« Hymne à la nuit (Monavon) » : différence entre les versions

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{{TitrePoeme|Le Sylphe, Revue littéraire, volume 6|Gabriel Monavon|Hymne à la nuit}}
 
 
==__MATCH__:[[Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 6, 1892.djvu/189]]==
 
 
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Pâle sœur du soleil, mères des longs repos,
Sur ton char emporté par les Heures d’ébène,
Tu sèmes en ton vol tes bienfaisants pavots…
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==[[Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 6, 1892.djvu/190]]==
<poem>
 
 
Le laboureur lassé t’adore en sa chaumière,
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Pendant qu’autour de nous s’épaissit l’ombre noire,
L’âme, œil intérieur, voit le divin flambeau !…
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==[[Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 6, 1892.djvu/191]]==
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Combien de fois, o nuit ! sous un pan de ta robe,
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C’est là, devant sa table et les yeux aux étoiles,
Tandis qu’à ses rideaux joue et tremble le vent,
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==[[Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 6, 1892.djvu/192]]==
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Qu’audacieux Colomb, il déchire les voiles
De ces mondes cachés qu’il a vus en rêvant…
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Sur les sillons ouverts où les blés jauniront ;
Prends ta part de travail dans l’œuvre universelle,
Et qu’on ne lise pas tes douleurs sur ton front…
</poem>
==[[Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 6, 1892.djvu/193]]==
<poem>
 
 
Pour songer, pour pleurer, attends la nuit immense :