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de fois le vol & le meurtre demeureroient impunis, si nos passions outragées ne nous provoquoient à la justice ! |
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de fois le vol &le meurtre' demeureraient impunis < la JSSr0"- °UtragéeS "e H0US Pro^«4nt i O vous qui chérissez les hommes, vous qui ne craignez pas de lutter contre la tyrannie, d?™S £e part qu'elle vienne, montre^?Tout£ contrées de 1 ancien monde sont en butte à1V.Ï pression. La liberté s'est vue poursuivi dan» tP" tes pointe du globe, depuis CgSL Xi?^ 1 afrique Pont repoussée j l'europe8la 4araW,m me une, éWère & l'angleterre luiTSSt signal du départ. Ah! reetyez cette ftS* ï |
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Ô vous qui chérissez les hommes, vous qui ne craignez pas de lutter contre la tyrannie, de quelque part qu’elle vienne, montrez-vous. Toutes les contrées de l’ancien monde sont en butte à l’oppression. La liberté s’est vue poursuivie dans tous les points du globe. Depuis long-temps l’asie & l’afrique l’ont repoussée ; l’europe la regarde comme une étrangère & l’angleterre lui a donné le signal du départ. Ah ! recevez cette fugitive, & préparez, avant qu’il soit trop tard, un asyle au genre-humain. |
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<center>'''''Des ressources de l’Amérique. — Réflexions diverses.'''''</center> |
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Comme on avoue que cette mesure est inévitable & que les opinions ne varient que sur le temps où elle devoit avoir lieu ; pour éviter les méprises, examinons en général la situation des choses, & tâchons, s’il est possible, de trouver son époque véritable. Mais nous n’avons pas besoin de prendre tant de peine ; l’examen cesse dès les premiers pas, car le temps nous a devancés. Le concours unanime, la glorieuse union de toutes les circonstances prouvent ce fait. |
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