Tourneux - La Bibliothèque des Goncourt, 1897/L’œuvre des Goncourt — Essai bibliographique
Quelques mots d’explication sont nécessaires en tête de ce petit travail. Ébauchée dès 1869 avec l’agrément, et, je puis bien dire avec l’aide des deux frères, puisque j’avais pris mes notes sur leurs propres exemplaires et recueilli de leur bouche des particularités qu’ils pouvaient seuls connaître, cette Bibliographie devait d’abord, dans la pensée d’Edmond de Goncourt, accompagner les Préfaces et manifestes littéraires qu’il avait extraits de l’ensemble de leurs écrits et elle fut annoncée en même temps que ce livre au verso de la couverture des Pages retrouvées. Sur ces entrefaites, M. Alidor Delzant obtint d’Edmond de Goncourt communication de documents qui lui permirent d’écrire un livre des plus documentés dont l’appendice renferme également une liste sommaire des articles et des livres parus de 1851 à 1889 ; mais M. Delzant s’est moins attaché à décrire ses volumes qu’à en donner l’historique, ainsi que l’indication des critiques ou la reproduction des lettres qu’ils avaient provoquées et il a volontairement négligé plus d’un détail qui, aux yeux des amateurs, peuvent avoir leur prix. Ainsi en a jugé M. Georges Vicaire et, sans craindre que cette énumération fasse double emploi avec celle qu’il donnera bientôt lui-même dans le Manuel de l’amateur de livres du XIXe siècle, il a bien voulu me demander ce travail pour le Bulletin du Bibliophile auquel je suis heureux de l’offrir.
Au verso du faux-titre on lit :
« Ce roman a été livré à l’impression le 5 novembre ;
« Sauf les couvertures, il était complètement imprimé le 1er décembre.
« Au reste, — qui le lira ? »
Il fut en effet mis en vente le 2 décembre 1851 ; la police interdit l’apparition de l’affiche sur les murs, voyant sans doute dans ce titre une allusion au 18 brumaire.
Tirage à 1,000 exemplaires, plus cinq ex. sur vergé, titre rouge et noir.
L’édition entière, moins quatre-vingt-quatre ex. donnés ou vendus, fut brûlée par les auteurs qui, de bonne heure, avaient supprimé En 18… de la liste de leurs œuvres ; après s’y être longtemps refusé, Edmond de Goncourt consentit néanmoins à le laisser réimprimer ; voyez le no 75 ci-dessous.
Tirage à part à quatre ex. d’une saynette publiée dans le no du 17 janvier 1852 de L’Éclair. Il fut question de sa représentation au Théâtre-Français par Mme Allan et Blessant, mais les pourparlers n’aboutirent pas.
Le manuscrit de cette bluette appartient à M. Henri Cordier.
Au verso du faux-titre on lit : « Au public de l’art » et plus bas : (Tiré à 200 exemplaires). Dix ex. ont été tirés sur papier vergé avec titre rouge et noir ; au bas du verso du faux titre, au-dessous de la dédicace : (Tiré à 10 exemplaires.)
Quatre exemplaires sur papier rose très fort. Ce volume est la réunion des articles de critique théâtrale publiés par les deux frères et par leur cousin Charles de Villedeuil dans l’Éclair et dans Paris.
MM. de Goncourt y sont représentés par une trentaine d’articles ; le reste du volume est l’œuvre de M. de Villedeuil et de quelques collaborateurs.
Au dos du volume, parmi les publications sous presse figure : Le Camp des Tartares, par E. et J. de Goncourt. C’est la première pensée de l’Histoire de la société française pendant la Révolution et sous le Directoire, mais bornée au Palais-Royal.
Six exemplaires sur papier de Hollande.
Au verso du faux-titre on lit cette note allusive à la Dame aux Camélias :
« Les dates sont quelque chose dans un livre, si petit que soit ce livre. Nous prions donc le lecteur de bien vouloir faire attention aux dates de publication de ces six articles. Il verra ainsi qui, le premier, a protesté contre l’assomption de la Lorette. »
Les six articles qui avaient paru dans le journal Paris, de M. de Villedeuil, sont, en effet, datés (3 novembre 1852, 26 janvier 1853).
Cette vignette, gravée par Adrien Lavieille, remplaça un autre croquis de Gavarni, gravé par Louis et dont le bois, qui n’a point servi, a été égaré ; elle représente une lorette vue de face en chapeau, en mantelet, les mains sur les hanches, le bout du pied dépassant la jupe. À droite un G, à gauche le nom du graveur.
Gavarni a dessiné et lavé, pour l’exemplaire des deux frères, une petite aquarelle représentant la lorette portant sur le ventre un écriteau avec ces mots : To let (À louer). Jules de Goncourt a cherché à graver cette figure ; cette planche, sur laquelle on compte huit croquis, la plupart très peu poussés, est datée J. G. 57 ; elle n’a eu qu’un état.
