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LES NUITS FLORENTINES. 351

tre mps bras, se trouva soud ; iin au milieu de la chambre, et commença
à danser penihnt que m ; ! dame mère avec son lambour, et
à danser penihnt que m ; ! dame mère avec son lambour, et
le n in avec son nianglo, faisaient résonner lur peiiti’musi |ue
le n in avec son nianglo, faisaient résonner lur peiiti’musi |ue
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écha|)pée.
écha|)pée.


:comprejidra que cett scène n’eut rien d’agréable pour moi.
On comprendra que cette scène n’eut rien d’agréable pour moi.
Mais l’homme saccoiitume a loni, et il est même a présumer que
Mais l’homme saccoiitume a loni, et il est même a présumer que
le caractère mysiéri— ux prêîa à (eite femme un attrait de plus <|ui
le caractère mysiérieux prêîa à (eite femme un attrait de plus <|ui
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mêlait « à toutes mes sensations un plaisir de frsson… Bief, au bout
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de quelques semaines, je ne m’éionn.j |, lu.> du tout, quand, la nuit,
résonnait le m armure L’jjer du ta nbour et du triangle, et <|ue ma
résonnait le m armure L’jjer du ta nbour et du triangle, et <|ue ma
chère Laurence se levait tout d’un (Onp et d. nsiit un solo les
chère Laurence se levait tout d’un (Onp et d. nsiit un solo les
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it de passer que les jours à la vil e. Il va sans dire qu’il (leint
it de passer que les jours à la vil e. Il va sans dire qu’il (leint
mon ami le plus iniime, et (pj’il pleur.i à chaudes larmes, (juand
mon ami le plus iniime, et (pj’il pleur.i à chaudes larmes, (juand
plus tard je leur dis adieu pour long-temps. Il panai » alors avec
plus tard je leur dis adieu pour long-temps. Il partait alors avec
son épouse pour la Sic le, et je ne les ai phis revus depu s.
son épouse pour la Sicile, et je ne les ai plus revus depuis.

Quand Maximilicn eut fini ce lécit, il prit vile son chapeau et
Quand Maximilien eut fini ce récit, il prit vite son chapeau et
s’esquiva.
s’esquiva.


Henri Heine.
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