« Page:Crépet - Charles Baudelaire 1906.djvu/385 » : différence entre les versions

Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
c’est pour moi une satisfaction sincère et très vive de relire votre critique et vos vers.
<section begin=section1 />c’est pour moi une satisfaction sincère et très vive de relire votre critique et vos vers.


<div style="text-align:right">» {{sc|Armand}}. »</div>
<div style="text-align:right">» {{sc|Armand}}. »</div>
Ligne 9 : Ligne 9 :
<br /><small>'''LETTRES DE GUSTAVE FLAUBERT'''</small>
<br /><small>'''LETTRES DE GUSTAVE FLAUBERT'''</small>
<br />
<br />
<br />1 <ref>Publiée par le {{sc|Pincebourde}}.</ref>
<br />1 {{refl|359(1)}}
</div>
</div>


Ligne 18 : Ligne 18 :
» Vous avez trouvé le moyen de rajeunir le romantisme. Vous ne ressemblez à personne (ce qui est la première de toutes les qualités). L’originalité du style découle de la conception. La phrase est toute bourrée par l’idée, à en craquer.
» Vous avez trouvé le moyen de rajeunir le romantisme. Vous ne ressemblez à personne (ce qui est la première de toutes les qualités). L’originalité du style découle de la conception. La phrase est toute bourrée par l’idée, à en craquer.


» J’aime votre âpreté, avec ses délicatesses de langage qui la font valoir, comme des damasquinures sur une lame fine.
» J’aime votre âpreté, avec ses délicatesses de langage qui la font valoir, comme des damasquinures sur une lame fine.<section end=section1 />

<section begin=section2 /><br />

{{refa|359(1)}} Publiée par le {{sc|Pincebourde}}.<section end=section2 />