« Page:Benson - La nouvelle aurore, 1915.djvu/300 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|mainte|nant}}, se se revêtit elle-même d’une mystérieuse et charmante douceur. — Eh ! bien, écoutez moi attentivement ! commença le mourant. Je vais vo... » |
Aucun résumé des modifications |
||
| Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{tiret2|mainte|nant}}, se se revêtit elle-même d’une mystérieuse et charmante douceur. |
{{tiret2|mainte|nant}}, se se revêtit elle-même d’une mystérieuse et charmante douceur. |
||
— Eh ! bien, écoutez moi attentivement ! commença le mourant. Je vais vous raconter ce que je viens de |
— Eh ! bien, écoutez moi attentivement ! commença le mourant. Je vais vous raconter ce que je viens de voir… |
||
{{t3|FIN}} |
|||