Il y en a eu des épreuves sur Chine libre.
Sur la couverture de cette seconde édition, sont annoncés, en préparation, les ouvrages suivants : — Figures et Histoires du XIXe siècle. Un vol. in-18 (A paru d’abord sous le titre de : Une voiture de masques : voir le no 11).
Histoire de la société sous la Révolution (1789-1799).
Les Maîtresses de Louis XV (Lettres et documents inédits.)
Et sous presse : Manières de voir et façon de penser, par Gavarni ; préface par Edmond et Jules de Goncourt.
Deux ex. sur grand papier de format in-8.
Tirage à 1,000 ex. Les cinq cents derniers ont été vendus avec un titre de relai portant : deuxième édition.
Trois ex. sur papier vergé : un pour les auteurs, un pour Jules Janin et un pour Sainte-Beuve, qui ne figurent pas aux catalogues des ventes de sa bibliothèque.
Dans une seconde préface les auteurs remercient MM. Perrot et Ménétrier des communications qu’ils leur avaient prodiguées.
Il n’y a pas de références au bas des pages.
Même tirage sur papier ordinaire et sur papier vergé que pour le précédent n°, et même titre de relai pour la seconde portion du tirage (Voir les nos 31 et 32).
La préface (p. v-vii) est une brève réponse aux critiques formulées contre l’Histoire de la société sous la Révolution.
Au verso du faux-titre, on lit : Tiré à quarante-deux exemplaires.
Deux ex. sur papier vélin rose.
Le chapitre sur Decamps a été réimprimé dans Pages retrouvées (voyez no 80 ci-dessous) et le texte intégral de cette étude a reparu en volume avec le Salon de 1852. Voyez no 99 ci-dessous.
Trois exemplaires sur papier rose.
Réimpr. sous le titre d’Armande. Voyez le no 95 ci-dessous.
Ce volume contient :
Un ornemaniste. L’organiste de L. Nicholson. Une première amoureuse. Calinot. Buisson. Victor Chevassier. Une revendeuse. Édouard Ourliac. Le passeur de Maguelonne. Peters. Un comédien nomade. Un poète. Le Parigino. Une femme du Mezouar. L’ex-maire de R. Madame Alcide. Louis Roguet. Bénédict. Le père Thibaut. Un visionnaire. Peytel.
Réimpr. avec modifications sous le titre de : Quelques créatures de ce temps. Voyez le no 53 ci-dessous.
La préface avait d’abord paru dans l’Artiste du 16 août 1857. Elle a été réimpr. dans Pages retrouvées. Voyez le no 80 ci-dessous.
Tirage à 750 ex., plus 10 ex. papier vergé. L’appendice (deux pages de texte sur un seul feuillet) fut tiré à 10 ex. papier vergé et 30 papier ordinaire. Un libraire l’a fait réimprimer pour le joindre aux exemplaires qu’il a eus en solde ; ces exemplaires avaient un titre de relai en noir avec la mention : 2e édition, et l’adresse des éditeurs, 9, rue des Beaux-Arts, 1859.
Voyez les nos 57 et 79 ci-dessous.
Cent exemplaires sur papier vergé avec titre rouge et noir. L’indication du chiffre de ce tirage est placée au bas du faux-titre.
Cette première série renferme : Préface. Louis XVI. Bachaumont. Beaumarchais. L’abbé Leblanc. Doyen. Camargo. Dulaurens. Théroigne de Méricourt. Watteau. Mademoiselle de Romans.
Cette seconde série renferme : Madame du Barry. Caylus. Kléber. Piron. La duchesse de Chaulnes. Louis XV enfant. Madame Geoffrin. Le comte de Clermont. Le Bas. L’abbé d’Olivet.
Même tirage sur papier vergé que pour le no précédent.
Une troisième série, qui n’a pas paru, devait contenir : Montesquieu. Les Saint-Aubin. Joseph de Maistre. Le prince de Conti. Cabanis. Mademoiselle Duthé. Monvel. Drouais. Mademoiselle de Lespinasse. Rivarol.
Voyez le no 58 ci-dessous.
Voyez les nos 18, 26 et 60 ci-dessous.
Les quatre portraits sont ceux de : Augustin de Saint-Aubin (G. 2) ; Gabriel de Saint-Aubin (J. G. 6) ; étude faite d’après nature par Gabriel de Saint-Aubin en 1747, d’après son frère Augustin qui lui servait de modèle (E. G.) ; Germain de Saint-Aubin (G. J.). Les quatre dessins originaux font partie de la collection de Goncourt.
Le texte finit à la page 461 ; les autres feuillets contiennent les tables des chapitres de l’Histoire de la société française pendant la Révolution et sous le Directoire.
