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anciens maîtres, qu’il avait vu gisant sur la neige, immobile et froid comme ces mêmes figures. Et, après l’avoir longtemps flairé, il s’était rassis sur son derrière, en lançant au loin son lugubre chant de la mort. Mais les gens appendus au mur, qui l’entouraient, |
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avaient le regard d’êtres vivants. Cependant ils ne bougeaient pas plus que s’ils étaient morts. |
avaient le regard d’êtres vivants. Cependant ils ne bougeaient pas plus que s’ils étaient morts. |
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Kazan, soudain, dressa légèrement les oreilles. Il entendit des pas, puis des voix qui parlaient bas. L’une des deux voix était celle de son maître. Quant à |
Kazan, soudain, dressa légèrement les oreilles. Il entendit des pas, puis des voix qui parlaient bas. L’une des deux voix était celle de son maître. Quant à l’autre… Un frémissement avait couru dans son |
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corps en l’écoutant. |
corps en l’écoutant. |
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Lorsqu’elle l’aperçut, elle poussa un petit cri et s’élança vers lui. |
Lorsqu’elle l’aperçut, elle poussa un petit cri et s’élança vers lui. |
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— Arrête chère amie ! jeta vivement le maître, et sois prudente. La bête est |
— Arrête chère amie ! jeta vivement le maître, et sois prudente. La bête est dangereuse… |
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Mais, déjà, le jeune femme s’était agenouillée près de Kazan, fine et mignonne comme un oiseau, et si jolie, avec ses yeux qui s’illuminaient merveilleusement et ses petites mains prêtes à se poser sur le gros chien. |
Mais, déjà, le jeune femme s’était agenouillée près de Kazan, fine et mignonne comme un oiseau, et si jolie, avec ses yeux qui s’illuminaient merveilleusement et ses petites mains prêtes à se poser sur le gros chien. |
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Kazan, tout perplexe, se demandait ce qu’il lui |
Kazan, tout perplexe, se demandait ce qu’il lui |