« Michel Strogoff/Partie 1/Chapitre 10 » : différence entre les versions
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Ligne 57 :
«Nadia, nous sommes prêts, dit Michel Strogoff.
L'ordre fut donné à l'iemschik, et le tarentass s'ébranla en remontant
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retard pour entreprendre la traversée de la chaîne dans ces
conditions. Michel Strogoff n'avait pas hésité. Cela ne lui était pas
possible; mais
télègue précédait son tarentass, et quelles raisons majeures
avaient-ils d'être si imprudents?
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Strogoff à l'iemschik.
secouant la tête.
montagne, n'est-ce pas?
là pour discuter, mais pour obéir.
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«Dors-tu, soeur? lui demanda-t-il.
Michel Strogoff n'eut que le temps de fermer les rideaux de cuir du
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«Nous ne pouvons rester ici, dit Michel Strogoff.
se raidissant de toutes ses forces contre cet effroyable déplacement
des couches d'air. L'ouragan aura bientôt fait de nous envoyer au bas
de la montagne, et par le plus court!
je réponds de celui de gauche!»
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«N'aie pas peur, Nadia! cria Michel Strogoff.
trahît la moindre émotion.
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«Veux-tu redescendre? dit l'iemschik.
aurons l'abri du talus!
pour la première fois le nom de l'empereur, ce nom tout-puissant,
maintenant, sur trois parties du monde.
de droite, pendant que Michel Strogoff en faisait autant de celui de
gauche.
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scène à la lueur de l'éclair.
la jeune fille.
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blottir, en attendant que le voyage pût être repris.
En ce moment,
tomber, et bientôt les rafales, faites d'eau et de vent, acquirent une
violence extrême, sans pouvoir cependant éteindre les feux du ciel.
Cette complication rendait tout départ impossible.
Donc, quelle que fût l'impatience de Michel Strogoff,
comprend qu'elle fût grande,
fort de la tourmente. Arrivé d'ailleurs au col même qui franchit la
route de Perm à Ekaterinbourg, il n'avait plus qu'à descendre les
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du soleil.
que ce ne soit pas pour m'épargner une fatigue ou un danger!
compromettant tous deux, je risquerais plus que ma vie, plus que la
tienne, je manquerais à la tâche, au devoir que j'ai avant tout à
accomplir!
En ce moment, un violent éclair déchira le ciel, et sembla, pour ainsi
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