Au verso du faux-titre, après l’énumération des publications antérieures de MM. de Goncourt, on annonce comme « en préparation » : Paris au XVIIIe siècle, d’après les tableaux et les dessins inédits ; petit in-folio. 1re livr. : Le Pont-Neuf en 1775 ; l’île d’Amour à la Courtille en 1793. 2e livr. : le Bal de Saint-Cloud en 1776 ; le Cabaret de l’Image Notre-Dame (place de Grève) en 1751.
Les planches, qui devaient d’abord être exécutées par M. Bracquemond, furent commencées par les deux frères (Le Pont-Neuf et le Cabaret Notre-Dame ont été gravés), mais le projet en resta là.
Les quatre dessins gravés sont : Profil de femme (J. G. 18) ; trois têtes de femmes (J. G. 20). Académie de femme pour la figure du Printemps dans les Quatre Saisons de la salle à manger de Crozat (J. G. 13) ; l’Assemblée des musiciens chez Crozat (trois têtes d’hommes) (J. G. 25) ; les trois premiers font partie de la collection de Goncourt ; le quatrième appartient au musée du Louvre.
La notice de Watteau est la reproduction de celle des Portraits intimes du XVIIIe siècle, 1re série, pages 193-261. Voyez le no 14.
Huit exemplaires sur papier vergé.
Tome Ier, xvi-321 pp. et 1 f. n. ch. (table). Tome II, 2 ff., 304 pp. et 1 f. non chiffré (table).
Huit exemplaires papier vergé.
Les quatre dessins sont : Marie-Louise (J. G. 30), coll. Eud. Marcille ; fragment de la Vengeance divine (E. G. 60), musée du Louvre ; Portrait de Mlle Mayer (J. G. 36), coll. Laperlier ; Bras du fauteuil de Marie-Louise (J. G. 37), collection de Goncourt.
Ce roman avait paru dans le feuilleton de l’Opinion nationale.
Au verso du faux-titre est annoncé comme « en préparation » : La Jeune bourgeoise. C’est le titre primitif de Renée Mauperin.
Dédicace à Paul de Saint-Victor.
Huit exemplaires papier vergé.
Les quatre dessins sont : Femme nue vue de dos (J. G. 46) ; Femme assise tenant un éventail (J. G. 38) ; le Bain de Diane (J. G. 33) ; la Bouquetière galante (J. G. 48). Tous quatre ont fait partie de la collection de Goncourt.
Cette troisième édition ne diffère de la seconde que par la suppression au bas des pages des autorités citées.
Les quatre dessins sont : Étude pour le portrait du duc d’Orléans (J. G. 59), musée du Louvre ; la Consolation de la vieillesse (J. G. 43), collection de Goncourt ; étude pour la Dame de Charité (J. G. 51), même collection ; tête de femme (J. G. 54), coll. Eudoxe Marcille.
Les quatre dessins sont : un gobelet, des fruits et une bouteille (J. G. 50), tableau de la collection Laperlier ; une enseigne de chirurgien (J. G. 52), tableau de la même galerie ; les Aliments de la convalescence (J. G. 53), de la même galerie ; étude d’homme en tricorne et en habit (J. G. 60), collection de Goncourt.
Sept exemplaires sur papier vergé. Ces ex. n’avaient point de couverture imprimée.
Dédicace à Théophile Gautier.
Huit exemplaires sur papier vergé.
La préface de la première édition est remplacée par un avertissement de deux pages.
Voir le no 7 et le no suivant.
La préface de la première édition est supprimée.
Voir le no 8.
Les quatre dessins sont : La Lecture (J. G. 67), musée du Louvre ; l’Abreuvoir (J. G. 23), collection de Goncourt ; une femme assise sur une chaise (J. G. 66), même collection ; la Leçon de danse (J. G. 62), collection Camille Marcille. L’Abreuvoir accompagnait dans la Gazette des Beaux-Arts la publication de cette étude.
Cette deuxième édition, augmentée du récit de la suppression de la pièce, parut huit jours après la première ; il n’y a eu de l’une et de l’autre aucun exemplaire sur papier vergé ou de couleur.
Dédicace à Gustave Flaubert.
Vingt exemplaires sur papier de Hollande. Réimp. sans changements (voyez no 54 ci-dessous), les Idées et Sensations ont été refondues plus tard dans le Journal des Goncourt dont elles avaient été extraites.
Les deux dessins sont : La Fédération (J. G. 69), collection Delbergue-Cormont ; la Noce de village (J. G. 68). collection Jazet.
Les quatre dessins sont : le Masque de la Tour (J. G. 71), collection de Goncourt ; Rousseau (J. G. 74). collection Eud. Marcille ; Mlle Fel (J. G. 72), musée de Saint-Quentin ; Voltaire (J. G. 73), coll. Eudoxe Marcille.
Tome Ier : 3 ff. et 320 pp. ; tome II : 2 ff. et 316 pp. Dédicace (à la Table de Magny).
Cinq exemplaires sur papier vergé. Ce roman, annoncé d’abord sous le titre de l’Atelier Langibout, a paru en feuilleton dans Le Temps.
