« Page:Désorgues - Voltaire, ou le Pouvoir de la philosophie, 1798.djvu/11 » : différence entre les versions

AkBot (discussion | contributions)
Pywikibot touch edit
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{métrifieur|J’accoutumais leur cœur à l’aimer, à l’entendre,
{{métrifieur|
J’accoutumais leur cœur à l’aimer, à l’entendre,
Et je les instruisis à mériter sa cendre.
Et je les instruisis à mériter sa cendre.
Elle nous sauve encor de ces vils préjugés,
Elle nous sauve encor de ces vils préjugés,
Ligne 13 : Ligne 14 :
Il baisse alors d’effroi ses regards fanatiques,
Il baisse alors d’effroi ses regards fanatiques,
{{corr|Cede|Cède}}, et rend par sa fuite hommage à ses reliques.
{{corr|Cede|Cède}}, et rend par sa fuite hommage à ses reliques.
|sauf_premier=vrai}}


{{métrifieur|
Ah ! m’écriai-je alors, sage et pieux vieillard,
Ah ! m’écriai-je alors, sage et pieux vieillard,
Disciple tolérant du rigoureux Bernard,
Disciple tolérant du rigoureux Bernard,
Ligne 30 : Ligne 33 :
S’associe à leur rage et conduit leurs complots ;
S’associe à leur rage et conduit leurs complots ;
Il s’unit dans l’église au foudroyant papisme,
Il s’unit dans l’église au foudroyant papisme,
{{corr|A|À}} l’enfant de Calvin, au triste jansénisme.|sauf_premier=vrai}}
{{corr|A|À}} l’enfant de Calvin, au triste jansénisme.
}}