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La partie espagnole ne pouvait encore entrer en ligne de compte elle venait d’être réunie à l’ancienne possession française. |
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Pamphile de Lacroix a douté de l’exactitude des comptes de Vollée, surtout lorsque cet administrateur a présenté le chiffre de toutes les ''dépenses'' à la somme de 34,942,408 francs ; et cela, en comparant les produits de 1801 à ceux de 1789, les recettes et les dépenses de cette dernière année d’une prospérité inouie, à celles de 1801 : il s’étonna alors du ''déficit apparent'' de 15,686,477 fr., puisque, suivant Vollée, les ''recettes'' s’élevaient à 19,255,931 fr. En |
Pamphile de Lacroix a douté de l’exactitude des comptes de Vollée, surtout lorsque cet administrateur a présenté le chiffre de toutes les ''dépenses'' à la somme de 34,942,408 francs ; et cela, en comparant les produits de 1801 à ceux de 1789, les recettes et les dépenses de cette dernière année d’une prospérité inouie, à celles de 1801 : il s’étonna alors du ''déficit apparent'' de 15,686,477 fr., puisque, suivant Vollée, les ''recettes'' s’élevaient à 19,255,931 fr. En 1789, elles ne s’élevèrent qu’à 15 millions, et les dépenses à 13 millions de livres de la colonie, différentes d’un tiers de la livre tournois ou franc. |