« Michel Strogoff/Partie 1/Chapitre 14 » : différence entre les versions
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Ligne 105 :
«Une jeune fille m'accompagnait! dit-il.
l'inquiétude qu'il lisait dans les yeux de son hôte. Ils l'ont emmenée
dans leur barque, et ils ont continué de descendre l'Irtyche! C'est
Ligne 119 :
«Où suis-je? demanda-t-il.
répondit le moujik.
n'est pas un coup de feu?
moujik. Après quelques jours de repos, petit père, tu pourras
continuer ta route. Tu es tombé dans le fleuve, mais les Tartares ne
Ligne 135 :
«Ami, dit-il, depuis combien de temps suis-je dans ta cabane?
il ne reste plus rien!
continuer ton voyage!
lutter contre la volonté de son hôte. Je te conduirai moi-même,
ajouta-t-il. D'ailleurs, les Russes sont encore en grand nombre à
Omsk, et tu pourras peut-être passer inaperçu.
que tu as fait pour moi!
le moujik.
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qu'il pût craindre d'être reconnu. Dans cette ville, sa vieille mère
aurait seule pu l'appeler de son vrai nom, mais il avait juré de ne
pas la voir, et il ne la verrait pas. D'ailleurs,
tout coeur,
de la steppe.
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mouvement.
sur ses lèvres.
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respirait la haine.
de rage qu'il ne put maîtriser.
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Ogareff et faire en sorte de ne point en être vu. Lorsque le moment
serait venu de se rencontrer avec lui face à face, il saurait le
retrouver,
Le moujik et lui reprirent donc leur course à travers la ville, et ils
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passait dans les gares russes, les habitants, très-anxieux, venaient y
chercher des nouvelles. On parlait de l'arrivée prochaine d'un corps
de troupes moscovites, non pas à Omsk, mais à Tomsk,
reprendre cette ville sur les Tartares de Féofar-Khan.
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«Michel! s'écria sa mère.
ces mots plutôt qu'il ne les prononça.
plus ta mère?
ressemblance vous abuse...»
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répondit-il en reculant de quelques pas.
Nicolas Korpanoff, marchand à Irkoutsk!...»
Ligne 402 :
«Marfa Strogoff? demanda-t-il.
si tranquille, que les témoins de la rencontre qui venait de se
produire ne l'auraient pas reconnue.
Marfa Strogoff, d'un pas assuré, suivit l'officier tartare et quitta
Ligne 420 :
«Ton nom? demanda-t-il d'un ton rude.
—Oui.
—Oui.
quelques instants, au relais de poste?
C'est le dixième en qui je crois retrouver mon fils depuis que la
ville est pleine d'étrangers! Je crois le voir partout!
tu avoues la vérité?
paroles.
Ivan Ogareff.
Croyez-vous que pour rien au monde je renierais un fils comme celui
que Dieu m'a donné?»
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