« Page:Aimard - La Loi de Lynch, 1859.djvu/142 » : différence entre les versions

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{{tiret2|as|sez}} souffert pour être avare de mon bonheur et désirer ne pas en perdre une parcelle. Partons, mon père, menez-moi auprès de mon enfant.
<section begin="s1"/>{{tiret2|as|sez}} souffert pour être avare de mon bonheur et désirer ne pas en perdre une parcelle. Partons, mon père, menez-moi auprès de mon enfant.


Devant une volonté si fermement exprimée, le prêtre se trouva sans force, il ne se reconnut pas le droit d’insister plus longtemps ; seulement il tâcha d’éviter à sa compagne, autant que possible, les fatigues de la route.
Devant une volonté si fermement exprimée, le prêtre se trouva sans force, il ne se reconnut pas le droit d’insister plus longtemps ; seulement il tâcha d’éviter à sa compagne, autant que possible, les fatigues de la route.
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Cela est triste à dire, encore plus triste à constater, mais ce ne sont pas les hommes qui sont coupables, le siècle seul doit être responsable de cet
Cela est triste à dire, encore plus triste à constater, mais ce ne sont pas les hommes qui sont coupables, le siècle seul doit être responsable de cet
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