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puits d’Agar‘ et ne sont pas d’ailleurs des adversaires |
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du Christianisme, mais seulement des fautes ou des |
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folies des chrétiens. Ils gardent encore leur fol en. un |
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seul Dieu, celui qui parla à Abrahamz leur père, et |
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sont dans cette simplicité, bien plus véritablement ses |
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enfants que les chrétiens de nom, qui vécurent et vivent |
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seulement pour discuter dans des conciles vociférants |
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ou dans un schisme iurieux les rapports du Père, du |
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Fils et du Saînt—Esprit. ` |
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20. Comptant sur mon lecteur pour bien retenir |
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désormais, et sans faire de confusion, la notion des |
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trois zones, Gothique, Classique et Arabe, chacune |
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divisée en quatre pays clairement reconnaissables à |
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travers tous les ages de l’histoire ancienne ou mc- |
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derne, je dois lui simplifier une autre notion encore, |
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celle de l'Emp€re Romain (Voyez la note du dernier |
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paragraphe),au point de vue où il a à s’en occuper. |
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Son extension nominale, ses conquêtes temporaires |
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ou ses vices internes n’ont pour ainsi dire pas d’im— ' |
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portance historique; seul, 1’empire réel correspond à A |
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quelque chose de Vrai, est un ekemple de loi juste, de |
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discipline militaire, d’art manuel, donné à des races |
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indisciplinées, et comme une traduction, de la pensée |
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grecque en un système plus concentré et plus assi- |
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milable à elles. La zone classique, du commencement ' |
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à la fin de son règne effectif, repose sur ces deux élé- |
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ments zlïmagination grecque avecla règleromaine; et |
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les divisions ou les dislocations des m° et 1v° siècles ne |
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1. Mais Pange de l’Eternel la trouva auprès d’une fontaine |
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d‘euu uu désert, près de lu fontaine qui est au chemin de Sair. - |
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Et il lui dit : Agar, servante de Saraï, d‘où vicns·tu, etc. (Genèse, |
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xvr, 7 et B.) -· (Note du Traducteur.) |
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2, Genèse, xn, 1. -·- (Note du Traducteur.) |