« Michel Strogoff/Partie 2/Chapitre 9 » : différence entre les versions
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«Où te conduirai-je, Michel?
Michel Strogoff était resté l'homme qui s'était juré d'arriver quand
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«Tu es à bout de forces, pauvre enfant, lui disait-il quelquefois.
Pendant cette journée, il fallut passer le petit cours d'eau de l'Oka,
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mère!
hasard seul t'a mis en sa présence!
pouvais-tu résister? Non! Il n'y a pas de serment qui puisse empêcher
un fils de secourir sa mère!
et le Père me le pardonnent!
me réponds pas, si tu ne crois pas devoir me répondre. De toi, rien ne
me blessera.
pressé d'arriver à Irkoutsk?»
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Moscou? reprit Nadia.
mains de mon père t'entraîne vers Irkoutsk?
je te laissais croire qu'il en est ainsi. Je vais là où mon devoir
m'ordonne d'aller! Quant à te conduire à Irkoutsk, n'est-ce pas toi,
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m'avoir conduit à Irkoutsk!
n'est pas la réponse que je te demande. Michel, pourquoi, maintenant,
as-tu tant de hâte d'atteindre Irkoutsk?
Strogoff.
Et, en prononçant ces derniers mots, Michel Strogoff ne parlait pas
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«Nous faisons halte? lui demanda Michel Strogoff.
quelques heures?
voulu le mettre entre nous et l'avant-garde de l'émir. Mais tu ne peux
plus même te traîner, ma pauvre Nadia!
et l'entraîna.
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foulait, non plus un sol poudreux, mais une herbe rase.
le cri est venu!»
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«Oui! dit Michel. C'est Serko qui aboie!... Il a suivi son maître!
Quelques oiseaux de proie seulement s'enlevèrent et disparurent dans
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«Vois! vois! lui dit-il.
C'était, en effet, l'avant-garde de l'émir, qui défilait rapidement
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