« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Colombier » : différence entre les versions
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de la tour contient vingt-cinq rangs de soixante boulins chacun
environ, ce qui fait quinze cents couvées de pigeons. De cinq en cinq
rangs de
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[[Image:Colombier.Creteil.2.png|center]]
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boulins est une petite saillie permettant aux personnes qui vont dénicher les pigeonneaux de poser le pied, afin d'être plus à l'aise pour
procéder à cette opération. Une fenêtre et une lucarne, celle qui donne
entrée aux pigeons, sont les seules ouvertures qui laissent pénétrer le jour
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la description de cette curieuse bâtisse, nous donnons (5) son plan pris
au niveau KL de la coupe (fig. 2)<span id="note1"></span>[[#footnote1|<sup>1</sup>]].
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[[Image:Colombier.Creteil.3.png|center]]▼
<div class=prose>▼
Un autre colombier assez semblable à celui-ci, et qui appartient à la
même époque, existe encore à Nesle (Oise), dans une ferme près de
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étable, mais un poulailler possédant six rangs de boulins. Une colonne
en pierre se dresse dans l'axe, comme dans le pigeonnier de Creteil, et
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▲[[Image:Colombier.Creteil.3.png|center]]
▲<div class=prose>
porte un arbre à pivots muni de potences doubles recevant deux échelles
au lieu d'une. Les boulins pour les pigeons sont plus nombreux qu'à
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