Au verso du faux-titre, on annonce comme étant « sous presse » La Lorette, un vol. de luxe gr. in-8, avec 14 illustrations par Félicien Rops ; prix, 6 fr. Ce volume n’a pas paru.
Il n’y a pas eu d’exemplaires sur papier vergé.
Dans cette seconde édition des Hommes de lettres, les chapitres XL, XLI et une partie du chap. XLII sont supprimés.
Voir le no 15.
Cette étude a été publiée en deux parties, l’une de 40 pages en 1868, l’autre de 47 pages, en 1870 ; mais cette seconde partie n’a eu de titre que pour la couverture (Eisen-Moreau), la pagination se suit sans interruption et l’indication des quatre planches figure au bas du dernier feuillet ; aussi rangeons-nous ces deux parties sous un seul numéro. Les quatre dessins sont : Un homme de cour par Gravelot (J. G. 76) ; la Séance du modèle d’homme à l’Académie, par C. N. Cochin (J. G. 77) ; la Toilette, par C. Eisen (J. G. 75) ; Petite Fille dormant dans son lit, par Moreau le jeune (J. G. 74).
Ces quatre dessins ont fait partie de la collection de Goncourt.
Vingt-cinq exemplaires sur papier vergé.
C’est le roman annoncé sous le titre de : Madame Tony Fréneuse.
100 exemplaires papier vélin de format in-8 et 10 exempl. in-8, papier vergé.
C’est le drame annoncé en 1868, sous le titre de Blanche de La Roche-Dragon.
Le portrait est un fac-simile à l’eau-forte de la lithographie de Gavarni, où il s’est représenté en vareuse de velours, le foulard blanc au cou et la cigarette à la main. L’autographe (p. 360) est une lettre de trois pages signée G. et adressée aux deux frères.
Tirage à petit nombre, plus quelques exempl. sur papiers de Chine, Whatman, Hollande et vélin teinté, et un exempl. unique sur Japon.
Frontispice, fleuron et cul-de-lampe dessinés et gravés par E. Boilvin. Deux encadrements pour recto et verso gravés par F. Méaulle d’après les compositions de Subleyras pour le beau livre : Nella venuta in Roma di madama Le Comte, etc. (Rome, 1764, in-8).
L’Amour est une réimpression du chapitre IV de la Femme au XVIIIe siècle, avec une addition sur le commerce épistolaire de la princesse de Conti et du marquis de La Gervaisais.
Le premier volume (2 ff., ii-529 p. et 1 f. non chiffré pour la table), contient : Watteau, Chardin, Boucher, La Tour, Greuze, les Saint-Aubin ; le second (2 ff., 550 pp. et 1 f. n. ch. pour la table), Gravelot, Cochin, Eisen, Moreau, Debucourt, Fragonard, Prudhon.
Il a été tiré quelques exemplaires sur papier de Hollande. Les Notules et Additions, publiées comme complément de l’édition originale, ont été placées ici à la suite de chaque monographie.
Voyez le no suivant.
Quatre planches gravées à l’eau-forte : Servante accrochant un cadre d’après une sanguine de Fragonard (collection Alfred Sensier, plus tard collection Alfred Lebrun), trois études d’après Prudhon.
Après la dédicace à Th. Gautier, Préface de la nouvelle édition datée du 24 janvier 1875.
Portraits à l’eau-forte de Jules de Goncourt, gravé par Rajon d’après un daguerréotype exécuté en 1855, et d’Edmond gravé par E. Boilvin d’après une photographie de Carjat.
Papier vergé teinté. Quelques exempl. sur Whatman.
Portrait gravé à l’eau-forte par P. Sellier d’après Watteau.
En regard du titre, portrait de Prudhon gravé par Alph. Leroy d’après une miniature peinte par l’artiste, donnée par lui à son ami Fauconnier et appartenant alors à M. Alfred Sensier.
Il a été tiré quelques exempl. sur Whatman.
Dans l’édition originale (p. 62), les auteurs, en décrivant les habitués de la loge où Philomène et sa tante passaient leur soirée, y faisaient figurer « la bonne à tout faire d’une demoiselle du cinquième, vieille fille de quatre-vingts ans, ruinée par la Révolution et qui s’éteignait lentement et douloureusement dans une chambre d’ouvriers. Le bruit de la maison était que la vieille demoiselle, sans famille, sans défense, désarmée par l’isolement et la solitude, affaissée sous la demi-enfance de l’âge, était tyrannisée et martyrisée par cette bonne qui la mettait au lit comme un enfant, la faisait jeûner, lui refusait du bois. Et à regarder la bonne, son front bas, ses sourcils rares et raides, ses yeux perçants, sa méchante verrue sur le nez, le bruit paraissait assez vraisemblable ».
