de juin 1882, les travaux des égouts mirent au jour, vers le milieu de la rue Rallier, vis-à-vis l’hôtel de la Rivière, le mur d’enceinte du moyen-âge, faisant pour ainsi dire corps avec la muraille gallo-romaine, comme on l’avait déjà remarqué derrière la Croix-de-la-Mission. Comme à cet endroit, on s’est heurté contre d’énormes blocs de granit taillés, contre des masses de briques plates solidement liées par du ciment. Cette découverte, qui fixe d’une manière indubitable le passage de l’enceinte gallo-romaine en cet endroit, vient modifier légèrement le périmètre que nous avions indiqué (p. 3, in fine). Fort heureusement le tirage de notre plan (Pl. I) n’était point encore effectué à ce moment, et nous avons pu y faire en temps utile la correction nécessaire.

À propos des découvertes faites en dehors de l’enceinte, nous avons dit (p. 9 et 10) qu’à l’entrée de la rue Basse devant les maisons nos 2, A et 6, on avait rencontré les tuyaux en terre cuite d’une conduite d’eau qui remontait sous les terrains de la communauté de Saint-Thomas-de-Villeneuve, dans la direction de l’Hôpital-Militaire et de la rue d’Échange. Nous devons ajouter que, vers le milieu de juin 1882, cette même conduite d’eau apparut de nouveau sous le sol de la rue Basse, à 100 mètres environ vers Nord de l’endroit où elle quittait la rue pour pénétrer dans les terrains de la communauté de Saint-Thomas ; on put la suivre pendant une centaine de mètres, jusqu’au bas du placis qu’occupait autrefois le cimetière du vieux Saint-Étienne.

En même temps, on rencontrait un branchement de ces mêmes tuyaux en terre cuite qui traversait la rue Saint-Louis.

Ces découvertes figurent, indiquées par des étoiles rouges, sur notre plan. (Pl. I.)


Enfin, en juillet 1882, au moment où se terminait l’impression de cette notice, on trouvait, au beau milieu de la place de la Mairie, de nombreux débris de poteries communes, analogues à ceux trouvés dans la rue de Brilhac (p. 9). Nous y avons recueilli quelques fragments de poterie samienne, à pâte et à lustre rouges.


Disons, en terminant, que nous sommes loin d’avoir énuméré tous les objets intéressants de l’époque gallo-romaine qui ont été trouvés sous le sol des rues de Rennes pendant tes travaux des égouts. Si beaucoup d’objets nous ont échappé et sont allés enrichir quelques collections particulières, c’est que nos occupations professionnelles ne nous ont pas laissé les loisirs nécessaires pour suivre pas à pas le creusement des tranchées. Nous le regrettons d’autant plus que ces fragments de toute nature ne peuvent offrir d’intérêt que par leur réunion et leur rapprochement, et qu’ils ne peuvent être utiles qu’à la condition d’être mis sous les yeux du public. Nous avons toutefois fait notre possible, et tout ce que nous avons pu recueillir a été déposé au Musée archéologique de

la ville de Rennes[77].
TABLE
Pages
VII. — 
 25
Cuillers ou Ligulæ 
 32
Bracelets 
 33
Bagues 
 34
 37
 45
Titus 
 46
Trajan 
 47
Septime Sévère. 
 47
Julie Domnée 
 48
Caracalla 
 48
Géta 
 50
Élagabale 
 51
Alexandre Sévère 
 52
Julie Mamée 
 53
Maxime 
 53
Gordien III 
 54
Philippe père 
 57
Trajan Dèce 
 59
Étruscille 
 59
Hérennius 
 60
Trébonien Galle 
 60
Volusien 
 62
Émilien 
 64
Valérien 
 64
Mariniane 
 73
Gallien 
 74
Salonine 
 116
Postume 
 125
Quiétus 
 137
Valérien fils aîné 
 137
Valérien fils Jenne (Salonin) 
 139
Valérien jeune (frère de Gallien) 
 141
Victorin 
 142
Lélien 
 146
Marius 
 146
Claude II 
 146
Tétricus père 
 168
Tétricus fils 
 171
Quintille 
 174
Aurélien 
 178
Séverine 
 184
Tacite 
 184
Florien 
 187
Probus 
 187
Rectifications et additions 
 193

Trésor du Jardin de la Préfecture, à Rennes (1881)

ÉPOQUE GALLO-ROMAINE

Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine


Fig.1

Fig.2

Fig.3

Fig.4

URNES CINÉRAIRES EN TERRE

Trésor du Jardin de la Préfecture, à Rennes (1881)

