« Page:Le Rouge et le Noir.djvu/169 » : différence entre les versions

mAucun résumé des modifications
mAucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 16 : Ligne 16 :
Julien finit par être profondément frappé des embrassements sans chaleur de ce cadavre vivant ; il ne put penser à autre chose pendant plusieurs lieues. Son âme était navrée, et avant de passer la montagne, tant qu’il put voir le clocher de l’église de Verrières, souvent il se retourna.
Julien finit par être profondément frappé des embrassements sans chaleur de ce cadavre vivant ; il ne put penser à autre chose pendant plusieurs lieues. Son âme était navrée, et avant de passer la montagne, tant qu’il put voir le clocher de l’église de Verrières, souvent il se retourna.
<section end="s1"/>
<section end="s1"/>
<section begin="s2"/>{{T2|Une Capitale.|XXIV}}
<section begin="s2"/>{{interligne|1.5em}}
{{T2|Une Capitale.|XXIV}}

{{Ep|{{a|Que de bruit, que de gens affairés !<br />que d’idées pour l’avenir dans une tête <br />de vingt ans ! quelle distraction pour <br />l’amour !|0|1}}|{{sc|Barnave.}}|marge=50|margeauteur=5}}
{{Ep|{{a|Que de bruit, que de gens affairés !<br />que d’idées pour l’avenir dans une tête <br />de vingt ans ! quelle distraction pour <br />l’amour !|0|1}}|{{sc|Barnave.}}|marge=50|margeauteur=5}}
{{interligne}}
{{interligne|1.5em}}


Enfin il aperçut, sur une montagne lointaine, des murs noirs ; c’était la citadelle de Besançon. Quelle différence pour<section end="s2"/>
Enfin il aperçut, sur une montagne lointaine, des murs noirs ; c’était la citadelle de Besançon. Quelle différence pour<section end="s2"/>