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« après lui avoir servi mille viandes, selon l’usage, |
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le roi lui dit : « Ami Gonzalo, un mets précieux |
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nous fait faute.» Le noble hidalgo répondit en |
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découvrant ses glorieux cheveux blancs : « A |
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votre table, seigneur, on ne saurait avoir faute |
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de rien. » Là-dessus vint un large bassin couvert |
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d’une nappe, et dessus, sept têtes, rameaux morts |
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de ce tronc dépouillé. Gonzalo considère le bassin |
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et dit : « Ah ! fruits précoces ! qui vous a |
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transportés de Burgos aux champs des Infidèles <ref> {{Centré|<poem>En est vino una fuente |
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Tout le monde sait le reste, et comment Mudarra |
Tout le monde sait le reste, et comment Mudarra |
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le Bâtard poursuivit la vengeance de ses frères. Les |
le Bâtard poursuivit la vengeance de ses frères. Les |
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du héros ; elle s’achève près de Burgos, au |
du héros ; elle s’achève près de Burgos, au |
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sanctuaire national de Saint-Pierre de Cardeña. Au |
sanctuaire national de Saint-Pierre de Cardeña. Au |
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bord d’une rue déserte, jadis retentissante du bruit |
bord d’une rue déserte, jadis retentissante du bruit |
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(<) <ref> {{Centré|<poem>En est vino una fuente |
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