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{{br0}}{{t|'''L’'''|140}}{{t|ARMÉE|85}} française s’avançait à marches forcées vers le théâtre où elle devait se signaler par de nouveaux exploits. Son passage à travers la Prusse fut marqué par des exactions affreuses qui portèrent au dernier degré d’exaspération la haine des habitans contre leurs oppresseurs. Lorsque Frédéric-Guillaume, entraîné par la nécessité, et affligé de la conduite des troupes françaises, qui, sous les ordres du général Compans, pénétrèrent dans ses états, tambour battant, mèche allumée, résolut de faire cause commune avec Napoléon, le mécontentement fut général,
{{br0}}{{t|'''L’'''|140}}{{t|ARMÉE|85}} française s’avançait à marches forcées vers le théâtre où elle devait se signaler par de nouveaux exploits. Son passage à travers la Prusse fut marqué par des exactions affreuses qui portèrent au dernier degré d’exaspération la haine des habitans contre leurs oppresseurs. Lorsque Frédéric-Guillaume, entraîné par la nécessité, et affligé de la conduite des troupes françaises, qui, sous les ordres du général Compans, pénétrèrent dans ses états, tambour battant, mèche allumée, résolut de faire cause commune avec Napoléon, le mécontentement fut général,