« Le Perroquet chinois/II — Le Détective d’Hawaï » : différence entre les versions

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Le jeudi suivant, à six heures du soir, Alexandre Eden se rendit à l’hôtel Stewart. Durant toute cette journée de février, la pluie se déversant sur la ville y avait répandu comme un crépuscule. Eden demeura un moment debout à la porte de l’hôtel et regarda la procession de parapluies le long de Geary Street et les lumières qui trouaient de clarté jaune l’épais brouillard.
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— Pourquoi tout ne marcherait-il pas bien ? interrompit Victor.
 
EvidemmentÉvidemment. Une fois là, vous verrez ce que vous avez à faire. Si Madden est au ranch, donnez-lui le collier et demandez-lui un reçu pour votre décharge. Monsieur Chan, nous passerons vous prendre à dix heures et demie.
 
— À dix heures et demie, je vous attendrai dans le vestibule de l’hôtel.
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Charlie Chan sourit en s’inclinant et sortit.
 
— Ce brave Charlie ! fit Sally Jordan, ildéfendraitil défendrait le collier au risque de sa vie.
 
— J’espère que nous n’en arriverons pas là, remarqua Bob Eden en riant.