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{{tiret2|fit-|il}} en frappant sur ses cuisses et on pourra se passer de payer la contribution de guerre ; on pourra faire la fête avec les sous. |
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– Mais c’te culotte, qu’est-ce qu’on va en faire ? |
– Mais c’te culotte, qu’est-ce qu’on va en faire ? |
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– La culotte, trancha Lebrac, laissons-la dans la caverne du tilleul, je m’en |
– La culotte, trancha Lebrac, laissons-la dans la caverne du tilleul, je m’en sarge<ref>Charge.</ref> ; voué verrez bien demain ; seulement, vous savez, s’agit pas d’aller rancuser<ref>Dénoncer.</ref>, hein, vous n’êtes pas des laveuses de lessive, tâchez de tenir vos langues. Je veux vous faire bien rigoler demain matin. Mais si le curé savait que c’est encore moi, y voudrait peut-être pas me faire ma première communion, comme l’année dernière passe que j’avais lavé mon encrier « dedans » le bénitier. |
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Et il ajouta, bravache, en vrai fils d’un père qui lisait |
Et il ajouta, bravache, en vrai fils d’un père qui lisait « le Réveil des Campagnes » et « le Petit Brandon », organes anticlériceux de la province : |
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– Vous savez, c’est pas que j’y tienne à sa rondelle, mais c’est pour faire comme tout le monde. |
– Vous savez, c’est pas que j’y tienne à sa rondelle, mais c’est pour faire comme tout le monde. |