ÉPOQUE GALLO-ROMAINE

Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine


Fig.1

Fig.2

Fig.3

Fig.4

Fig.5

URNES CINÉRAIRES EN TERRE

Trésor du Jardin de la Préfecture, à Rennes (1881)

ÉPOQUE GALLO-ROMAINE

Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine


URNES CINÉRAIRES EN VERRE

Trésor du Jardin de la Préfecture, à Rennes (1881)

ÉPOQUE GALLO-ROMAINE

Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine


VASE EN TERRE CUITE

Trésor du Jardin de la Préfecture, à Rennes (1881)

ÉPOQUE GALLO-ROMAINE

Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine


Fig.1bis

Fig.1

Fig.2

Fig.2bis

CUILLERS EN ARGENT

Trésor du Jardin de la Préfecture, à Rennes (1881)

ÉPOQUE GALLO-ROMAINE

Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine


Fig.3 Fig.3bis Fig.4bis Fig.4

Fig.5 Fig.6

Fig.7 Fig.8

Fig.1

Fig.2

BAGUES AN ARGENT. — CUILLER ET BRACELET EN BRONZE

Trésor du Jardin de la Préfecture, à Rennes (1881)

ÉPOQUE GALLO-ROMAINE

Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine


Fig.1

Fig.3bis Fig.3 Fig.3ter

Fig.4 Fig.4bis Fig.5bis Fig.5

Fig.6 Fig.2 Fig.7

BAGUES ET BRACELETS EN ARGENT

Trésor du Jardin de la Préfecture, à Rennes (1881)

ÉPOQUE GALLO-ROMAINE

Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine


AMPHORE EN TERRE CUITE
Trésor du Jardin de la Préfecture, à Rennes (1881)

ÉPOQUE GALLO-ROMAINE



AMPHORE EN TERRE CUITE

(Hauteur, 0m48)