Dans la réimpression de 1874 et dans les éditions subséquentes, ce passage où l’on pouvait voir la première pensée, — modifiée depuis du tout au tout, — du début de Germinie Lacerteux, a été remplacé par cette seule phrase :
« Deux ou trois bonnes de lorette, au bonnet envolé, à la tête de lézard, à la parole cynique et crue, complétaient cette société de la loge où l’on voyait encore la bonne d’un paralytique sur le rouge nez de laquelle tressautait une verrue noire ».
Eau-forte de M. Th. Chauvel, d’après une aquarelle de Jules de Goncourt, datée de février 1863, et représentant la fosse commune au cimetière Montmartre.
Édition collective, tomée de I à VI ; il a été tiré de chaque volume vingt-cinq exemplaires numérotés sur papier de Hollande.
I. Germinie Lacerteux. Nouvelle édition. In-18, viii-279 pp.
II. Madame Gervaisais. Nouvelle édition. In-18, 309 pp.
III.Renée Mauperin. Nouvelle édition. In-18, 4 ff. non chiffrés, ii-339 pp. et un catalogue de l’éditeur (6 ff.) non paginé.
IV. Manette Salomon. Nouvelle édition. In-18, 3 ff. et 444 pp.
V. Charles Demailly. Nouvelle édition. In-18, 3 ff. et 406 pp.
VI. Sœur Philomène. Nouvelle édition. In-18, 2 ff. et 310 pp.
Voyez également les deux numéros suivants qui complètent à cette date la première réimpression des œuvres d’imagination des deux frères.
Réimpression d’Une Voiture de masques, précédée d’une courte préface datée d’août 1876 ; la Femme du Mézouar est supprimée et remplacée par Un aqua-fortiste, nouvelle publiée dans l’Artiste sous le titre de : Monsieur Thomas. Les auteurs, en écrivant ce court et poignant récit, ont certainement pensé à Charles Méryon.
25 ex. numérotés sur papier de Hollande.
75 ex. numérotés sur papier de Hollande.
Outre des remaniements de détails, le chapitre IV (l’Amour) a reçu les additions que l’on retrouve dans l’Amour au XVIIIe siècle (Voir no 44).
Ce feuillet contient l’indication des ornements de cette édition : encadrement dessiné par Popelin et gravé par Méaulle (un cadre de roses et un cadre de branches de houx alternés), un portrait de Sophie d’après un dessin du XVIIIe siècle (appartenant à M. Mahérault), le costume de Sophie dans l’opéra d’Argie, d’après Boquet, un fleuron d’après une terre-cuite d’Angelo Rossi, tous trois aquafortisés par François Flameng, l’ex-libris de Sophie gravé par Méaulle et tiré en rouge sur le titre, enfin le fac-simile d’une lettre (p. 197) reproduite par Isidore Meyer.
Malgré les soins typographiques apportés à ce beau livre et les additions nombreuses faites au texte, la première édition, quand elle renferme le carton, n’a rien perdu de sa valeur, car sauf un passage reproduit dans la lettre fac-similée, tous les autres passages sont supprimés dans la réimpression.
Dédicace à Claudius Popelin. Outre quelques retouches aux portraits conservés, ceux de Watteau, de la Du Barry, de la Camargo ont été remplacés par des études sur Lagrenée l’aîné, sur Collin d’Harleville, sur la comtesse d’Albany ; de plus, Edmond de Goncourt a donné en appendice les lettres de d’Alembert, Thomas, Watelet, d’Holbach, La Condamine, Condorcet, l’abbé Barthélemy, Mme Du Bocage, le baron de Gleichen, que les deux frères avaient recueillies en Italie.
Ainsi que le titre l’indique, cette réimpression de la troisième partie des Maîtresses de Louis XV est devenue comme les deux autres, un livre nouveau par les documents qu’elle renferme et les additions qu’ils ont entraînées.
Voyez les nos 61 et 64 ci-dessous.
La liste des pl. hors texte occupe deux pages non chiffrées après la Préface ; elle mentionne non point douze, mais treize pl. Un ex., pour être complet, doit en contenir quatorze : cette pl. supplémentaire est une reproduction en couleur par la photochromie Léon Vidal d’un bol-sein fabriqué à Sèvres pour les jardins de Rambouillet et adopté pour Trianon (suivant une note de Sauvageot collée sous un autre spécimen appartenant à la princesse Mathilde).
Les notes, indiquées dans le texte par des chiffres, sont groupées pp. 475-505.
Il a été tiré 50 exemplaires numérotés sur papier de Hollande.
Voyez le no 21 ci-dessus.
Dédicace à Madame Alphonse Daudet. Préface, datée du 23 mars 1879.
100 exempl. sur pap. de Hollande.
Il a été tiré 50 exempl. numérotés sur pap. de Hollande et 10 exempl. numérotés sur papier de Chine. Pp. i-xxiii, Préface, datée du 11 mai 1879.
