« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Chéneau » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications
mAucun résumé des modifications
Ligne 200 :
appliquées aux habitations n'étaient pas les seules. Dans les pays riches
en matériaux calcaires, comme la Bourgogne, la Haute-Marne et l'Oise,
</div>
[[Image:Cheneau.en.bois.2.png|center]]
<div class=prose>
<br>
on employa les chéneaux de pierre de préférence à ceux en bois, et ces
chéneaux de pierre sont posés de façon à éviter toute fuite par les joints
Ligne 213 ⟶ 209 :
gargouille-corbeau et était rejetée en dehors loin des parements. La fig. 8
nous dispensera de plus longues explications à ce sujet.
</div>
 
[[Image:Cheneau.en.bois.2.png|center]]
<div class=prose>
<br>
On voit à Chaumont (Haute-Marne) beaucoup de maisons dont les
chéneaux sont ainsi disposés, et cet usage a persisté jusqu'à nos jours.
Ligne 219 ⟶ 218 :
les difficultés, prévoir et conserver, par des moyens simples, vrais,
d'une exécution facile dans la plus humble maison comme dans le
</div>
[[Image:Cheneau.en.pierre.png|center]]
<div class=prose>
<br>
palais; mais lorsque, au contraire, il lui faut recourir à des moyens
factices qui demandent le concours d'industries très-développées, une
Ligne 234 ⟶ 229 :
scrupuleux que les bâtisseurs de notre temps, sans entraîner pour cela
leurs clients dans des dépenses inutiles.
</div>
[[Image:Cheneau.en.pierre.png|center]]
<div class=prose>
 
<br><br>