« Michel Strogoff/Partie 2/Chapitre 15 » : différence entre les versions

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m tirets
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«Quelle est cette jeune fille? demanda le grand-duc.
 
--La—La fille de l'exilé Wassili Fédor, répondit Michel Strogoff.
 
--La—La fille du commandant Fédor, dit le grand-duc, a cessé d'être la
fille d'un exilé. Il n'y a plus d'exilés à Irkoutsk!»
 
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mère?
 
--Non—Non, répondit Nadia, aucun et d'aucune sorte.
 
--Ainsi—Ainsi, rien de ton coeur n'est resté là-bas?
 
--Rien—Rien, frère.
 
--Alors—Alors, Nadia, dit Michel Strogoff, je ne crois pas que Dieu, en nous
mettant en présence, en nous faisant traverser ensemble de si rudes
épreuves, ait voulu nous réunir autrement que pour jamais.
 
--Ah—Ah!» fit Nadia, en tombant dans les bras de Michel Strogoff.
 
Et se tournant vers Wassili Fédor:
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«Mon père! dit-elle toute rougissante.
 
--Nadia—Nadia, lui répondit Wassili Fédor, ma joie sera de vous appeler tous
les deux mes enfants!»
 
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à son confrère.
 
--Peuh—Peuh! fit Harry Blount. Si, comme vous, j'avais une cousine!....
 
--Ma—Ma cousine n'est plus à marier! répondit en riant Alcide Jolivet.
 
--Tant—Tant mieux, ajouta Harry Blount, car on parle de difficultés qui
vont surgir entre Londres et Péking.--Est—Est-ce que vous n'avez pas envie
d'aller voir ce qui se passe par là?
 
--Eh—Eh parbleu, mon cher Blount, s'écria Alcide Jolivet, j'allais vous
le proposer!»