Dédicace au Comte Édouard Lefebvre de Béhaine, ministre plénipotentiaire de France en Bavière. Préface primitive des Maîtresses de Louis XV, suivie d’une apostille datée d’août 1878.
Voyez le no 21 ci-dessus.
Pp. v-vi, Préface nouvelle signée Edmond de Goncourt.
Pas de titre. Tirage à part à quelques ex. (dont un seul sur peau vélin) de l’introduction du volume de M. Émile Bergerat : Théophile Gautier, entretiens, souvenirs et correspondance (G. Charpentier, 1879, in-18).
Tel est le titre de la couverture. Celui du volume même porte simplement : Gavarni, l’homme et l’œuvre, par Edmond et Jules de Goncourt.
Il a été tiré 50 ex. numérotés sur papier de Hollande.
À la suite de l’avertissement on lit cette note : « Dans cette édition tout est inédit ; pour mieux le faire sentir et apprécier par le lecteur nous le donnons en italiques. »
Edmond de Goncourt a reproduit de plus dans l’Appendice (pp. 435-464) la copie textuelle du journal intime de Gavarni durant l’année 1833 et, pp. 465-466, une note de l’artiste sur Balzac. Les pp. 467-481 renferment la « Table des paragraphes. »
Petite bibliothèque Charpentier. Nouveau tirage avec la date de 1890.
Premier volume, 2 ff. et 480 pp. Watteau, Chardin, Boucher, La Tour, Greuze, Les Saint-Aubin. Deuxième volume, 2 ff. et 474 pp. Gravelot, Cochin, Eisen, Moreau le jeune, Debucourt, Fragonard, Prudhon.
Papier vergé. Il a été tiré quelques ex. sur papier du Japon. L’illustration comporte 70 pl. en héliogravure dont la plupart sont empruntées à la collection d’Auteuil. Le texte est conforme à celui de l’édition Charpentier (voyez le no suivant).
Première série (2 ff., 413 pp. 1 f. non chiffré pour la table) : Watteau, Chardin, Boucher, La Tour.
Deuxième série (2 ff., 452 pp. et 1 f. non chiffré pour la table) : Greuze, les Saint-Aubin, Gravelot, Cochin.
Troisième série (2 ff., 455 pp. et 1 f. non chiffré pour la table) : Eisen, Moreau, Debucourt, Fragonard, Prudhon.
Chaque notice a reçu des additions plus ou moins considérables, comprenant non-seulement les « Notules » des éditions Dentu et Rapilly, mais encore des remaniements au texte primitif et un essai de catalogue de l’œuvre de chaque artiste.
Tome Ier. 3 ff., 357 pp. et 1 f. de table.
Tome II. 2 ff., 382 pp. et 1 f. de table.
Il a été tiré 50 ex. numérotés sur papier de Hollande et 10 ex. numérotés sur papier de Chine.
Dédicace à J. de Nittis. Préface datée d’Auteuil, 15 octobre 1881. Le texte du roman est suivi d’un extrait du catalogue de la librairie Charpentier donnant la liste des ouvrages des deux frères (4 pp.)
Cent soixante-quinze ex. sur papier de Hollande.
Au verso du faux-titre on lit : Tirage à petit nombre, plus cent exemplaires sur papier de Hollande et quelques exemplaires sur papier de Chine.
Le feuillet non chiffré contient les indications suivantes : « Texte imprimé par Quantin pour E. Dentu, éditeur ; encadrements dessinés par Pallandre et gravés par Méaulle. Frontispice dessiné et aquafortisé par Lalauze. Tête de page et cul-de-lampe gravés à l’eau-forte par Hanriot. Fac-simile de la lettre reproduite par Auguste Bry. »
Ce fac-simile est placé entre la fin du texte et le dernier feuillet.
Tiré à 550 ex. numérotés, savoir : 1 à 50, Japon, avec triple épreuve sur Japon, Chine et Hollande en rouge, bistre et noir ; 51 à 100 sur Whatman, avec double épreuve (Japon et Hollande bistre et noir) ; 101 à 500 sur Hollande, avec épreuve en noir, tous avec quadruple filet noir, plus 50 ex. non numérotés sur Hollande, avec quadruple filet rouge et portant au verso du faux-titre : Exemplaire offert à M. …
Dans une partie du tirage destiné au commerce, la pagination saute de la page 44 à 49 sans qu’il y ait lacune dans le texte.
Les dates placées à la fin de chaque chapitre dans les éditions Dentu sont supprimées ici, sauf celles de la dédicace et du dernier chapitre.
Il faut y joindre un carton portant un Avis au relieur et une réimpression corrigée des pp. 129-130.
Cent ex. sur papier de Hollande, dix sur papier de Chine et deux sur Japon.
P. i-xii. Histoire d’un premier livre, datée du château de Jean-d’Heurs, août 1884.
En regard du titre, portraits des deux frères gravés sur acier par Alph. Descaves d’après une photographie faite en 1852 par Adrien Tournachon, frère de Nadar.
