« La Belle-Nivernaise/Chapitre I » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 350 :
Il reprit son chemin.
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 17.JPG|center|150px|Image 17 - Chapitre I]]
Ma foi, tant pis! il risquerait le paquet.
Ligne 362 ⟶ 367 :
Le mouvement du flot faisait vaciller les lanternes et grincer les chaînes entre-croisées.
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 18.JPG|center|150px|Image 18 - Chapitre I]]
Pour rejoindre son bateau, le père Louveau avait à traverser deux chalands reliés par des passerelles.
Ligne 376 ⟶ 386 :
Il n’était plus temps de reculer.
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 19.JPG|center|150px|Image 19 - Chapitre I]]
Le marinier poussa la porte.
Ligne 390 ⟶ 405 :
«Fait chaud…»
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 20.JPG|center|150px|Image 20 - Chapitre I]]
La mère Louveau se retourna.
Ligne 410 ⟶ 430 :
«Qu’est-ce qui en veut?»
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 21.JPG|center|150px|Image 21 - Chapitre I]]
Il avait répondu:
Ligne 434 ⟶ 459 :
«Mais, malheureux, regarde-toi, regarde-nous! Ton bateau est percé comme mon écumoire!
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 22.JPG|center|150px|Image 22 - Chapitre I]]
«Et il faut encore que tu t’amuses à ramasser les enfants des autres dans les ruisseaux.»
Ligne 452 ⟶ 482 :
Le marinier promit tout ce qu’elle voulut.
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 23.JPG|center|150px|Image 23 - Chapitre I]]
«Voyons, ne te fâche pas.
Ligne 472 ⟶ 507 :
«On le gardera cette nuit, mais demain matin…»
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 24.JPG|center|150px|Image 24 - Chapitre I]]
Et la mère Louveau était si en colère qu’elle tisonnait le feu à tour de bras…
Ligne 488 ⟶ 528 :
Ce fut bien une autre joie quand il se trouva à table, une serviette au cou, un monceau de pommes de terre dans son assiette.
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 25.JPG|center|150px|Image 25 - Chapitre I]]
Il avalait comme un rouge-gorge à qui l’on émiette du pain un jour de neige.
Ligne 502 ⟶ 547 :
«Je parie qu’il n’a jamais vu ni l’éponge ni le peigne.»
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 26.JPG|center|150px|Image 26 - Chapitre I]]
L’enfant tournait comme une toupie entre ses mains.
Ligne 520 ⟶ 570 :
Il prit le marmot à bras le corps.
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 27.JPG|center|150px|Image 27 - Chapitre I]]
Il l’entortilla de ses cordes comme les arbres de Clamecy.
Ligne 538 ⟶ 593 :
Il bat en retraite, tout penaud, tandis que la mère Louveau couche le petit dans le dodo de Clara.
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 28.JPG|center|150px|Image 28 - Chapitre I]]
La fillette sommeille les poings fermés, tenant toute la place.
Ligne 549 ⟶ 609 :
Le petit enfant perdu sent une douce chaleur l’envahir, et il s’endort avec la sensation inconnue de quelque chose comme une main caressante qui a passé sur sa tête, lorsque ses yeux se fermaient.
[[Image:Alphonse Daudet - La Belle Nivernaise - Chapitre I - Image 29.JPG|center|150px|Image 29 - Chapitre I]]
{{Nav
|