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couvraient, afin d’ôter à la France là mémoire de ses |
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morts; et ensuite fondus en sous et centimes, pour |
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acheter de la poudre à canon et de Pabsinthe à ses ` |
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vivants, -— par i’esprit de Progrès et de Civilisation - |
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dans sa première Hamme d’enth0usiasme et sa lumière |
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; nouvelle, de 1789 à 1800. |
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` Les tombeaux d’enfants, placés chacun d’un côte de |
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l‘autel de saint Denis, sont beaucoup plus petits que v |
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Geux—ci, quoique d`un plus beau travail. Ceux auprèS |
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de qui vous ètes en eb moment sont les deux seuls tom- |
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beaux de bronze de ses hommes des grandes époques, |
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qui subsistent en France ! _ |
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24. Et ce sont les tombes des pasteurs de son peuple, V |
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qui pour elle ont élevé le premier temple parfait à son |
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Dieu; celle de l’évêque Evrard est à votre droite et |
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porte gravée autour de sa bordure cette inscriptioni : |
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« Celui qui nourrit le peuple, qui posa les fondations de ce |
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A Monument, aux soins de qui la cité fut confiée |
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Ici dans un baume éternel de gloire repose Evrard. |
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Un homme compatissant a l’aflîge,le protecteur de laveuve, |
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· ' de l’orphelîn] |
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Le gardien. Ceux qu`il pouvait, il les réconfortait de ses de ns. |
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Aux paroles des hommes, ' ·. |
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Si douces, un agneau; si violentes, unlion; si orgucillcuses, |
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_ un acier mordant »,] |
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1. Je vole encore à1`abbé'Rozé les deux inscriptions avec sa |
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notice introductive sur l’inte1·vention mal inspirée dont elles |
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avaient été l’objet. |
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« La tombe d’Evra.rd de Fouiiloy (mort en 1222) coulée en |
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bronze en plein relief, était supportée, dès le principe, par des |
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monstres engagés dans une maçonnerie remplissant le dessous du |
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monument, pour indiquer que cet évêque avait posé les fonda. |
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ments de le cathédrale. Un architecte malheureusement inspiré |
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