Il a été tiré 25 ex. numérotés sur papier impérial du Japon, avec double état des portraits, en-tête et lettrines initiales imprimés en bleu.
Quelques ex. sur papier ordinaire, mis en vente au prix de 5 fr. au lieu de 3 fr. 50, comportent la même décoration.
Dans cette réimpression divers passages du texte primitif, biffés sur les épreuves, sont rétablis entre crochets.
Édition tirée à 550 ex. : de 1 à 20, sur papier impérial du Japon, avec épreuves avant lettre sur vélin du Japon (signé par l’artiste) et sur Hollande ; de 21 à 50, sur le même papier, avec épreuves avant lettre sur Japon (signées par l’artiste) et sur Hollande ; de 51 à 100, sur Whatman, avec épreuves avant lettre sur même papier et signées par l’artiste ; de 101 à 550, sur Hollande, avec épreuves sur même papier et timbrées par l’artiste.
Le fac-simile (lettre à Gavarni, datée de Rome 28 février [1856], 4 pp. in-4, la dernière remplie par un croquis), est placé avant la table des matières.
Il a été tiré 55 ex. numérotés sur papier de Hollande.
Il a été tiré 50 ex. numérotés sur papier de Hollande.
Pp. 299-305, Iconographie de Mme Saint-Huberty.
Il a été tiré 50 ex. numérotés sur papier de Hollande.
Texte remanié et augmenté, additions importantes dans la préface et dans les notes.
Petite Bibliothèque Charpentier.
Choix d’études et de fantaisies publiées soit dans l’Éclair et dans Paris, soit dans d’autres recueils, soit isolément. La provenance de chacune d’elles est indiquée en note.
Il a été tiré 50 ex. numérotés sur papier de Hollande.
Dix planches hors texte.
La couverture imprimée porte en plus : Les Chefs-d’œuvre du roman contemporain.
Il a été tiré de chaque volume de cette collection 100 ex. sur papier du Japon.
Reproductions tirées hors texte, dont 10 en couleurs, d’après Vanloo, Coypel, Cariot, Desmaisons, G. de Saint-Aubin, Lancret, A. de Saint-Aubin, Baudouin, Moreau, Voysard, Freudeberg, de Troy, Eisen, Cochin, Greuze, Chardin, Leclerc, Bouchardon, Desrais, Nattier, La Tour, Lavreince, etc.
Parmi ces reproductions, la Chemise enlevée d’après Fragonard et la Désolation des filles de joie n’ont été tirées qu’à petit nombre et ne se trouvent pas dans tous les exemplaires.
Il a été tiré 100 ex. sur grand papier vélin et 75 sur papier du Japon.
Il a été tiré des trois séries 50 ex. numérotés sur papier de Hollande et 10 ex. numérotés sur papier du Japon. Pour la seconde et la troisième série, ce second tirage a été de quinze exemplaires. Chaque volume est suivi d’une table alphabétique des noms et le dernier d’un Index général.
Premier volume, (1851-1861), 1887 : viii-402 pp. et 1 f. (table des matières). Préface datée de Schliersée, août 1872 et suivie d’une note, sans titre et sans date relative à la publication du Journal commencée, puis interrompue dans le Figaro, et à la refonte dans le texte des Idées et Sensations qui en avaient jadis été extraites.
Deuxième volume, (1862-1865), 1887 : 2 ff., 340 pp. et 1 f. (table des matières).
Troisième volume, (1866-1870), 1888 : 2 ff., 369 pp. et 1 f. (table des matières).
Deuxième série. Premier volume. Tome quatrième, (1870-1871) : 2 ff., 373 pp. et 1 f. (table des matières). Après le titre, courte Préface datée d’Auteuil, juin 1890.
Tome V. Deuxième série. Deuxième volume, (1872-1877) : x-355 pp. et 1 f. (table des matières.)
Tome VI. Deuxième série. Troisième volume, (1878-1884) : viii-356 pp. et 1 f. (table des matières). Préface datée d’Auteuil, décembre 1891, et annonçant à tort que ce volume serait le dernier volume du Journal publié du vivant de l’auteur.
Tome VII. Troisième série. Premier volume, (1885-1888) : 2 ff., 336 pp. et 1 f. (table des matières).
Tome VIII. Troisième série. Deuxième volume, (1889-1891). 2 ff., 300 pp. et 1 f. (table des matières).
Tome IX. Troisième série. Troisième volume, (1892-1895) : 3 ff. et 428 pp.
Une préface de deux lignes, datée d’Auteuil, 15 mars 1896, annonce de nouveau, et cette fois, hélas ! avec raison, que ce volume du Journal sera le dernier publié du vivant de l’auteur.
Après la mise en vente du tome IX les exemplaires envoyés en dépôt furent repris par l’éditeur et un passage de la p. 254 qui avait provoqué une réclamation a été modifié en conséquence.
