« Page:Œuvres complètes de H. de Balzac, III.djvu/150 » : différence entre les versions
m Phe: split |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
< |
<nowiki/> |
||
— Ah ! tu es perdue. Il t’a ensorcelée, pervertie. Tu déraisonnes. |
— Ah ! tu es perdue. Il t’a ensorcelée, pervertie. Tu déraisonnes. |
||
Ligne 17 : | Ligne 17 : | ||
— Tu n’as donc plus rien, Hélène, reprit sévèrement le militaire, ni pays, ni famille ?… |
— Tu n’as donc plus rien, Hélène, reprit sévèrement le militaire, ni pays, ni famille ?… |
||
— Je suis sa femme, répliqua-t-elle avec un air de fierté avec un accent plein de noblesse. — Voici, depuis sept ans, le premier bonheur qui ne me vienne pas de lui, ajouta-t-elle en saisissant la main de son père et l’embrassant, voici le premier reproche que j’aie entendu. |
— Je suis sa femme, répliqua-t-elle avec un air de fierté, avec un accent plein de noblesse. — Voici, depuis sept ans, le premier bonheur qui ne me vienne pas de lui, ajouta-t-elle en saisissant la main de son père et l’embrassant, voici le premier reproche que j’aie entendu. |
||
— Et ta conscience ? |
— Et ta conscience ? |