« Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Roman, tome VIII.djvu/429 » : différence entre les versions

AkBot (discussion | contributions)
Pywikibot touch edit
mAucun résumé des modifications
 
En-tête (noinclude) :En-tête (noinclude) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{nr||LA RAISON D’ÉTAT TRAVAILLE...|411}}
{{nr||LA RAISON D’ÉTAT TRAVAILLE…|411}}
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
Pour Rotterdam. J’obéis. Je vendrai la Green-Box, les chevaux, les trompettes, les femmes d’Égypte. Mais il y a quelqu’un qui est avec moi, un camarade, et que je ne puis laisser derrière moi. Gwynplaine...
Pour Rotterdam. J’obéis. Je vendrai la Green-Box, les chevaux, les trompettes, les femmes d’Égypte. Mais il y a quelqu’un qui est avec moi, un camarade, et que je ne puis laisser derrière moi. Gwynplaine…


— Gwynplaine est mort, dit une voix.
— Gwynplaine est mort, dit une voix.
Ligne 19 : Ligne 19 :
Et il eut, derrière Ursus, ce frottement de mains, particulier aux égoïstes, qui signifie : M’en voilà quitte ! et qui semble fait au-dessus de la cuvette de Ponce-Pilate.
Et il eut, derrière Ursus, ce frottement de mains, particulier aux égoïstes, qui signifie : M’en voilà quitte ! et qui semble fait au-dessus de la cuvette de Ponce-Pilate.


Ursus accablé baissait la tête. La sentence de Gwynplaine était exécutée, la mortj et, quant à lui, son arrêt lui était signifié, l’exil. Il n’y avait plus qu’à obéir. Il songeait.
Ursus accablé baissait la tête. La sentence de Gwynplaine était exécutée, la mort ; et, quant à lui, son arrêt lui était signifié, l’exil. Il n’y avait plus qu’à obéir. Il songeait.


Il sentit qu’on lui touchait le coude. C’était l’autre personnage, l’acolyte du justicier-quorum. Ursus tressaillit.
Il sentit qu’on lui touchait le coude. C’était l’autre personnage, l’acolyte du justicier-quorum. Ursus tressaillit.