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<section begin="CH8-II"/>{{A|l’Avesta (v. p. {{sc|cxii}}). Il existe du Yasna un très grand nombre de ces traductions manuscrites, qui diffèrent plus ou moins les unes des autres. La plus estimée et la seule publiée est celle du Dastùr Frâmjì Aspandiârjì, dite aussi Traduction des Dastùrs, publiée en 1843, sous les auspices de la Société asiatique de Bombay.|0|1.5|fin=1}}
<section begin="CH8-II"/>{{A|l’Avesta (v. p. {{sc|cxii}}). Il existe du Yasna un très grand nombre de ces traductions manuscrites, qui diffèrent plus ou moins les unes des autres. La plus estimée et la seule publiée est celle du Dastùr Frâmjì Aspandiârjì, dite aussi Traduction des Dastùrs, publiée en 1843, sous les auspices de la Société asiatique de Bombay.|0|1.5|fin=1}}


{{A|{{Corr|IV|4°). Traductions persanes. — La Bibliothèque de Munich contient une transcription avec traduction persane des Commentaires pehlvis, copiée pour Haug à Bombay en 1866 (M<sup>12a</sup>). La partie relative aux Gâthas a été publiée par M. Mills dans son édition des Gâthas. J’ai pu me servir de la partie relative aux vingt-sept premiers Hâs, grâce à une recension prise pour moi, à Munich, il y a une dizaine d’années, par mon élève et ami M. Adrien Barthélémy, l’éditeur de ''Gujastak Abâlish'', aujourd’hui drogman à Alep.
{{A|{{Corr|IV|4°}} Traductions persanes. — La Bibliothèque de Munich contient une transcription avec traduction persane des Commentaires pehlvis, copiée pour Haug à Bombay en 1866 (M<sup>12a</sup>). La partie relative aux Gâthas a été publiée par M. Mills dans son édition des Gâthas. J’ai pu me servir de la partie relative aux vingt-sept premiers Hâs, grâce à une recension prise pour moi, à Munich, il y a une dizaine d’années, par mon élève et ami M. Adrien Barthélémy, l’éditeur de ''Gujastak Abâlish'', aujourd’hui drogman à Alep.|0|1.5}}


Pour les Gàthas il faut ajouter à ces secours l’analyse des Nasks gâthiques dans le neuvième volume du Dînkart : voir plus haut, pp. {{sc|ciii-civ}}.
{{A|Pour les Gàthas il faut ajouter à ces secours l’analyse des Nasks gâthiques dans le neuvième volume du Dìnkart : voir plus haut, pp. {{sc|ciii-civ}}.|0|1.5}}
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{{T4|'''III'''}}
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{{A|Pour le Vispéred, les secours directs sont au nombre de deux :|0|1.5}}


{{A|1° Traduction pehlvie. — M. Spiegel a publié la traduction pehlvie du Vispéred de Paris (ancien n° 5 du Supplément d’Anquetil ; aujourd’hui, n° 39 du Supplément persan). Ce manuscrit, copié de 1738 à 1760, est très imparfait<ref>Il semble remonter au vieux manuscrit K<su>7a</sup>de Copenhague (voir {{sc|Westergaard}}, ''Zendavesta'', préface, p. 13).</ref>. Je me suis servi surtout d’un manuscrit datant de l’an 766 de Yazdgard (1397 de notre ère), qui fait partie de la collection Haug à Munich (M<sup>6</sup>) et dont M. West a bien voulu me prêter la collation.|0|1.5}}


{{A|2° Traduction gujratie. — Traduction faite sur l’original pehlvi par Frâmjì Aspandiârjì<ref>''The Vispard of the Parsis'', by the late Frâmji Aspandiârjî and other Dasturs : Bombay, 1843.</ref>.|0|1.5}}
Pour le Vispéred, les secours directs sont au nombre de deux :

1° Traduction pehlvie. — M. Spiegel a publié la traduction pehlvie du Vispéred de Paris (ancien n° 3 du Supplément d’Anquetil ; aujourd’hui, n° 39 du Supplément persan). Ce manuscrit, copié de 1738 à 1760, est très imparfait 1 <ref>1. Il semble remonter au vieux manuscrit de Copenhague (voir {{sc|Westergaard}}, ''Zendavesta'', préface, p. 13).</ref>. Je me suis servi surtout d’un manuscrit datant de l’an 766 de Yazdgard (1397 de notre ère), qui fait partie de la collection Haug à Munich (M<sup>6</sup>) et dont M. West a bien voulu me prêter la collation.


2° Traduction gujratie. — Traduction faite sur l’original pehlvi par Frâmjî Aspandiârjî 2 <ref>2. ''The Vispard of the Parsis'', by the late Fràmji Aspandiârjî and other Dasturs : Bombay, 1843.</ref>.
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