« Page:Walch - Anthologie des poètes français contemporains, t1.djvu/111 » : différence entre les versions

AkBot (discussion | contributions)
Pywikibot touch edit
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{tiret2|fière|ment}} d’avertir et d’apitoyer… Gœthe ou Flaubert ne se fussent
ou Flaubert ne se fussent point émerveillés d’une telle esthétique aussi aisément que le put faire Alexandre Dumas… Loin de déceler que le poète eût été incapable de se donner à lui-même une explication du monde, elle révèle un effort héroïque pour projeter dans l’infini et dans l’éternel ce qui fut auparavant le tressaillement momentané de l’individu… » (Pierre Quillard, Mercure de France, août 1894.)
point émerveillés d’une telle esthétique aussi aisément que le
put faire Alexandre Dumas… Loin de déceler que le poète eût
été incapable de se donner à lui-même une explication du monde,
elle révèle un effort héroïque pour projeter dans l’infini et dans l’éternel ce qui fut auparavant le tressaillement momentané de l’individu… » ({{sc|Pierre Quillard}}, ''Mercure de France'', août 1894.)


SURYA


{{Séparateur|3}}
HYMNB VÉDIQUE



{{c|{{t|SURYA|120}}}}

{{c|{{t|HYMNE VÉDIQUE|80}}}}


<poem>
<poem>

Ta demeure est an bord des océans antiques.
Ta demeure est an bord des océans antiques.
Maître ! Les grandes Eaux lavent tes pieds mystiques.
Maître ! Les grandes Eaux lavent tes pieds mystiques.