« Le Horla (recueil, Ollendorff 1895)/Le Horla » : différence entre les versions
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La destruction prématurée ? toute l’épouvante humaine vient d’elle ! Après l’homme, le Horla. – Après celui qui peut mourir tous les jours, à toutes les heures, à toutes les minutes, par tous les accidents, est venu celui qui ne doit mourir qu’à son jour, à son heure, à sa minute, parce qu’il a touché la limite de son existence !
« Non… non… sans aucun doute, sans aucun doute… il n’est pas mort… Alors… alors… il va donc falloir que je me tue, moi
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