  1. V. Mémoires de la Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine, t. XIII.
  2. Histoire archéologique de l’époque gallo-romaine de la ville de Rennes. Rennes, Deniel ; Paris, Didron, 1847.
  3. Dans plusieurs des cours de ces maisons, quelques parties de la muraille gallo-romaine sont encore aujourd’hui parfaitement visibles.
  4. Notice sur la Patère d’or, etc.
  5. A. André, Catalogue raisonné du Musée d’archéologie de la ville de Rennes, 2e édition, p. 159, no  709.
  6. Catal. déjà cité, p. 136, no  574.
  7. Ibid., p. 136, no  572.
  8. Ibid., p. 162, no  730.
  9. Hist. arch. de l’époque gallo-romaine de la ville de Rennes, p. 196.
  10. Catal., p. 494, no  3.
  11. Ibid., p. 164, no  740.
  12. Catal., p. 165, nos 746 à 751.
  13. Ibid., p. 167, no  759.
  14. Ibid., p. 160, no  714, 715.
  15. Ibid., p. 166, nos 753, 755.
  16. Ibid., p. 493, nos 1 et 2.
  17. Mém. de la Soc. Arch. d’Ille-et-Vil., t. VII, p. 291 et suiv.
  18. Catal, p. 495, no  4.
  19. Une conduite d’eau semblable fut découverte en 1841 dans les ruines romaines de Membrey (Haute-Saône). Des tuyaux en terre cuite, analogues à ceux de Rennes, sont figurés dans l’intéressante notice que M. l’ingénieur en chef de Matly de Lalour a consacrée à ces fouilles importantes. (Ruines romaines de Membrey, p. 24 ; pl. VII, fig. 11.)
  20. Catal. du Musée arch. et Hist. arch. de Rennes.
  21. Catal., p, 166, nos 752, 757, 758.
  22. P.-V. des séances de la Soc. arch. d’Ille-et-Vilaine, séance du 14 décembre 1853, p. 93.
  23. Catal., p. 153, no  676.
  24. Ibid., p. 156, no  703.
  25. Ibid., p. 157, no  704.
  26. Ibid., p. 147, nos 630 à 634 ; Hist. arch. de Rennes, p. 302.
  27. Hist. arch. de Rennes, p. 306.
  28. Ibid., p. 307.
  29. Catal., p. 142, no  593.
  30. Ibid., p. 142, no  600.
  31. Ibid., p. 151, nos 659 à 675.
  32. Ibid., p. 160, nos 716, 717 ; p. 163, no  731.
  33. Ces deux vases existent au Musée de Rennes, mais, par suite d’une omission, ils ne figurent pas au Catalogue raisonné.
  34. Catal., p. 164, no  739.
  35. Hist. arch. de Rennes, p. 299 à 301.
  36. Toulmouche, Hist. arch. de Rennes, p. 307, 308.
  37. Catal., p. 138, no  585.
  38. Ibid., p. 140, no  393.
  39. Ibid., p. 148 à 151, nos 635 à 657.
  40. Ibid., p. 169, no  769 ; Toulmouche, Hist. arch. de Rennes, p. 308 à 312.
  41. Ibid., p. 151, no  658.
  42. Toulmouche, Hist. arch. de Rennes, p. 330 et suiv., pi. XV et XVI.
  43. Ms. de la Bibl. Nat., no  11821.
  44. Guillotin de Corson, Pouillé historique de l’Archevêché de Rennes, t. II, p. 35.
  45. Ms. de la Bibliothèque nationale, no  33356. — Guillotin de Corson, Pouillé de l’Archevêché de Rennes, t. II, p. 9, note.
  46. Bulletin archéologique de l’Association Bretonne, Congrès de Saint-Malo, 1849.
  47. Voir le Journal des fouilles de Caranda, de M. Frédéric Horean.
  48. Voir les remarquables travaux de M. Barbe sur Jublains et ses ruines.
  49. a et b De Caumont, Cours d’Antiquités monumentales. Ère gallo-romaine.
  50. Fr. Moreau, Journal des fouilles de Caranda.
  51. De Caumont, Cours d’Antiquités monumentales. Ère gallo-romaine.
  52. De Caumont, Cours d’Antiquités monumentales. Ère gallo-romaine.
  53. Anthony Rich, Dictionnatre des Antiquités romaines et grecques. — Ernest Bosc, Dictionnaire général de l’Archéologie et des Antiquités chez les divers peuples.
  54. De Caumont, Cours d’Antiquités monumentales. Ère gallo-romaine.
  55. Ibid.
  56. Cours d’Antiquités monumentales. Ère gallo-romaine.
  57. Un vase en terre rougeâtre, de forme et de dimensions à peu près analogues, mais n’ayant que deux anses, fut trouvé vers 1845 dans les terrains de la Cochardière. Il est figuré dans l’ouvrage déjà cité de M. Toulmouche, pl. XVIII, fig. 2.
  58. De Caumont, Cours d’Antiquités monumentales. Ère gallo-romaine.
  59. Ces bagues, au moment où le vase avait été brisé d’un coup de pioche, furent soustraites par un des terrassiers, qui, dès le lendemain, les vendit à H. Hardyau, horloger à Rennes, lui disant qu’il les avait trouvées à la campagne. L’honorable commerçant n’apprit que plus tard la provenance réelle de ces bijoux ; il ne voulut pas en priver le Musée de Rennes, et, avec un désintéressement qui lui fait honneur, il nous les offrit sans vouloir même accepter le remboursement de la somme qu’il avait payée à l’ouvrier indélicat. Que M. Hardyau veuille bien recevoir ici tous nos remerciements ; car c’est grâce à sa délicate attention que le Musée archéologique doit de posséder aujourd’hui ces intéressants et précieux objets.
  60. Anthony Rich, loc. cit.
  61. Anthony Rich, loc. cit. — Ernest Dubosc, loc. cit.
  62. Une ligula semblable fut trouvée en 1841 dans les ruines romaines de Membrey (Haute-Saône). On la voit figurée dans la Notice de M. de Matty de Latour déjà citée, pl. VIII, fig. 13.
  63. Trésor de Jublains (Mayenne) — (Monnaies du IIIe siècle de l’ère chrétienne) — décrit, dessiné et gravé par Eugène Hucher dans la Revue historique et archéologique du Maine, t. VII et VIII. — 1880.
  64. Revue numismatique, 1856.
  65. Ibid., 1859.
  66. Ibid., 1840.
  67. Ibid., 1886.
  68. Ibid., 1837.
  69. Ibid., 1836.
  70. Ibid., 1853.
  71. Bull. de la Soc. d’Agriculture, Sciences et Arts de la Sarthe, 1875-1876.
  72. Hucher, Revue historique et archéologique du Maine, t. VII et VIII.
  73. Revue numismatique, 1864.
  74. Ibid., 1838.
  75. Ibid., 1874-1877.
  76. Catalogue des Monnaies trouvées à Plourhan en 1881. (Extrait des Mémoires de la Société d’Émulation des Côtes-du-Nord). Saint-Brieuc, Francisque Guyon, 1881.
  77. Notre récolte eût pu être encore beaucoup mains abondante qu’elle ne l’a été, si nous n’avions été secondé par MM. Hogrel et Binard, entrepreneurs des travaux des égouts, qui se sont mis avec une grande complaisance, à notre disposition. Nous leur en adressons tous nos remerciements.