Il a été tiré 25 ex. sur Hollande et 15 sur Chine.
Petite bibliothèque littéraire.
Il a été tiré 25 ex. numérotés sur papier de Hollande. Réunion des diverses préfaces signalées plus haut pour les œuvres publiées à cette date (y compris le premier volume du Journal) ; un certain nombre d’entre elles avaient été supprimées des réimpressions données par le survivant des deux frères.
Il a été tiré quatre exemplaires sur papier du Japon.
Ornée de 57 reproductions hors texte, d’après Boucher, La Tour, Nattier, Carmontelle. Vanloo, Tocqué, G. de Saint-Aubin, Rigaud, Eisen, Chevallier, Cochin, Huet, Guay, Mme de Pompadour, etc.
Il a été tiré 75 ex. numérotés sur papier du Japon et 100 ex. sur grand papier vélin.
Texte conforme à celui de l’édition de 1873, réimp. à l’occasion de la représentation du drame par la troupe du Théâtre-Libre aux Menus-Plaisirs.
Il a été tiré 25 ex. numérotés sur papier du Japon. Illustrations par le procédé héliographique de planches empruntées pour la plupart aux collections du musée Carnavalet et choisies par le regretté Lucien Faucou que l’auteur remercie dans une note placée au bas de la table de ces illustrations.
La Préface de la première édition et l’avertissement de celle de 1864 sont supprimés.
Il a été tiré 25 ex. sur papier de Hollande et 15 ex. sur papier de Chine.
Petite bibliothèque littéraire.
Il a été tiré 50 ex. numérotés sur papier de Hollande.
Les pages liminaires contiennent : les Femmes des Goncourt, Préface pour trois exemplaires, par M. G. Geffroy, la Préface de la première édition et une Deuxième Préface, préparée pour une édition posthume de Germinie Lacerteux et datée d’avril 1886.
La couverture parcheminée porte : Germinie Lacerteux.
Au verso du faux-titre on lit : « Cette édition tirée à trois ex. sur papier Whatman, est offerte par M. Paul Gallimard à M. Edmond de Goncourt en témoignage d’admiration littéraire et de respectueuse amitié. Exemplaire de M… »
Les dix eaux-fortes de M. Raffaëlli ont chacune trois états.
Les trois ex. ont été attribués à l’auteur, à l’éditeur et à M. Geffroy. Il a été tiré en outre à part quelques ex. de la préface de celui-ci.
Il a été tiré 25 ex. sur Japon et 10 sur papier de Chine.
Il a été tiré 30 ex. numérotés sur papier du Japon.
Au verso de la couverture, liste des notices annoncées comme en préparation. Une seule a paru ; voyez le no 103 ci-dessous.
Réimpression sous un nouveau titre de la nouvelle intitulée : les Actrices, voyez le no 10.
Il a été tiré 25 ex. sur papier de Hollande et 15 sur papier de Chine.
Petite bibliothèque littéraire.
Il a été tiré 10 ex. numérotés sur papier du Japon.
Il a été tiré 50 ex. numérotés sur papier de Hollande.
Il a été tiré de cet ouvrage 250 exemplaires format in-8 augmentés de cinq aquarelles reproduites en couleur, et dont le tirage a été ainsi réparti : de 1 à 75, sur Chine, de 76 à 150, sur Japon, de 151 à 250, sur papier vélin. Ces deux cent cinquante exemplaires, imprimés spécialement pour M. Léon Conquet, portent son nom et son adresse.
Portrait d’Edmond de profil et fumant, gravé par Jules ; portrait de Jules, les pieds posés sur le rebord de la cheminée, aquarelle d’Edmond.
Il a été tiré 15 ex. sur papier du Japon, 15 ex. sur papier de Chine et 15 sur Whatman avec doubles épreuves des portraits.
De la Collection des Dix.
Édition ornée de 70 compositions de Georges Jeanniot, comprenant 10 eaux-fortes originales hors texte et 60 dessins et croquis gravés sur bois.
Elle a été tirée à 300 exemplaires dont 12 sur grand papier des Manufactures Impériales du Japon et 38 sur papier de Chine, avec les 60 figures sur bois en double état, dans le texte et en tirage à part et les 10 eaux-fortes en quadruple état ; le reste est sur papier vélin à la cuve, avec double suite des eaux-fortes.
Sur le titre portrait de Rembrandt d’après lui-même. P. 5, lettre datée d’Auteuil, février 1895.
Il a été tiré 20 ex. numérotés sur papier du Japon avec épreuve en noir et en couleur du portrait d’Hokousaï.
Il a été tiré 50 ex. numérotés sur papier du Japon et 50 sur papier de Chine.
Contient : Une Première amoureuse. Un aqua-fortiste. La Revendeuse de Macon. Le Passeur de Maguelonne. L’organiste de Langres. Voyez les nos 11 et 53 ci-dessus.