« Un capitaine de quinze ans/II/12 » : différence entre les versions

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« À chacun son tour ! s’écria-t-il soudain dans le paroxysme de la fureur que surexcitait en lui le calme de sa victime. Aujourd’hui, c’est moi qui suis le capitaine, moi qui suis le maître ! Ta vie de mousse manqué est dans mes mains.
 
– Prends-la, lui répondit Sand sans s’émouvoir. Mais sache-le, il est au cielCiel un Dieu vengeur de tous les crimes, et ta punition n’est pas loin !
 
– Si Dieu s’occupe des humains, il n’est que temps qu’il s’occupe de toi !
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« Hercule ! si c’était Hercule ! » se dit le jeune novice.
 
Ses yeux se fixèrent sur son gardien ; il était immobile et sous l’influence d’un sommeil de plomb. Dick Sand, approchant ses lèvres du seuil de la porte, crut pouvoir se risquer à murmurer le nom d’Hercule. Un gémissement, tel qu’eutqu’eût été un aboiement sourd et plaintif, lui répondit.
 
« Ce n’est pas Hercule, se dit Sand, mais c’est Dingo ! Il m’a senti jusque dans ce baracon ! M’apporterait-il encore un mot d’Hercule ? Mais si Dingo n’est pas mort, Negoro a menti, et peut-être... »