« Page:Ryner - Le Massacre des amazones, Chamuel.djvu/175 » : différence entre les versions

Barbanar (discussion | contributions)
→‎Page non corrigée : Page créée avec « breuses pages posthumes qu’elle a recueillies et éditées. Comment ne point la remercier de nous avoir introduits dans l’intimité d’une âme si noblement frissonna... »
 
Barbanar (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
breuses pages posthumes qu’elle a recueillies et éditées. Comment ne point la remercier de nous avoir introduits dans l’intimité d’une âme si noblement frissonnante ? {{Mme}} Michelet promet pour bientôt un nouveau volume de lettres inédites de celui qui fut un homme autant qu’un écrivain : nous les attendons avec espérance.
breuses pages posthumes qu’elle a recueillies et éditées. Comment ne point la remercier de nous avoir introduits dans l’intimité d’une âme si noblement frissonnante ? {{Mme}} Michelet promet pour bientôt un nouveau volume de lettres inédites de celui qui fut un homme autant qu’un écrivain : nous les attendons avec espérance.
{{Astérisme|150%}}

En dehors de son « journalisme pratique » de cuisinière, de femme de chambre, de modiste, de professeur de civilité puérile et honnête, Georges Régnal a écrit avec son mari des romans invraisemblables et invraisemblablement médiocres. Leur seul intérêt est de montrer deux intelligences d’hommes d’affaires qui essayent de parler passion et héroïsme et qui balbutient ridiculement ces langues étrangères. A ces anecdotes banales et bizarres, romanesques de tous les romanesques connus, je préfère une courte brochure : ''Ce que doivent être nos filles''. Après une préface où Edouard Petit, universitaire, fait des grâces lourdes et prend pour de l’esprit un pédantisme qui s’efforce au sourire, {{Mme}} Régnal donne, en une langue malheureusement insuffisante, des conseils presque tous raisonnables et dont quelques-uns sont courageux.
En dehors de son « journalisme pratique » de cuisinière, de femme de chambre, de modiste, de professeur de civilité puérile et honnête, Georges Régnal a écrit avec son mari des romans invraisemblables et invraisemblablement médiocres. Leur seul intérêt est de montrer deux intelligences d’hommes d’affaires qui essayent de parler passion et héroïsme et qui balbutient ridiculement ces langues étrangères. A ces anecdotes banales et bizarres, romanesques de tous les romanesques connus, je préfère une courte brochure : ''Ce que doivent être nos filles''. Après une préface où Edouard Petit, universitaire, fait des grâces lourdes et prend pour de l’esprit un pédantisme qui s’efforce au sourire, {{Mme}} Régnal donne, en une langue malheureusement insuffisante, des conseils presque tous raisonnables et dont quelques-uns sont courageux.