« Page:Duvernois - L'Amitié d'un grand homme, paru dans Je sais tout, 1919.djvu/36 » : différence entre les versions
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M. Lanourant, qui était fort riche et fort avare, donnait une explication ingénieuse |
M. Lanourant, qui était fort riche et fort avare, donnait une explication ingénieuse |
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le salon Carlingue, et peut être ; par une manœuvre adroite, le salon Jeansonnet |
le salon Carlingue, et peut être ; par une manœuvre adroite, le salon Jeansonnet |
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en profiterait-il. Tout était bien. |
en profiterait-il. Tout était bien. |
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Rien n’est plus touchant que ce besoin qu’éprouvent les civilisés de s’agglomérer |
Rien n’est plus touchant que ce besoin qu’éprouvent les civilisés de s’agglomérer |
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dont elle abuse pour faire partager aux autres ses suprêmes illusions. On admirera |
dont elle abuse pour faire partager aux autres ses suprêmes illusions. On admirera |
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ce tour si particulier donné à la conversation entre gens qui se connaissent |
ce tour si particulier donné à la conversation entre gens qui se connaissent |
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