« Page:Aristophane, trad. Talbot, 1897, tome 1.djvu/333 » : différence entre les versions

Phe-bot (discussion | contributions)
m Mise à jour du <pagequality
Phe-bot (discussion | contributions)
m Phe: split
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
<nowiki />
32.2 LES GUÉPES.

n¤ÉLvKLÉôN.
{{Personnage|Bdélikléôn|c}}
Par Dèmètèrl tu ne resteras pas ici davantage, mais je

(enlève et t’emporte.
Par Dèmètèr ! tu ne resteras pas ici davantage, mais je t’enlève et je
1·H1LoKLEôN.
t’emporte.
Que fais—tu?

nnètvxtéôw.
{{Personnage|Philokléôn|c}}
Ce que je fais? Je veux te porter d’ici dans la maison:

autrement, les témoins manqueront aux accusateurs.
Que fais-tu ?
r·i»i11.oK1.ÉôN.

Un jour /Es0pos étantà Delphœ...

BDÉLYKLÉôN.
{{Personnage|Bdélikléôn|c}}

Ce que je fais ? Je veux te porter d’ici dans la maison : autrement, les
témoins manqueront aux accusateurs.

{{Personnage|Philokléôn|c}}

Un jour Æsopos étant à Delphoe…


{{Personnage|Bdélikléôn|c}}

Cela m’est bien égal.
Cela m’est bien égal.

ruxromiêôw.
{{Personnage|Philokléôn|c}}
Est accusé d’av0irv0lé un vase consacré au Dieu. Alors

il leur raconte comment l’escarbot...
Est accusé d’avoir volé un vase consacré au Dieu. Alors il leur
BDÉLYKLÉôN.
raconte comment l’escarbot…
La peste! tu m’assommes avec tes escarbots.

LE cuosun.

Je t’envie pour ton bonheur, vieillard. Quelle difference
{{Personnage|Bdélikléôn|c}}
avec ses habitudes frugales et son existence! Instruit

maintenant d’une manière tout autre, il va sans doute
La peste ! tu m’assommes avec tes escarbots.
changer de sentiment au sujet des jouissances et de la

mollesse. Peut-être cependant ne voudra—t-il pas, car il
est difhcile de renoncer au naturel que l’on a toujours
<center>* * * * *</center>


{{Personnage|Choeur|c}}

Je t’envie pour ton bonheur, vieillard. Quelle différence avec ses
habitudes frugales et son existence ! Instruit maintenant d’une
manière tout autre, il va sans doute changer de sentiment au sujet des
jouissances et de la mollesse. Peut-être cependant ne voudra-t-il pas ;
car il est difficile de renoncer au naturel que l’on a toujours