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ouf voilà pour le premier passage. Amélioration du script en vue.
Oups ! Pas vue que quelqu'un était de dessus. Désolé Acer11 !
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qui font dam le corps, comme les tavhés àxtttveau, du cœur, des veines.


qui sont dans le corps, comme les ''cavités'' du cerveau, du cœur, des veines.
CAULACAU ou CAVLACAV. s. m. Nom que les Nicolaïtes, hérétiques du premier siècle, donnoient à une des puissances qui gouvernou le Ciel, abufant d’un passage d’Haïe, où se lisent ces mots hébreux, ''Cau-la-cau''. Fleuky. Ces mots se trouvent dans Haïe XXVIII, 10 & 13. On lit dans le texte de S. Epiphane, hérésie des Nicolaïtes, ch.IV, & ch. V. [deux mots grecs], mais mal. : L'hébreu est : [mot hébreu], ''Kav-Li-cav''. [lettre grecque] ou le [lettre grecque] est superflu, & ne peut être dans l’hébreu. Le ''Caulacau'' des Nicolaïtes étoit un Prince, [mot grec]. C’est tout ce ciu’en dit ce Saint, qui en rapportant la signification des mots hébreux selon l’interprétation des Septante, montre le ridicule de cette fiébon des Nicolaïtes, qui ne peut avoir aucun fondement dans Ifaïe. ''Voyez'' cet Auteur à l’endroit cite, le P. Petau dans ses notes, & S. Jérôme dans son commentaire sur Ifaïe.
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CAULACAU ou CAVLACAV. s. m. Nom que les Nicolaïtes, hérétiques du premier siècle, donnoient à une des puissances qui gouvernoit le Ciel, abusant d’un passage d’Isaïe, où se lisent ces mots hébreux, ''Cau-la-cau''. {{sc|Fleury}}. Ces mots se trouvent dans Isaïe XXVIII, 10 & 13. On lit dans le texte de S. Epiphane, hérésie des Nicolaïtes, ''ch.IV'', & ''ch. V''. {{lang|grc|Καυλαυϰαύχ}} & {{lang|grc|Καυλαυϰαύϰ}}, mais mal. L'hébreu est : {{hébreu}}, ''Kav-La-cav''. {{lang|grc|χ}} ou le {{lang|grc|ϰ}} est superflu, & ne peut être dans l’hébreu. Le ''Caulacau'' des Nicolaïtes étoit un Prince, {{lang|grc|Ἄρχων}}. C’est tout ce qu’en dit ce Saint, qui en rapportant la signification des mots hébreux selon l’interprétation des Septante, montre le ridicule de cette fiction des Nicolaïtes, qui ne peut avoir aucun fondement dans Isaïe. ''Voyez'' cet Auteur à l’endroit cite, le P. Petau dans ses notes, & S. Jérôme dans son commentaire sur Isaïe.
CAULEDON. s. m. Terme de Chirurgie qui désigne une stacture transversale avec inégalité, qui sépare les parties de l’os rompu, de manière qu’elles ne sont plus vis-à-vis l’une de l’autre. Ce mot est strec, [mot grec], ''{{lang|la|caulatim, in modum caulis}}'', en tige ; parce que cette fracture laisse des esquilles ou inégalités aux bouts fradurés, comme uine tige ou un tronc de chou, quand on le caik. Col de ViLLARS.
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CAULEDON. s. m. Terme de Chirurgie qui désigne une fracture transversale avec inégalité, qui sépare les parties de l’os rompu, de manière qu’elles ne sont plus vis-à-vis l’une de l’autre. Ce mot est grec, {{lang|grc|ϰαυλζδὸν}}, ''{{lang|la|caulatim, in modum caulis}}'', en tige ; parce que cette fracture laisse des esquilles ou inégalités aux bouts fracturés, comme une tige ou un tronc de chou, quand on le casse. {{sc|Col de Villars}}.<!-- FIN DE LA VERIF DE LYOKOÏ -->


CAULICOLES. s. f. pl. Terme d’Archite<aure. Ce sont de petites tiges qui sortent d’entre les feuilles d’demie<!--d'Acante, non fautif! -->, qui semblent soutenir les huit volutes du chapiteau Corinthien. ''{{lang|la|Cauliculi}}''. On les appelle aussi ''{{lang|la|Tigetes}}''.
CAULICOLES. s. f. pl. Terme d’Archite<aure. Ce sont de petites tiges qui sortent d’entre les feuilles d’demie<!--d'Acante, non fautif! -->, qui semblent soutenir les huit volutes du chapiteau Corinthien. ''{{lang|la|Cauliculi}}''. On les appelle aussi ''{{lang|la|Tigetes}}''.
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Les ''causes'', en termes de philosophie, ont été distinguées par les Anciens en ''cause efficiente'', c’est l’agent qui produit quelque chose,{{lang|la| Causa efficiens}}
Les ''causes'', en termes de philosophie, ont été distinguées par les Anciens en ''cause efficiente'', c’est l’agent qui produit quelque chose,{{lang|la| Causa efficiens}}
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