« Œuvres poétiques de Chénier (Moland, 1889)/À Le Brun (3) » : différence entre les versions

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Leur envie un amant qui fait vivre leurs noms ?</poem>
 
 
==__MATCH__:[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 1.djvu/319]]==
 
 
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Soumirent à vos vœux les plus rares beautés..
Qu’aisément à ce prix un jeune cœur s’embrase !
Je n’ai point pour la gloire inquiété Pégase.
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==[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 1.djvu/320]]==
<poem>
 
L’obscurité tranquille est plus chère à mes yeux
Que de ses favoris l’éclat laborieux.
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De rose ou de cyprès par elle couronné.
Par la lyre attendris, les rochers du Riphée
</poem>
==[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 1.djvu/321]]==
<poem>
Se pressaient, nous dit-on, sur les traces d’Orphée.
Des murs fils de la lyre ont gardé les Thébains ;
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Qu’à bien aimer tous deux mes chansons les excitent;
Qu’ils s’adressent nies vers, qu’ensemble ils les récitent:
Lassés de leurs plaisirs, qu’au feu de mes pinceaux
</poem>
==[[Page:Chénier - Œuvres poétiques, édition Morland, 1889, volume 1.djvu/322]]==
<poem>
 
Ils s’animent encore à des plaisirs nouveaux ;
Qu’au matin sur sa couche à me lire empressée,