« Œuvres poétiques de Chénier (Moland, 1889)/À Le Brun (3) » : différence entre les versions

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Il faut un cœur paisible à ces dieux de la paix.</poem>
 
 
==__MATCH__:[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 1.djvu/324]]==
 
 
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A l’ennui de l’étude immoler mes beaux ans ;
S’il faut toujours errant, sans lien., sans maîtresse,
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==[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 1.djvu/325]]==
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Étouffer dans mon cœur la voix de la jeunesse,
Et— sur un lit oisif, consumé de langueur,
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Attend victorieux dans l’une et l’autre arène ;
Qui tour à tour convive et de Guide et des cieux,
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==[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 1.djvu/326]]==
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Des bras d’une Maîtresse enlevé chez les dieux,
Ivre de voluptés, s’enivre encor de gloire ;
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Quand ta bouche animait la flûte de Sicile ;
Toi, quand l’amour trahi te fit verser des pleurs,
Qui l’entendis gémir et pleurer tes douleurs.
</poem>
==[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 1.djvu/327]]==
<poem>
 
Malherbe tressaillit au-delà du Ténare,
A te voir agiter les rênes de Pindare’;
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Est-ce lorsque Buffon et sa savante cour
Admirent tes regards qui fixent l’œil du jour ?
</poem>
==[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 1.djvu/328]]==
<poem>
Qu’aux rayons dont l’éclat ceint ta tête brillante,
Ils suivent dans les airs ta route étincelante,