« Les Fleurs du mal (1861)/Le Balcon » : différence entre les versions
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Ligne 13 :
Les soirs illuminés par l’ardeur du charbon,
Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses.
Que ton sein m’était doux! que ton
Nous avons dit souvent d’impérissables choses
Les soirs illuminés par l’ardeur du charbon.
Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées !
Que l’espace est profond ! que le
En me penchant vers toi, reine des adorées,
Je croyais respirer le parfum de ton sang.
Ligne 32 :
Et revis mon passé blotti dans tes genoux.
Car à quoi bon chercher tes beautés langoureuses
Ailleurs qu’en ton cher corps et qu’en ton
Je sais l’art d’évoquer les minutes heureuses !
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