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{{Nr|252|LES VACANCES.|}} |
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<center>{{taille|LE GARÇON.|80}}</center> |
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{{c|{{sc|le garçon}}.}} |
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Ce n’était que des légumes, mon bon monsieur. |
Ce n’était que des légumes, mon bon monsieur. |
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<center>{{taille|M. DE ROSBOURG.|80}}</center> |
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Après les légumes viennent les fruits, puis l’argent ; on fait d’abord le fantôme, puis on égorge son monde, c’est plus sûr. Pas de grâce coquin. Paul, appelle notre brave Normand, il va lui faire son affaire, et mettre ce drôle entre les mains de ses bons amis les gendarmes. » |
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Le voleur voulut s’échapper, mais M. de Rosbourg lui saisit le bras et le serra à le faire crier. Paul revint bientôt avec Lecomte, qui, sachant la |
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Après les légumes viennent les fruits, puis l’argent ; |
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besogne qu’il allait avoir, avait apporté une corde pour lier les mains du voleur et le mener en laisse jusqu’à la ville. Ce fut bientôt fait. |
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on fait d’abord le fantôme, puis on égorge |
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son monde, c’est plus sûr. Pas de grâce coquin. |
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Paul, appelle notre brave Normand, il va lui faire |
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son affaire, et mettre ce drôle entre les mains de |
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ses bons amis les gendarmes. » |
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Le voleur voulut s’échapper, mais M. de Rosbourg |
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lui saisit le bras et le serra à le faire crier. |
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Paul revint bientôt avec Lecomte, qui, sachant la |
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besogne qu’il allait avoir, avait apporté une corde |
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pour lier les mains du voleur et le mener en laisse |
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jusqu’à la ville. Ce fut bientôt fait. |
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Le garçon ne pouvait se décider à partir ; alors Lecomte lui asséna sur le dos un tel coup de poing, que le voleur jeta un cri et se mit immédiatement en marche. |
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et ne te fais pas tirer ; je n’aime pas ça, moi, et je |
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t’aiderais un peu rudement. » |
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Le garçon ne pouvait se décider à partir ; alors |
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Lecomte lui asséna sur le dos un tel coup de poing, |
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que le voleur jeta un cri et se mit immédiatement |
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en marche. |
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Je savais bien que je te déciderais, Mandrin <ref>{{taille|Fameux voleur.|90}}</ref> |
Je savais bien que je te déciderais, Mandrin <ref>{{taille|Fameux voleur.|90}}</ref> |
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