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Kroff vint aussitôt. |
Kroff vint aussitôt. |
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«Combien, Kroff?… dit-il, en tirant de sa poche quelque menue monnaie. |
« Combien, Kroff ?… dit-il, en tirant de sa poche quelque menue monnaie. |
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— Vous le savez de reste, brigadier, répondit l’aubergiste. Il n’y a qu’un prix pour tout le monde… |
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— Même pour ceux qui viennent dans ton kabak, où ils savent que tu ne leur demanderas ni leurs papiers ni leur nom ?… |
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— Je ne suis pas de la police ! répondit Kroff d’un ton brusque. |
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— Eh ! tous les cabaretiers devraient en être, et le pays serait plus tranquille ! répliqua le brigadier. Prends garde, Kroff, qu’un beau jour on ne ferme ton auberge… si tu ne la fermes pas aux fraudeurs, et peut-être à des clients pires encore !… |
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— Je verse à boire à ceux qui me payent, répondit le cabaretier, et je ne sais pas plus où ils s’en vont après que je n’ai su d’où ils venaient avant ! |
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— N’importe, Kroff, ne fais pas le sourd quand je te parle, ou tes oreilles en pâtiront !… Là-dessus, bonsoir et au revoir ! » |
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Le brigadier Eck se leva, paya sa dépense et se dirigea vers la porte, suivi de son agent. Les autres buveurs les imitèrent, car le mauvais temps ne les engageait point à s’attarder au kabak de la Croix-Rompue. |
Le brigadier Eck se leva, paya sa dépense et se dirigea vers la porte, suivi de son agent. Les autres buveurs les imitèrent, car le mauvais temps ne les engageait point à s’attarder au kabak de la Croix-Rompue. |
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A cet instant, la porte s’ouvrit et fut vivement refermée par la bourrasque. |
A cet instant, la porte s’ouvrit et fut vivement refermée par la bourrasque. |
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Deux hommes venaient d’entrer; l’un soutenait l’autre, qui boitait. |
Deux hommes venaient d’entrer ; l’un soutenait l’autre, qui boitait. |
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C’étaient Poch et son compagnon de voyage que la malle avait laissés en détresse sur la grande route. |
C’étaient Poch et son compagnon de voyage que la malle avait laissés en détresse sur la grande route. |
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Le voyageur était toujours étroitement serré dans sa houppelande, son capuchon rabattu, et on ne pouvait apercevoir son visage. |
Le voyageur était toujours étroitement serré dans sa houppelande, son capuchon rabattu, et on ne pouvait apercevoir son visage. |
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Ce fut lui qui prit la parole, et, s’adressant au cabaretier: |
Ce fut lui qui prit la parole, et, s’adressant au cabaretier : |