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En énonçant que l’enseignement secondaire devait constituer « une ère d’idées générales », nous avons indiqué déjà que cette « ère » trouvait sa place « entre l’école primaire où s’apprennent les bases techniques de la culture et l’école supérieure ou universitaire où s’enseigne le spécialisme pratique ou scientifique ». Les bases techniques de la culture… on ne nous chicanera pas sans doute sur ce point-là ; car c’est ainsi que l’enseignement primaire est envisagé dans la plupart des pays et il est assez difficile de l’envisager autrement. Il y a bien eu, ça et là, quelques tentatives pour y introduire des données supérieures dont le premier défaut était de dépasser la compréhension juvénile ; mais ce sont des exceptions négligeables. Par ailleurs, en Amérique notamment, l’enseignement primaire dispose en général du nombre d’années que nous souhaitons précisément lui voir attribuer, c’est-à-dire qu’il conduit le jeune garçon jusqu’au delà de sa onzième ou douzième année. Il y a ainsi place pour un cycle d’études sérieuses, complètes dont nous n’avons, bien entendu, pas à nous occuper ici sinon pour {{tiret|récla|mer}}
En énonçant que l’enseignement secondaire devait constituer « une ère d’idées générales », nous avons indiqué déjà que cette « ère » trouvait sa
place « entre l’école primaire où s’apprennent les bases techniques de la culture et l’école supérieure ou universitaire où s’enseigne le spécialisme pratique ou scientifique ». Les bases techniques de la culture… on ne nous chicanera pas sans doute sur ce point-là ; car c’est ainsi que l’enseignement primaire est envisagé dans la plupart des pays et il est assez difficile de l’envisager autrement. Il y a bien eu, ça et là, quelques tentatives pour y introduire des données supérieures dont le premier défaut était de dépasser la compréhension juvénile ; mais ce sont des exceptions négligeables. Par ailleurs, en Amérique notamment, l’enseignement primaire dispose en général du nombre d’années que nous souhaitons précisément lui voir attribuer, c’est-à-dire qu’il conduit le jeune garçon jusqu’au delà de sa onzième ou douzième année. Il y a ainsi place pour un cycle d’études sérieuses, complètes dont nous n’avons, bien entendu, pas à nous occuper ici sinon pour {{tiret|récla|mer}}