« La Princesse de Clèves (édition originale)/Première partie » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
Page 031. |
Pages 031-041. |
||
Ligne 36 :
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/29|num=24}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/30|num=25}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/31|num=26}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/32|num=27}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/33|num=28}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/34|num=29}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/35|num=30}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/36|num=31}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/37|num=32}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/38|num=33}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/39|num=34}}
{{Page|La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/40|num=35}}
Cette héritière était alors un des grands partis qu'il y eût en France ; et quoiqu'elle fût dans une extrême jeunesse, l'on avait déjà proposé plusieurs mariages. Madame de Chartres, qui était extrêmement glorieuse, ne trouvait presque rien digne de sa fille ; la voyant dans sa seizième année, elle voulut la mener à la cour. Lorsqu'elle arriva, le vidame alla au-devant d'elle ; il fut surpris de la grande beauté de mademoiselle de Chartres, et il en fut surpris avec raison. La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l'on n'a jamais vu qu'à elle ; tous ses traits étaient réguliers, et son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes.
|