« Page:Sand - Le Diable aux champs.djvu/200 » : différence entre les versions

→‎Page non corrigée : Page créée avec « Dans toute ma vie, j’ai aimé une seule femme. J’étais un enfant quand j’ai commencé à l’aimer, j’ai soixante-cinq ans… EUGÈNE, étonné. — Vous avez... »
 
mAucun résumé des modifications
 
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 3 : Ligne 3 :
ans…
ans…


EUGÈNE, étonné. — Vous avez soixaute-cinq ans ?
EUGÈNE{{di|, étonné}}. — Vous avez soixante-cinq ans ?


RALPH. — Oui, j’ai soixante-cinq ans, et je l’aime toujours !
RALPH. — Oui, j’ai soixante-cinq ans, et je l’aime toujours !
Ligne 10 : Ligne 10 :
qu’elle est ma femme.
qu’elle est ma femme.


DAMIEN, étant le chapeau du curé de dessus sa propre tête. — Alors,
DAMIEN{{di|, étant le chapeau du curé de dessus sa propre tête}}. — Alors,
respect, hommage et silence !
respect, hommage et silence !


Ligne 33 : Ligne 33 :
un concile peut le défaire… Est-ce que ça vous fâcherait ?
un concile peut le défaire… Est-ce que ça vous fâcherait ?


LE CURÉ, avec une gaieté forcée, — Mon cher ami, il est assez
LE CURÉ{{di|, avec une gaieté forcée}}. — Mon cher ami, il est assez
difficile de faire son salut, sans venir encore le compliquer
difficile de faire son salut, sans venir encore le compliquer
de la peine de s’accorder avec une femme !
de la peine de s’accorder avec une femme !
Ligne 41 : Ligne 41 :
fausse note ! Mais qui donc frappe si fort ?
fausse note ! Mais qui donc frappe si fort ?


EUGÈNE, allant regarder. — ''La Marseillaise'', mes amis ! voilà
EUGÈNE{{di|, allant regarder}}. — ''La Marseillaise'', mes amis ! voilà
Florence !
Florence !