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du Voyant, par lequel le prêtre se sentait subjugué. Placés ainsi vis-à-vis l’un de l’autre, ils représentaient à cette minute les deux types éternels du révolutionnaire et de l’hérétique : l’un, Baillard, homme de passion et d’entreprise, ayant besoin de certitudes extérieures pour y accrocher un fanatisme qui, chez lui, était surtout un tempérament ; l’autre, véritable maniaque, possédé par l’abstrait, par l’idée au point qu’il la projetait dans l’espace, qu’il la ''voyait. ''Et comme il arrive toujours, c’était la volonté la plus fanatique qui allait dominer l’autre. |
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— Mais, dit Baillant, croyez-vous que ce soit mon évêque qui m’a envoyé ici ? |
— Mais, dit Baillant, croyez-vous que ce soit mon évêque qui m’a envoyé ici ? |