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| ⚫ | <section begin=secsection1/>nous rendent raisonnables sans que nous y pensions. M. cornwal, un des lords de la trésorerie, traita la pétition de l’assemblée de new-york avec mépris, parce que, dit-il, cette assemblée n’étoit composée que de vingt-six membres, d’où il concluoit qu’un nombre aussi peu considérable ne pouvoit agir au nom de la totalité des citoyens. Grâces lui soient rendues pour son honnêteté involontaire{{Refl|43}}. |
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ïimis rendent raisonnables sans quêtons y pensipn,sv |
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| ⚫ | M. cornwal, un des lords |
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Pour finir, quelqu’étrange que ceci puisse sembler à quelques-uns, quelque peu, disposés qu’ils soient & penser de cette manière, ce n’est pas là ce qui doit arrêter, mais on peut alléguer une foule |
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de raisons victorieuses, & frappantes, pour prouver que rien n’est plus propre à arranger promptement nos affaires, que de nous déclarer indépendans sans crainte, & sans détour. Voici quelques-unes de ces raisons : |
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Premièrement, lorsque deux, nations sont en |
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ce qui doit arrêter , mais on peut alléguer une foule |
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guerre, il est d’usage, que d’autres puissances, étrangères à leur querelle,s’interposent afin de les mettre d’accord, & travaillent pour elles aux préliminaires de la paix. Or, tant que les américains se diront sujets de la grande-bretagne, aucune puissance, quelque bien disposée qu’elle soit en notre faveur, ne nous offrira sa médiation. Dans notre |
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de raisons victorieuses, .&. frappantes , pour ,prou<? |
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position actuelle, nous sommes donc exposés à des querelles interminables. |
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Secondement, il est déraisonnable, de supposer que la france ou l’espagne, nous donnent le moindre secours, si nous ne prétendons en faire usage que pour réparer la scission momentanée & fortifier l’union de l’angleterre & de l’amérique, attendu que les suites de cette opération seroient dommageables à ces, puissances. |
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<section begin=section2/><p style="text-indent:0px;font-size:90%;line-height:150%">{{refa|43}} Ceux qui sont curieux de savoir combien une représentation égale & nombreuse importe aux états, n’ont qu’à lire ''les recherches politiques'' de burck</p><section end=section2/> |
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