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Il jugea donc bon de changer d’attitude. Portant les mains à ses yeux, il se mit à pleurnicher, à larmoyer, à sangloter, à parler en phrases entrecoupées, à se plaindre de ce que, parce qu’il était faible et infirme, les autres se moquaient de lui, lui cherchaient querelle, l’injuriaient, le pinçaient dans les coins et le bousculaient à chaque entrée et à toutes les sorties. |
Il jugea donc bon de changer d’attitude. Portant les mains à ses yeux, il se mit à pleurnicher, à larmoyer, à sangloter, à parler en phrases entrecoupées, à se plaindre de ce que, parce qu’il était faible et infirme, les autres se moquaient de lui, lui cherchaient querelle, l’injuriaient, le pinçaient dans les coins et le bousculaient à chaque entrée et à toutes les sorties. |
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— Par exemple ! Si c’est permis ! rugissait Lebrac. Autant dire qu’on est des sauvages, des assassins ; dis donc, mais dis-le où et quand on t’a dit « quéque » chose de vesxant<ref>Vexant.</ref>, quand c’est-y qu’on t’a empêché de jouer avec nous ? |
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— C’est bon, conclut le père Simon, édifié et pressé par l’heure, je verrai ce que j’ai à faire. Bacaillé, en attendant, aura sa retenue ; quant à Camus, |