« Œuvres poétiques de Chénier (Moland, 1889)/À Charlotte de Corday » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
mAucun résumé des modifications |
m Phe: match |
||
Ligne 6 :
==
Ligne 16 ⟶ 17 :
Et que, prêtre orgueilleux de cette idole vile,
Des fanges du Parnasse, un impudent reptile
Vomit un hymne infâme au pied de ses autels;
</poem>
==[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 2.djvu/281]]==
<poem>
La Vérité se tait ! Dans sa bouche glacée,
Ligne 49 ⟶ 54 :
Épuiserait Paros, pour placer ton image
Auprès d’Harmodios, auprès de son ami;
</poem>
==[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 2.djvu/282]]==
<poem>
Et des chœurs sur ta tombe, en une sainte ivresse,
Chanteraient Némésis, la tardive Déesse,
Ligne 80 ⟶ 88 :
D’un peuple abject, servile, et fécond en outrage,
Et qui se croit alors et libre et souverain.
</poem>
==[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 2.djvu/283]]==
<poem>
La vertu seule est libre. Honneur de notre histoire,
|