« La Divine Comédie (trad. Lamennais)/Le Paradis/Chant XXV » : différence entre les versions
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A cette voix le mouvement de ces flammes, uni au doux mélange du son qu’émettaient les trois souffles, cessa, comme, pour éviter ou la fatigue ou un danger, les rames, qui auparavant frappaient l’eau, s’arrêtent toutes au son d’un sifflet. Ah ! combien fus-je ému en mon esprit, quand je me tournai pour voir Béatrice, de ne pouvoir la voir, bien que je fusse près d’elle, et dans le monde heureux !
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