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bien. Il faut, tu m’entends, que tu nous l’amènes. Ce n’est pas facile ? Rien |
bien. Il faut, tu m’entends, que tu nous l’amènes. Ce n’est pas facile ? Rien |
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n’est impossible à quelqu’un qui veut s’en donner la peine… J’en arrive à la |
n’est impossible à quelqu’un qui veut s’en donner la peine… J’en arrive à la |
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— La vie est belle et vous êtes le meilleur des grands écrivains ! conclut |
— La vie est belle et vous êtes le meilleur des grands écrivains ! conclut |
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M. Jeansonnet avec extase, en brossant son chapeau à rebrousse-poils… |
M. Jeansonnet avec extase, en brossant son chapeau à rebrousse-poils… |
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{{t2|II. — L’IDYLLE}} |
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Il n'attendit pas la réponse. M. Gélif était assis dans sa chambre, contre la |
Il n'attendit pas la réponse. M. Gélif était assis dans sa chambre, contre la |
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fenêtre, devant une table minuscule. M. Gélif était un ogre, tout en barbe, en |
fenêtre, devant une table minuscule. M. Gélif était un ogre, tout en barbe, en |
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